Le Clan de La Main Noire
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Le Clan de La Main Noire

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 Présentation des occupants du Manoir

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Infamie
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MessageSujet: Re: Présentation des occupants du Manoir   Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Icon_minitimeSam 4 Aoû - 4:24

Rhénanie 14..et quelques

Alors qu’elle n'est encore que nourrisson, sa mère se voit confier l'enfant d'un comte en tant que mère nourricière, avec pour gage une éducation digne de ce nom pour sa fille de quelques mois et un domicile dans le château comtal.
Sa mère aima les deux enfants de la même façon, étant tous deux privés de leur père respectif.
La mère de la jeune fille reçut par le comte, en récompense des soins portés à son fils, promesse de mariage avec un homme de la noblesse du royaume de France pour sa fille. Sa vie de femme est alors d’ores et déjà tracée.

Les deux bambins, frère et sœur de lait, étaient plus liés que tout autre, grandissant ensemble, découvrant la vie et ses mystères ensemble, de manière avouable ou non au fil des ans.
Essayant d'échapper à ce destin de femme soumise, se sachant mariée contre son gré, la soeur, accompagnait toujours son frère et se mit à le regarder torturer, se surprenant à y prendre goût… faisant souffrir à son tour quand l'occasion s'en présentait...

Se rendant compte de leur passion commune pour la torture, ils se donnèrent le nom de Chaos et Infamie…

Le père de Chaos vint à se remarier et à avoir un fils, qu'il chérit comme jamais il n’avait aimé Chaos, malgré ses efforts. Infamie ne supporta pas la détresse de son compagnon de toujours...
Un soir, elle se glissa jusqu'à la chambre de l’enfant, ayant repéré que le gamin se promenait le soir, tard, et seul...
Patiemment, elle attendit qu'il aille sur les remparts, et au moment opportun, se rua sur lui et, le poussant du haut de l'édifice. Ses dents blanches se dévoilant dans un sourire satisfait à la lumière lunaire, elle le laissa ainsi, gisant mais vivant, pour qu'il souffre.

Chaos la voyant revenir, comprit qu'il s'était passé quelque chose et l'accompagna jusqu'au corps de l'enfant blessé où lui-même pu soulager sa haine.
Lorsque le corps fut retrouvé, les autopsies conclurent vite à une mort par chute… mais pas seulement…
Le soir même Chaos rejoignit le monastère et nul ne revit Infamie au château, envoyée de force chez l'homme à qui elle avait été promise, avec quelques années d'avance.

Arrivée à Paris, chez celui à qui elle avait été offerte en mariage, la rage peu commune qui habitait la jeune Infamie fut "maîtrisée" par l'homme à qui elle appartenait, au moins en apparence.
Infamie se refusa à lui jusqu'au mariage, le futur époux trouvant cela touchant… et ce pendant de longs mois… très longs mois…

Sa haine pour cet homme, et la vengeance qu'elle fomentait depuis son arrivée, lui faisait juste entrevoir possibilité de richesse alors que lui n'aurait pas ce qu'il attendait.
Le soir des noces, il se présenta à son lit, comme tout mari est en droit d'y prétendre, Infamie le laissa faire, comme une femme "respectable" le doit à son époux...
Lorsque le nobliau se rendit compte que ce qu'il devait lui prendre durant cette nuit n'y était plus, il se redressa furieux et la vit souriante, ravie, narquoise, lui criant le nom de celui dont on l'avait séparé de force.

Une main levée et rabaissée sur elle, une seconde, encore et encore... Se saisissant de l'arme courte crochée à ses braies, que le chien galeux n'avait même pas pris la peine d'ôter, Infamie le menace...
L'inconscient rit de la voir avec une arme... elle lève la main et la rabaisse... une fois, une seule... la gorge est tranchée nette…

Le corps de son mari retrouvé, scarifié d’un pentagramme recouvrant tout son torse avec l’inscription Chaos en son milieu, Infamie est enfermée pour hérésie et doit attendre que le tribunal de l'inquisition vienne la juger folle, sorcière ou peu importe... Attendre qu'on vienne la condamner à mort...

Après de longs mois de détention, on lui annonça la venue de celui qui la purifierait et statuerait sur son cas, Infamie n’en avait que faire depuis le temps qu’elle croupissait dans ce trou à rats, un peu plus, un peu moins…
Le jour de la « libération » arriva ainsi que l’inquisiteur et ses instruments, la suite des évènements fut pour le moins déroutante, après avoir répondu à l’homme d’église, Infamie vit un garde à terre, un homme en bure l’emmener vers la Cour des Miracles pour rejoindre une crypte et là….Chaos…

L’homme sous la bure n’était autre que son frère de lait, son compagnon de toujours…. Sans plus d’explication, il lui proposa de le suivre vers Carcassonne en lui faisant entière confiance comme dans le passé…
La beauté mortelle accepta sans concession et le couple diabolique se dirigea vers le Languedoc…
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Vicious
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MessageSujet: Re: Présentation des occupants du Manoir   Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Icon_minitimeVen 21 Sep - 0:43

An de grâce 16 avril 1453…

Pas d'enfance traumatisante ou d'épreuve pendant l'adolescence, l'horreur peut arriver à n'importe quel moment. Une vie ordinaire dans une ville ordinaire. Un homme attablé à la table d’une taverne buvant plus que modérément écoutant les dire de certain villageois sur la fidélité incertaine de sa femme depuis quelques jours. Disparaissant de temps en temps et réapparaissant étrangement dans la forêt sans savoir où elle allait. Il n’avait jamais voulut se douter d’une telle chose à vrai dire. Mais ce soir, se laissant abuser par l’ivresse et ses soi disant amis piliers de comptoir lui comptant une histoire invraisemblable sur son épouse qu’il aime tant et ses disparitions plus que douteuse, se baladant le visage caché pas une bure sombre. Plus l’alcool passe et plus les histoires défilent et les doutes ainsi que toutes les rumeurs vont bon train. Une femme revêtu d’une bure sortant et se dirigeant vers la forêt parait il, rentrant et sortant pendant ses absences.

Son esprit affaibli par l’alcool et sa jalousie poussée à l’extrême le rendent nerveux et croyant à toutes ces rumeurs. Décida de sortir de la taverne et d’aller éclaircir cette histoire avec sa femme. La pluie faisait rage à l’extérieur comme si elle accompagnait sa peine. Le cœur meurtri croyant dur comme fer au lavage de cerveau dont il a eut droit toute la soirée. Il l’aimait plus que tout et ne pouvait supporter cela, il devait lui parler au plus vite pour calmer son esprit torturé.

Sa maison était au centre du village et il eut tôt fait de rentrer chez lui complètement trempés par cette pluie qui ne faisait rien arranger à l’ambiance dans son esprit embrumé. Faisant le tour de la maison pièce par pièce, il ne trouva personne, ni sa fille, ni sa femme. Un immense doute l’envahit à ce moment, le monde semblait tourner autour de lui. Se dirigeant vers la cuisine prenant une bouteille d’alcool fort et commença à boire pour faire taire cette voix qui lui disait tant de chose horrible sur son amour. La douleur était trop forte, accroupie au dehors la pluie ruisselante sur son visage, cachant ses larmes qui coulaient de ses yeux vert. Continuant à boire cette bouteille, se relevant et se dirigeant vers la forêt précisément à l’endroit où les gens l’auraient aperçu il y a quelques jours.

La pluie s’acharnait sur le village, le tonnerre grondait et traversait le ciel éclairant faiblement la route par intermittence. Bien décidé à tirer cette histoire au claire, continuant de vider sa bouteille en chemin. Ne savant même pas où il se dirigeait, marchant au gré des sentiers se fiant au vague description et endroit où ses amis l’avaient aperçu. Après plus d’une heure de recherche, il tomba sur une maison forestière éloignée du village. La bouteille était déjà fini et se maudissait de ne pas en avoir apporté une autre pour faire taire ses peurs.

Un regard fut jeté par la fenêtre et il ne put croire ce qu’il vit à l’intérieur. Un étonnement ainsi qu’une douleur au cœur.Tombant à genou au sol. La colère, la jalousie et la haine le prenaient. Sa femme avec un autre homme s’enlaçait dans la pièce qu’il avait vue derrière la fenêtre. Son cœur se mit à battre à tout rompre. Ses yeux n’étaient plus que fureur. Le tour de la maison fait il se retrouva devant la porte qu’il défonça d’un coup de botte. Il avait une bure sombre et personne ne pouvait le reconnaître à cet instant, en prenant aucune précaution sans s’annoncer. L’homme se précipita sur lui tentant de le tuer une dague à la main. Une blessure sur le flanc légère et insignifiante, l’alcool l’anesthésiait complètement. Une chaise près de la porte qui fini briser sur la tête de l’homme dans un fracas de bois briser. Se heurtant sur lui avec rage, déversant une pluie de coup de poing sous les cris de sa femme et de sa fille qui se tenaient à cotés. Pourquoi sa fille était présente dans ce lieu ? Une question que son esprit ne répondit pas immédiatement, la rage l’aveuglait, simplement une envie de vengeance quand sa femme se projeta sur lui en le traitant d’assassin. Et le rouant de coup de ses petits poings fragiles. Récupérant la dague, il avançait maintenant vers elle la lame en main son esprit avait perdu le contrôle de ses sens. Ne se rendant même pas compte qu’elle ne l’avait pas reconnu.

De grand mouvement de main avec la lame entaillant son visage la balafrant durement de chaque coté. Le sang jaillissait sur lui poussant des hurlements de colère, tel un animal enragé. Sa fille se jeta devant le corps de sa mère pour tenter de la protéger, mais le frêle corps de la fillette fut projeté contre une paroi et se brisa le cou sous l’impact ? Son corps glissait lentement sur le sol.

Sa colère encore présente et sa femme encore vivante. Ne pouvant parler sous le choc, tentant tant bien que mal de se protéger de ce fou qui venait les tuer pour on ne savait quelle raison. Il lui prit le visage en sang dans sa main, le souleva légèrement et entailla tout son corps laissant s’écouler le fluide vital qui la parcourait. Chaque veine vu sectionner et dans la limite de sa rage frappa son visage contre la paroi à plusieurs reprise. Des bruits d’os fracassé résonnaient dans la pièce. Il du s’arrêter, vaincu par la fatigue. Du sang le recouvrait entièrement, il fit quelque pas dans la chambre qui se trouva à coté et s’étala ivre mort sur le sol. La pluie continuait son bruit incessant au dehors, le calme était revenu.

Le petit matin était déjà bien avancé, le soleil peinait à traverser les feuilles de l’épaisse forêt. Les oiseaux chantaient ne se rendant pas compte de l’acte horrible qui venait d’avoir lui cette nuit. Se réveillant la tête endolorie, ne se souvenant pas bien de la nuit passé. Une lame en main, le corps en sang, pas le sien à première vue... Quelques secondes après se retournant il compris l’horrible chose qu’il avait fait la nuit passée. Sa fillette contre le mur morte gisait là. Un corps d’homme méconnaissable, ainsi que le corps mutilé de sa femme. La cabane était pleine de sang coagulé visqueux, épais et cette odeur qui vous prend les tripes. Sa tête tournait en ce moment, il dut s’asseoir un instant la prenant entre ses mains. Il devait faire un cauchemar cela en pouvait être possible… Relevant doucement le regard, ses yeux furent attirés par une lettre sur une commode. Intrigué et pensant trouver une preuve de relation adultère il prit le papier entre ses doigts ensanglanté et la curiosité qui l’habitait parcourus quelques lignes.

Il découvrit avec horreur l’identité de l’homme et compris soudain sa présence en ses lieux. Le monde s’arrêta autour de lui et prenait conscience de sa grave erreur. Gardant l’arme en main, il partie rejoindre sa maison les membres tremblant le corps rougit par le sang de sa famille qu’il avait tué. Se rendant compte de l’acte abominable qui venait d’avoir lieux. Il ne put assister à l’enterrement de la famille. Il partie au loin et en revint jamais dans la région. La dépression et la folie le gagnèrent après cette nuit. Ne pouvant se pardonner d’avoir tué sa femme, sa fille et son frère qui avait disparut depuis un certain temps et qui semblait avoir fait surface… Depuis ce jour il tentait vainement de mettre un terme à son existence, la mort facile ne pouvait lui être administré. Il devait souffrir autant pour le mal qu’il avait infligé… Il devait mourir dans d’atroce souffrance, tel était la promesse qu’il avait faite… Depuis ce jour cherchant inlassablement la mort auprès de chaque personne capable de tué ou portant une arme. Le tour du royaume avait été effectué sans succès malheureusement… Personne n’avait assez de cran ou d’expérience pour cela. Il recherchait désespérément son sauveur… Peut être le trouvera t’il derrière ses murs…
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Pulo
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Pulo


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MessageSujet: Re: Présentation des occupants du Manoir   Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Icon_minitimeDim 23 Sep - 1:25

Pulo Vivas de Corbera est un jeune homme de 25ans qui naquit sur le sol Espagnol en 1430. Il n'est pas très grand mais compense par sa corpulence, ses années au sein de l'armée l'ayant aidé à se muscler. Une longue chevelure, le regard vif, Pulo garde bon nombre de cicatrices dont une au visage sur sa joue gauche et l'autre sur son flanc droit.

A ses 5 ans, ses parents décidèrent de partir s'installer à Carcassonne où ils ouvrirent une boucherie. Son enfance fut joyeuse, ses parents gagnèrent petit à petit assez d'écus pour se racheter quelques terres et 5 ans plus tard une petite soeur du nom de Pénélope pointa le bout de son nez.

Mais à ses 15ans, Pulo fut appeller à s'enroler et dut retourner en Espagne. De simple soldat il gravit petit à petit les échélons, repoussant courageusement les assaults musulmans le long des cotes espagnoles.
Il entra dans l'Ordre de Montesa pour y finir chevalier apres 10ans de carrière militaire. C'est là qu'il apprit le maniement des armes, dans le feu de l'action, il apprit vite qu'il était facile de tuer quand on voulait sauver sa peau..

Quand un jour il recut une missive de Carcassonne, on lui informait que ses parents avaient été brigandé et tué, leur echoppe vandalisée et leur maison mise à sac. Ils avaient tout volé et mis le feu au domaine, seul ne restait que les terres. Pulo décida alors de tout quitter pour rentrer chez lui, ne gardant que sa monture, son épée et sa cape blanche. Il découvrit alors le spectacle de ses yeux... l'horreur. Il enterra ses parents et récupéra quelques objets.

Sa soeur.. ou était sa soeur ? Elle avait à peine 5ans quand il l'avait quittée, elle en avait 15 aujourd'hui.. il ne saurait même pas la reconnaitre. Il parcourut tout le village à sa recherche, interrogeant les villageois, la plupart ne sachant quoi lui répondre. Puis une vieille dame du village l'interpella, elle avait vu la scene.. les brigands saccageant tout, mettant le feu.. et enlevant sa soeur !

Pulo se mit alors à sa recherche, bien décidé à visiter tout le Royaume si nécessaire pour retrouver sa seule famille. La tache n'allait pas s'avérer facile ne sachant même pas à quoi elle ressemblait... De ville en ville, on lui indiqué un lieu que les brigands aimaient fréquenter, un repère..

C'est donc ainsi que Pulo, dit le blanc arriva à la Cour des Miracles.

Il fut appelé ainsi car il avait le don de pouvoir tuer d'un geste vif, propre et précis sans que sa chemise blanche ne soit imprégnée de sang. Il apprit vite à manier les armes et il se servait de son épée avec légereté et gràce comme s'il avait un don. Pour renforcer ce surnom, on lui avait donné une monture blanche à l'Ordre trouvant cela amusant.

De nature plutot calme, ce jeune homme avait la rage au ventre depuis qu'on avait lachement tué ses parents et il était bien décidé à tuer quiquonque se metterait sur son chemin pour l'empêcher de retrouver sa soeur. L'armée ne l'avait pas rendu assoifé de sang, pourtant maintenant, le bien.. le mal.. peu importe du moment qu'il parviendrait à ses fins : retrouver sa soeur !

Apres plusieurs mois de recherche, il tomba par hasard sur sa soeur dans une bagarre d'une taverne, il découvrit une jeune femme au caractère bien trempé, qui aimait provoquer et défiait à tout va, plus rien avoir avec la petite fillette adorable qu'il avait quitté plus jeune. Celle-ci semblait fort perturbée, elle semblait n'avoir peur de rien, et pulo se jura de veiller sur elle, elle etait sa seule famille à présent.. sa chair, son sang, plus question de la perdre... et vu comme elle était douée pour s'attirer des ennuis, il était bien décidé à ne plus la perdre de vue, acceptant de la suivre pour retourner sur la terre de leur enfance...
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Peny
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MessageSujet: Re: Présentation des occupants du Manoir   Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Icon_minitimeDim 23 Sep - 6:30

Une enfance heureuse, quoi de plus normal ?
Entourée de ses parents dans une petite ville du sud dans le Languedoc.
Elle grandit dans les sentiments d'amour et de bonté.
Cette petite ébène acquis l'adolescence comme toutes les jeunes filles.
Une petite princesse dans un château de verre.
Enfant gatée de ses parents, le bébé chéri de la maisonnée.
Comme toute bonne chose à une fin et que le destin est omniprésent et tracé pour tous, son conte de fée devient un morbide cauchemar.
Le vent a soufflé, des salauds, des brigands sans âme ni conscience, lui ont tous pris....
Ses parents gisant dans une marre de sang sur le carrelage de la cuisine
Elle entend encore les cris de terreur de sa mère la nuit...
Elle voit encore les yeux de son père lorsque sa vie quitte cette terre...
Elle souffre toujours de cette perte...
Mais aussi de ce que ces bêtes lui ont retirée cette nuit la un soir de pleine lune...
Son innocence, sa pureté, sa joie de vivre... Tout envolés !
Ne reste plus rien qu'un corps à demi-mort....
Elle n'a plus personne au monde, abandonnée à son triste sort.
Elle ne sait que faire, comment une jeune fille peut elle survivre dans un monde aussi cruel ?
Elle n'a plus aucun choix que de suivre sa destinée nouvellement changée.
Elle est laissée pour morte sur le bord d'un chemin, un vieux ermite la prend sous son aile.
Amer et vil, cet homme fait tout de même preuve de bonne foi.
Il la soigne mais pas sans compensation,chaque nuit il lui rend visite dans sa chambre
Leur coeur au bord des lèvres, chaque minute est un véritable calvaire pour elle...
Elle fini par en avoir assez une nuit de son attitude suave, que pour avoir ses faveurs.
De son odeur de porc qui souille son pauvre corps fébrile
Elle fini par le poignarder dans le dos lorsqu'il s'insère une fois de trop en elle ,au bord de la jouissance.
Elle le repousse, prend ce dont elle a besoin sans même un remerciement pour ce nouveau mort.
Elle n'a plus rien à perdre, plus rien à recevoir et à donner...
Sa nouvelle destination ? La cours des miracles....
Elle y demeura un moment
Cherchant mille et une façon de satisfaire tout ses désirs les plus fou
Elle tombe sur un homme en taverne, le regard froid
La mort le guete
Elle se fait le bourreau de son âme
Personne n'aura sa vie puisqu'il la marque de sa lame
Sa vengeance sera la sienne et personne ne la lui retira
Son frère disparu refait surface jouant les bons samaritain
Les lois du sang toujours primaires
Elle le garde près d'elle même s'ils n'ont plus rien en commun
Leurs vies sont à jamais éternellement reliées
Le seul être qui pourrait avoir un semblant de pouvoir sur cette belle égoiste et peste qu'elle est devenu sauf qu'il ne le sais pas encore

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MessageSujet: Re: Présentation des occupants du Manoir   Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Icon_minitimeVen 1 Fév - 14:34

Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Cid10 Cidfael

Cidfael est né pendant l’hiver 1432. Sa mère, demoiselle de compagnie, n’avait reçu d’en son lit qu’un seul homme et, même si personne ne devait apprendre les secrets de sa conception, tous en connaissaient la paternité. Bâtard né en dehors de la couche nuptiale du baron, il fut pris sous son aile. Sa reconnaissance ne pouvait en rien lui donner de droit sur la baronnie, mais il fut élevé selon son sang.

Elève assidu, on lui apprit à lire, écrire et compter. Mais ce qu’aimait le plus l’enfant, c’était les cours avec le maitre d’arme. Les longs après midi à apprendre le maniement des armes, les combats, l’apprentissage de chevalier en somme. Les années passant, il continua à s’entrainer.
Vers 14 ans, il devint garçon d’écurie. Son rêve, devenir chevalier ou à défaut faire carrière dans l’armée.
La vie de Cid bascula en décembre 1447.alors que la rage seviçait sur la normandie , le pisteur ramenant les chiens au chenil apres une vènerie laissa échapper la meute qui se rua sur Dalamel venu accueillir le seigneur , et malgrès les efforts de Cid et des « petis gens » qui intervenerent rapidement elle fut grievement mordue.Trois jours passé a son chevet et les cinq medecins qui tentaient mixtures et saignées ne la sauverent pas . Cidfael regarda sa mere mourire , une larme coulant sur sa joue pour la derniere fois de sa vie

Le soir meme il quitta la Normandie pour Paris , trainant dans les ruelles et tavernes de la cour des miracles , ses freles economies sont vite misent a mal
Derobant les bourses , detroussant les marchant sur les chemins durant deux ans sans aucun goût a la vie malgres les gracieuses nuits que lui offre les filles de joies , il reste plutot solitaire . Lors d'une attaque ,une victime se rebelle , et sa dague vint a trancher la gorge du resistant ...Révelation pour Cid lorsqu'il voit la vie quitter le corps pour laisser place a la mort , cette expression dans les yeux du mourrant se sentant partir , la meme qu'avait sa mère juste avant de perire ...Il n aura de but que de retrouver cette sensation , offrant ses services a qui le demande , de voleur il devient assassin.....

Mais bien vite le nombre de ses victimes commence a etre un peu trop imposant , et meme si sa gueule d'ange le tire de situations perilleuses il est temps d'aller voir ailleurs si il ne si trouve pas , une proie trop criarde , un morceau de parchemin trouvé dans une crypte et voilà celui que l'on surnomme "le Renard" a la recherche de son destin , en quete du clan de la Main Noire .....
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Loreleï
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MessageSujet: Re: Présentation des occupants du Manoir   Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Icon_minitimeSam 2 Fév - 3:10

Ho quel dur réveil...Mal partout...Que s'est-il passé? Ou es t’elle?
Douleurs lancinantes, brulantes, elle pestifère contre tout…
*bribes de souvenirs: une taverne, l'alcool coulant à flots, l'ivresse de certains, une main qui se promène, sa dague dans
son entrecuisse.*
Quel est cette forêt ou elle se trouve?
Ses longs cheveux noirs ébène avec de doux reflets bleutés sont emmêlés, ses yeux vert émeraude lui font mal. Ses vêtements ressemblent à des braies.
Elle s'énerve, qui lui a fait cela?
Elle doit avancer, se relever, savoir ou elle est…
Elle vit, elle rit, elle s’amuse, elle profite, elle offre mais un jour elle doit fuir…
Loin d’ici, loin de Paris et de sa cour…loin, ailleurs…vite…
Un emprunt, un bel étalon et la route la mène dans le Sud, au détour d’un chemin, rencontre arrangeante avec un homme non démuni…
Elle repart à la volée, perdue, mais avec les bourses pleines et un médaillon qui étincelle la nuit et se trouve caché dans sa poitrine le jour…

***********************************************************************************************

Souvenir brutal, images dans sa tête qu’elle ne peut enlever :
1445: Allongée au milieu des flammes, plus rien ne vie, elle ouvre ses yeux respirant mal, sa nourrice, ses frères et sœurs sont là, allongés, sans vie. Tout à coup un bruit, une louve, ses yeux si clair...la peur l'envahit mais nul part ou aller, plus de forces, elle l'attrape et la tire vers l'extérieur, hors des flammes...
Un dernier regard sur le château familial rougit par les flammes et plus rien...le néant...
Lore...Lore...Loreleï... C'est son nom...Loreleï...Une image lui apparait, son père...il l'appelle...elle essaye de se relever mais rien...
Loreleï..............Petite fée de l'eau....

***********************************************************************************************

Une femme vivant avec des loups l'élève à la hauteur de son rang...Elle apprend à lire et à écrire, enfin du mieux qu’elle peu…
Elle décède, Loreleï doit faire cavalier seule maintenant...
Elle devient la chef de meute des loups, vivant en leur milieu, mangeant ce qu’ils chassaient…

***********************************************************************************************

Les hommes...ho quels drôle de pantins! Elle les aime puis les déteste, ils lui doivent obéissance et soumission. Elle est joueuse, mangeuse d'hommes.

Elle rit HA! HA! HA!
Elle se moque HI! HI! HI!
Elle savoure son pouvoir hummmm ! hummmm ! hummmm !
Elle s’énerve Non ! Non ! Non !

***********************************************************************************************

Capricieuse? Ha! Ha! Ha!

Sous ses airs angéliques vous lui donnerez Aristote sans confession, sa beauté vous fera frémir, elle vous attirera dans sa tanière et si son venin vous pénètre, ho malheur…vous serez dépendant d’elle et de ses foucades.
Elle est désireuse, exigeante, extravagante, chimère, rêverie, mirage, illusion, excentrique, et bien d’autres encore, caustique, frondeuse, gouailleuse, ironique, dédaigneuse…
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Andrea
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MessageSujet: Re: Présentation des occupants du Manoir   Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Icon_minitimeDim 3 Fév - 2:13

Andréa était un homme ambivalent. Capable de la plus extrême jovialité comme des plus noires colères. Son caractère impétueux l’avait maintes fois mis dans l’embarra. Mais elle l’en avait aussi sortis. C’était un grand amateur des délices que pouvaient offrir la vie. Ce qu’il voulait il l’obtenait, soit par éloquence soit par la force, selon le gré de son humeur.

Il était né sur les cotes bretonnes, bercé par le ressac, son enfance s’était écoulé presque paisiblement. Fils de pêcheur, il ne pouvait espérer grand chose de la vie pourtant il aspirait devenir quelqu'un. C’est alors qu’il la rencontra, elle si belle, si délicieuse qu’il en devint fou. Mais elle était fille de duc et ne pouvais donc pas fréquenter un roturier, cela allait à l’encontre de la bienséance. Toutefois elle l’appréciait aussi. Mais son promis ne l’entendait pas de cette oreille. Il était noble et pas lui si bien qu’après maintes provocations. Andréa succomba à la haine et il le frappa au visage. L’outrecuidance de ce dernier lui valu d’être arrêté et emprisonné, après avoir été roué de coup.

Sa haine le maintint en vie. Il passa 5 années dans les geôles sordides, avec pour seuls compagnons des rats.. Un jour il fut libéré, mais il ne sut jamais par qui ni pourquoi. Sa famille était morte dans un incendie, dont il doutait fortement qu’il eut été naturel. Il arpenta alors les routes du royaume, vivant de rapines, et mendiant pour des piécettes pour gagner sa pitance. Un jour au détour d’une route, il vit un carrosse se faire attaquer, les malandrins pillèrent les gens , tuant les occupants et repartant avec leur babioles et pierreries. Il attendit patiemment que les brigands partent. Ils avaient pris tout ce qui avait de la valeur, sauf une chose, qui pour eux était insignifiante mais qui pour lui fut le début d’une autre vie.

En effet parmi les cadavres, se trouvait un jeune homme de la même stature qu’Andréa. De plus en retournant le corps inerte, il s’aperçu que les voleurs ne lui avait pas pris son sceau. Il prit alors les vêtement du jeune bellâtre mort sa chevalière. Il marcha jour et nuit pour s’éloigner changeant de régions. Une fois loin, il endossa le rôle d’une jeune noble venu d’une lointaine contrée.

Il se reconverti ainsi dans l’escroquerie, dépouillant des bourgeois crédules, s’amusant de ses charmes, dont certaines était parfois friandes, il découvrit la vie de notable. Mais un beau jour, il la revit, elle, celle pour qui il aurait tout abandonné. Elle était au bras de celui qui l’avait bastonné. Il vécu alors que pour se venger. Multipliant les opérations pour le ruiner. Ce qu’il parvint a faire au bout de 2 ans.

Il donna alors une grande réception dans une de ses demeures, où il conviât bon nombre de notables. Aucun d’entre eux ne remarqua la livrée des « serviteurs » d’Andréa, sans doute trop absorbé par l’or qui scintillait. Vers la fin du repas, ses gens fermèrent toutes les portes et fenêtre de la grand salle. Il prit alors la parole, les sourires s’estompèrent alors. Le regard comme possédé, ou d’un dément, il leur annonça leur mort à tous. Tous rigolèrent pensant à une nouvelle de ses frasques. Mais ils se muèrent très vite en hurlements, lorsque son épée se planta dans la poitrine de son voisin de gauche. Ses comparses tirèrent leurs armes et la boucherie commença. Andréa se délecta de ce bain de sang . un seul fut épargné, le noble qui l’avait embastillé quelques années plus tôt.

Lui allait souffrir. Il le fit suspendre à un lustre et il l’évida comme un porc. Le laissant mourir à petit feu. Ils finirent de festoyer dans le sang, les rires reprenant le pas. Mais contrairement à ses acolytes il ne but pas. Au levé du soleil, seul lui était encore vivant. Les autres étaient mort le poison ayant eu raison d’eux.

Cette soirée rouge fut comme une révélation pour lui, le sang, il aimait le voir se répandre sur la pierre. Il se mit à nouveau sur les routes, vivant de sa fortune passée. Profitant des bienfaits de la vie, de la nourriture exquise aux plus délicieuses des donzelles qui avait la malheur de succomber à ses charmes.
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MessageSujet: Re: Présentation des occupants du Manoir   Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Icon_minitimeMer 12 Mar - 4:13

Homme mystérieux, sombre, orphelin d’une mère catin, d’un père inconnu. Agé d’une vingtaine d’années, près de la trentaine. Sa vie se résume à tuer, à répandre la terreur. Les cheveux mi-longs et d'une couleur rare, ses yeux bruns flamboyants, les traits de son visage tirés, tout d’un tueur sans pitié. Marqué de cicatrice, sur le corps : Près du coeur sur la poitrine, dans le dos en travers, sur la cuisse droite.
Il sait manier l'épée depuis son plus jeune âge. Un art qu'il a apprit et intégré dans ses mouvements. Les blessures, il les soigne lui même. Et il sait dompter presque n'importe quel animal.

Né un jour de pleine de lune, sa mère morte en couche. Il fut recueillit par des hommes avars, dont leurs haines étaient dirigées contre la gente féminines. Ils tuaient, violaient, torturaient leurs victimes. Il a grandit dans cette haine, se forgeant un caractère, une identité. Plus les années passèrent, plus Versus devenaient lasse de leurs jeux.

Un jour, alors que Versus avait au moins sept ans, plusieurs hommes revinrent d’une « chasse » accompagnée d’une femme et d’un enfant pas plus haut que deux pommes. Pendant de longues semaines, les hommes s’acharnèrent sur leur victime. La mère fut égorgée sous les yeux de sa fille. L’enfant resta avec eux, devenant leur esclave quand elle eut l’âge de s’occuper de ses hommes. Versus observait chacune de leurs réunions, plus les jours avançaient, plus il prenait cette jeune femme autre qu’une simple esclave. Leurs tortures devenaient agaçantes pour Versus. Il ne supportait plus que ses acolytes puissent lui faire du mal.

A l’aube de ses quinze ans, alors que sa bande s’affairait à torture la Belle. Versus observant comme à son habitude la scène, les bras croisés, son regard ne montrant aucune expression. Bien qu’il était de rage de la voir se faire torturer ainsi. Il ne pouvait nullement s’interposer, au risque d’en être grillé sur le faite. Les yeux marron très foncés de sa petite Perle n’avaient cessé de le fixer, l’implorant de les arrêtés. Versus aurait voulu tous les tués à ce moment là. Mais il n’y fit rien, du moins pas aux yeux de tous. Dès leurs jeux terminés, la Belle mis plusieurs jours à s’en remettre. Versus chercha qui était le commanditaire de la dernière torture infligée à sa petite Perle. Trouvant rapidement ce qu’il souhaitait, alors que la nuit tomba sur leur repaire, Versus prépara ce qu’il fallait pour son départ. Il allait quitter le groupe, sans rien leur dire mais laissant tout de même sa marque. Tous dormaient paisiblement, il entra dans la pièce ou le bougre dormait. Il leva son bras au dessus de sa tête, attrapa le pommeau de sa lame ; lame finement forgée et longue, seul les membres de ce clan possédait ce type d’arme. C’était leur signe d’appartenance. Dans un léger bruit de frottement, il retira sur sa lame la sortant de son fourreau. Alors que le bougre s’éveillait doucement en sa présence, Versus pris la garde de sa lame à deux mains et leva les bras au dessus de la tête plongeant son regard flamboyant dans les yeux de sa victime voulant voir sa peur, il lui abattit sa lame sur le poitrail du bougre. L’homme se plia en deux sous la douleur, aucun cris ne pouvait sortir de sa gorge, sa respiration coupée par le coup. Une fois la lame de Versus bien encrée dans la chair, il tira d’un coup son épée contre lui, laissant une belle et profonde entaille à sa victime. Victime qui mourut dans d’horrible souffrance. Versus murmura entre ses dents, juste avant que le bougre donne son dernier souffle.

« Plus jamais, tu la toucheras. »

Satisfait de son geste, de cette mort, il essuya sa lame rapidement. Déjà des bruits de pas se firent entendre dans le couloir. Il fallait faire vite, ne plus traîner dans le coin. Il sortit promptement de la chambre, la refermant derrière lui. Il guetta le couloir : personne. D’un pas rapide mais pas trop, pour ne pas attirer l’attention sur lui, il sortit de cette demeure, de ce repaire, espérant quand la Belle puisse se remettre de ses blessures, elle avait appris à manier la lame en les regardant. Il le savait et était persuadé qu’elle s’en sortirait. Peut être qu’un jour, il se mettrait à sa recherche. Mais pour l’heure, il devait quitter ce repaire au plus vite, sa vie en dépendait si ses compères se rendaient compte qu’il venait de tuer l’un de leur chef.

Versus se fondit dans la nuit, disparu comme il était venu.

Une dizaine d’année passèrent, alors que Versus erra dans le royaume sans grand but. Juste le plaisir de faire du mal, ne s’attachant à personne, ne laissant personne derrière lui.

Une escale un peu particulière à Dieppe ou il retrouva ce qu'il lui semblait avoir perdu depuis tant d'année : Sa perle. La rencontre se fit violente au départ, avant qu'ils puissent tous deux se reconnaître, se reparler avec une totale confiance, effectuer leurs petits gestes et rituels l'un envers l'autre. Le Ténèbre, ainsi l'appelait-elle, la suivit dans une étrange mission, mais qui lui donna l'impression d'être vivant à nouveau. De jouir de son plaisir de donner la mort, et qui plus est à ses côtés. Après leur petit plaisir en commun, ils se séparèrent, partant chacun de son côté. Lui étant attendu au Berry ou la guerre éclatait et ou il était attendu par la Horde. Il n'y resta pas bien longtemps, quelques semaines tout au plus, pas suffisamment pour se faire des amis, mais plutôt des ennemis. Il reprit la route, préférant être seul que mal accompagné. Il arriva à Clermont ou il fit des rencontres plus qu'intéressante. Bien qu'il s'était égaré de sa tâche première : partir à la recherche de sa perle à nouveau...
Il aide ainsi le Clan, lors de leur mission, il se fait des alliés plus ou moins fort, des ennemis sûrement, mais il n'en a que cure. Une femme l'attirait, mais elle ne savait que s'amuser avec lui. Chose qu'il supportait que très mal. Pourtant, après une requête du Maître du Clan, au Manoir. Il accepta de rester... une nouvelle meute... un nouveau clan... un nouveau jeu et désir à s'assouvir : la faire rager de jalousie.
Une quête resta à jamais terminée... mais il ne l'oubliera jamais... et qui sait, peut être qu'il la retrouvera sans même la chercher.
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MessageSujet: Re: Présentation des occupants du Manoir   Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Icon_minitimeMer 11 Juin - 12:50

Bellinda et Hyldra, sont deux soeurs suèdoises, nées à Stockholm à un an d'intervalle. Toutes deux, dès la sortie de l'âge puéril, vers 8 ou 9 ans, elles entrèrent en apprentissage à la mine, site important dans le commerce en fer, dans la ville de Bergslagen, pour subvenir à leur besoin et à celui du père, qui s'adonna à l'alcool depuis que leur défunte mère soit morte en couche, après la naissance d'Hyldra. Elles y demeurèrent jusqu'à l'âge de procréer.

Bellinda en voulait à sa soeur d'être née, prenant la vie de sa mère. Tout cela, elle l'apprit bien plus tard avec l'age de raison, lorsque leur soulard de père s'en prenait à elles sur le ton glacial de ses paroles, les yeux chargés de colère, maudissant leur naissance. Puis un jour, un marchand d'esclaves, remarqua leur beauté et décida d'aller trouver leur père, pour les acheter, offrant un pont d'or à celui ci, pour être sur de les obtenir. L'ignoble ivrogne de père, n'ayant aucun sentiment pour elles, accepta. C'est ainsi que les deux jeunes adolescentes, partirent par bateau, prenant la destination du royaume de France et se retrouvèrent sur le marché aux esclaves...

S'apercevant qu'il détenait un ... que dis-je, deux trésors entre les mains, après les avoir doigtés et ressentit un obstacle à l'entrée de leur antre, celui ci en fait, changea d'avis et mirent les jeunes pucelles aux enchéres, pour qu'un gros porc de bourgeois, ait l'honneur de déflorer les voies vaginales. Le marché ne déplut point aux paillards.
Durant les actes qu'elles subirent pendant des années, Bellinda songeait aux tintements argentins des écus, que l'autre maquereau recevait, une fois les gras double satisfait. Sa prostitution n'était que de saillies brutales et abjectes, exemptes de toute tendresse. De là est né sa répulsion pour les hommes, mais la nuit elle les réclamait avec rage et furie, la braise au corps, le vice dans le sang, pour satisfaire sa cruauté.

Se désolant de la perte de sa chère virginité, elle jeta un torrent de haine sur le monde et les amants qui le peuplent, allant même jusqu'à insulter sans remord Aristote. L'ivresse des sens était devenue sa seule quête, pour se venger des hommes qui se servaient d'elles pour leur plaisir. Elle avait soif de meurtre, faisant battre la chamade à son coeur démoniaque, macabre et venimeux . Il lui faut une victime au moins une fois par mois, pour assouvir sa haine des hommes, en les martyrisant pour son plaisir odieux. Ils sont ses jouets. Son jeu favori : Tuer les mâles qui se vautrent à ses pieds. Son regard devient féroce et cynique. C'est ainsi que Bellinda se transforme en catin meurtrière, aidée par sa soeur autrefois ennemie, mais aujourd'hui sa plus grande complice ...
Méfiez vous d'elles ! Lorsqu'elles sourient, elles grimacent. Quand elles prient, elles blasphèment. Quand elles aiment, elles maudissent et tuent. L'hypocrisie, est leur vertu. La méchanceté est leur coquetterie la plus naturelle. Si vous les croisez le soir dans les couloirs, vêtues que de voiles transparents et de dentelles cousues d'or fin, ne dissimulant rien de leurs appas, fuyez bande de primates, tant qu'il en est temps. Elles ne cultivent que vengeance, haine, perversité et médisance.

Bellinda est une jeune femme coquette intelligente, fielleuse, aux cheveux clairs tombant en cascade le long de son dos, fine, blonde. Son teint est frais, sa toilette osée, sa gorge aérée, sa cuisse dévoilée, mais attention ! son coeur reste cruel... Sa beauté est ensorcelante et maléfique, chassant pour le plaisir de tuer. L'amour étant son passe-temps impitoyable, sa plus grande jouissance, est d'abattre d'un coup de dague, les bâtards de l'amour au moment où ils s'y attendent le moins. Se jurant par tous les diables, qu'aucun mâle ne saura lui faire ravaler son fiel.
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MessageSujet: Re: Présentation des occupants du Manoir   Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Icon_minitimeJeu 12 Juin - 6:02

Cette jeune femme se prénomme Maïna la Lune, elle fût abandonné par sa mère sur le bord d'un trottoir et avait été ramassée par des brigands. Ils l'avaient prises avec eux comme une servante et elle avait été traitée comme une moins que rien. Un jour, un clan autre clan de brigand était venu et avait combattu son clan, si on pouvait appeler ça son clan, il semblait être le chef de cette bande, il l’avait prise sans aucune considération de sa personne… Elle se résista au commencement, allant jusqu’à le griffer, mais, ce n’était pas la première fois qu’on la violait, alors rien ne pouvait maintenant vraiment la déranger, les autres l’avaient bien fait pourquoi pas lui après tout, elle finit donc par le laisser faire. Il était par contre différent des autres, il était prestigieux, fort et puissant. Il était plus vieux qu’elle et même de plusieurs printemps. Il avait des yeux particuliers, ils étaient dorés et en plus il avait une magnifique chevelure argenté, elle ne pourrait jamais oublier ses traits qui n’appartenaient qu’à lui. Elle découvrit alors une force intérieure et décida que désormais elle aurait le contrôle. Il lui avait donné la force nécessaire pour se débarrasser de cette vermine et elle devrait le remercier un de ses jours. À 15 ans, elle se révolta et les avaient tous assassinés avec un pur plaisir. Elle avait appris très jeune à se défendre, un peu grâce à eux puisqu'ils la méprisaient. Elle profita donc de chaque occasion qui lui passait sous la main, elle vendit son corps pour manger et parfois elle vola. Femme déterminée, elle ne se laisserait pas marcher sur les pieds par de pauvre idiot.

Elle avait un magnifique corps et elle ne s'en cachait point, elle aimait qu'on la regarde, qu'on la désire. Quand on lui manquait de respect, elle ne se gênait pas pour sortir sa douce lame qui ne la quittait jamais depuis qu'elle l'avait prise pour tuer ses soit disant bienfaiteurs. Elle aimait l'utiliser pour se débarrasser de ceux qui se mettaient en travers de son chemin.

Elle avait un corps de déesse, elle aimait d'ailleurs ce pavaner devant les hommes, les voir la désirer. Maintenant, femme adulte, elle appréciait encore plus son corps, elle aimait dévoiler son corps et ce sans aucune hésitation. Elle avait toujours un regard provocateur et passait souvent sa langue sensuellement sur ses lèvres pour les provoquer un peu plus.

La mort ne lui faisait point peur, elle aimait danser avec elle, c'est pour elle une danse merveilleuse. Maïna aimait d'ailleurs la provoquer. Le fait de tuer, lui donnait toujours un doux goût dans la bouche.

Maïna errait parmi les hommes et les villages à la recherche d'un endroit, mais ne savait point ce qu'elle cherchait vraiment, elle voulait aussi retrouver celui qui lui avait donné le courage de se libérer des liens qui l’entravait adolescente. Elle recherchait celui qui l’avait prise et qui lui avait finalement ouvert les yeux, sans trop savoir où elle finirait par le trouver. Par contre, elle savait qu'un jour prochain, elle le retrouverait surement et il pourrait peut-être lui indiquer finalement un endroit où elle pourrait vraiment être utile à quelques choses...
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MessageSujet: Re: Présentation des occupants du Manoir   Présentation des occupants du Manoir - Page 2 Icon_minitimeJeu 12 Juin - 14:49

Hyldra est d’origine scandinave.
Elle a donc passé sa petite enfance, avec sa sœur aînée Bellinda, dans l’un de ses lointains pays nordiques, seulement élevées par un père pochard et misérable, qui se fichait éperdument de ses filles. Leur mère avait trépassé en couche, lors de la naissance de la cadette. Suite à cet évènement tragique, leur géniteur s’était donc réfugié dans l’alcool, devenant tyrannique avec sa descendance, qu’il considérait plutôt comme un fardeau.
Pour Bellinda, sa sœur Hyldra représentait la responsable de cette situation, puisqu’à cause d’elle, leur mère était morte. Une haine incommensurable régnait entre les deux frangines. Incapables de se supporter, elles se déchiraient sans cesse, se livrant coups bas sur coups bas. C’était à celle qui attirerait le plus les faveurs et les bons soins de leur père, qui, jamais bien sûr, ne leur rendait.
Elles se méprisaient au plus haut point, s’adonnant dans une guerre soutenue et acharnée. Bien sûr, elles se battaient, se brutalisaient, se fustigeaient et se tabassaient, mais il n’y avait pas seulement des coups physiques… fourberie, perfidie et traîtrise, qui caractérisaient les stratégies de chacune à descendre l’autre, faisaient aussi partie de leur quotidien.
Fatigué par ces batailles sans relâches entre ses maudites filles, l’ivrogne sauta sur l’occasion lorsqu’un marchand d’esclave, qui avait remarqué leur beauté de glace, lui proposa de les racheter. Alors que les deux sœurs étaient à peine arrivées à la période de l’adolescence, le père se débarrassa donc d’elles comme de vulgaires objets sans insignifiance à ses yeux, en échange de plusieurs sacs d’écus.

Et c’est ainsi que les deux frangines arrivèrent au Royaume de France, ayant arpenté routes, chemins et mer, et assujetties à ce marchand qui comptait bien tirer bon prix d’elles, là bas.
Seulement, se rendant compte que ces filles du Nord connaissaient un véritable succès, bien plus grand qu’il ne l’avait escompté, ce maquereau décida de les prostituer plutôt que de les vendre, persuadé de tenir une affaire en or, avec elles en sa possession.
Et ce fut le cas… il amassait énormément d’argent, en « louant » leur corps à des hommes en manque de chaire. Bellinda et Hyldra connurent ici la pire période de leur vie… subissant toutes sortes de tortures et sévices, violées, meurtries, battues… pendant de longues années, et cela, quasiment toutes les nuits. Ces vils et ignobles bougres jouaient avec elles, les brutalisaient. Tous les voulaient… celles qu’on surnommait les « Poupées scandinaves ». N’importe quel obsédé du coin qui en entendait parler voulait passer une nuit avec elles… Les sœurs suédoises ont passé des années à servir d’objet et de loisir aux vils hommes qui les réclamaient…
Bien évidemment, Hyldra avait essayé au début de leur captivité de résister, entraînant plus féroce colère encore contre elle, de la part de ces vauriens, qui profitaient d’elle. Mais au fur et à mesure du temps, son visage devenait complètement impassible lorsqu’on la pénétrait, ou la brutalisait. Aucune émotion ne pouvait se lire sur son faciès qui s’était endurci, presque solidifié. La jeune femme se laissait souiller sans plus aucune résistance, comme si son esprit, lors des passages des hommes sur elle, se détachait de son corps. Elle avait appris à feindre l’indifférence, peut-être même l’avait elle réellement atteinte. Pendant ces années de tortures, peu de mots sortirent de sa bouche, les seuls qu’elle énonçait, étaient destinés à sa sœur Bellinda, qui durant cette période devint sa proche complice. Elles purent traverser et supporter ces épreuves, car elles étaient ensemble. Elles s’étaient fortement rapprochées et se soutenaient. Chacune d’elle savait qu’elle n’était pas seule, qu’il y avait sa sœur… Un lien inaltérable et inébranlable était né entre elles deux…
Dans cette atroce période, paradoxalement, quelque chose d’inouï s’était passé… les deux ennemies, qui ne ressentaient que haine de l’une envers l’autre, étaient devenues deux sœurs fusionnelles et inséparables.

Seulement, un soir, elles surprirent une conversation entre leur « maître » maquereau et, un riche et puissant seigneur, le dernier proposant un marché à l’autre… Il voulait emmener la cadette avec lui, en échange d’argent, pour la faire sienne. Lors d’une nuit, il avait jeté son dévolu dessus… et ne voulait plus la quitter. Bien sûr, malgré que cela signifiait pour le bourreau des sœurs l’arrêt immédiat de ses « bonnes affaires », il n’avait pas d’autres choix que d’accepter le pacte de ce noble sans scrupules, qui avait encore fait l’effort de lui proposer de l’argent en échange, alors qu’une simple menace aurait suffi pour la prendre.
Mais, il était bien entendu hors de question pour les sœurs qu’on les sépare… C’était impossible, ou elles en seraient mortes…
Alors, durant la nuit, Bellinda et Hyldra gambergèrent, et prises toutes deux d’un excès de rage, et n’ayant d’autre choix, elles entrèrent dans chacune des chambres du redoutable noble et de leur maître afin de les assassiner, l’un après l’autre, durant leur sommeil. Elles les tuèrent, en les poignardant… en plantant plusieurs fois la lame d’une dague dérobée, dans leurs chaires, au niveau du cœur. Elles laissèrent sur leur passage, deux corps férocement tailladés, qui baignaient dans leur propre sang dégoulinant de leurs paillasses….
Etrangement, elles avaient pris plaisir à cet acte meurtrier, libérant ainsi toute la hargne et la rage qui sommeillaient en elles depuis des années. Enfin elles avaient trouvé le courage et la force de s’enfuir…

Suite à cela, la période de vagabondage commença… Les deux sœurs scandinaves basculèrent dans la noirceur et l’obscurité du Royaume, là où meurtres, tortures, supplices, violences et souffrances guident les actes de chacun…
Les poupées scandinaves devinrent machiavéliques et sanguinaires, se délectant de chacune de leurs prouesses meurtrières.
Elles menèrent alors une vie de débauche, où la scélératesse, la perfidie et la noirceur régnaient en maîtresses.

Bellinda et Hyldra se jouaient des hommes, leur faisaient subir les pires sévices. Pendant que l’une attirait la proie, l’autre, sortant de l’ombre, l’attaquait et l’égorgeait par derrière, en traître… Voilà quelle était leur façon de faire privilégiée… Elles faisaient quasiment toujours leurs coups à deux… toujours aussi inséparables.

A chaque primate tué, une immense sensation de jouissance accaparait la cadette, se ravissant de la douleur et de la souffrance qu’elle faisait endurer à ces « chiens », qui osaient croire avoir la main mise sur elle… Elle regardait chacune de ses victimes droit dans les yeux lorsqu’elles trépassaient, s’assurant que la dernière chose que ces mâles voyaient, était cette délectation qui se pouvait se lire dans le regard d’Hyldra, lorsque leur dernier souffle s’éteignait…
Les sœurs faisaient subir à ces moins que rien ce qu’ils leur avaient fait subir pendant toute leur adolescence… Cette soif de vengeance qui les animait était intarissable…

Voilà à quoi ressemblait leur quotidien… quand elles ont entendu parler de la Main Noire, par un homme qui avait scandé le nom de ce Clan sur le parvis de la cathédrale à Clermont. Passage d’ailleurs ô combien remarqué, par le raffut que ce groupe avait pu y mettre en dérobant la célèbre relique du Saint local. Intriguées, et attirées, les scandinaves cherchèrent à en savoir plus sur cette organisation… Et c’est là qu’une nouvelle page pour elles se tourna… Une quête débuta…





Sombre, glaciale, fascinante mais insaisissable, voilà ce qui caractérise à merveille Hyldra … Elle est toujours à l’endroit où on s’y attend le moins.
La cadette est la moins exubérante des deux sœurs, la plus discrète… mais aussi certainement la plus mystérieuse. Elle n’en reste pour autant pas moins dangereuse.
Elle observe plus qu’elle n’est regardée, elle écoute plus qu’elle ne parle…
De son visage dur et froid, on ne peut manquer ses yeux clairs, non pas bleus mais gris acier, presque translucides et qui, à la fois, vous envoûtent et vous glacent le sang. Son regard hypnotise celui qui ose trop longtemps le soutenir.

A la fois obscurité et lumière, belles et sinistres, ces poupées scandinaves funestes sont craintes de tous ceux qui osent trop s’en approcher.

Mais qui est donc la plus machiavélique des deux ? A vous d’en juger…
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