Le Clan de La Main Noire Repaire des membres |
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Xandrya Spadassin noir - Archiviste
Nombre de messages : 716 Localisation : Là où on ne m'attend pas...Ma dague bien cachée... Etat d'esprit : Désabusée... Désirs : Comprendre... Date d'inscription : 20/02/2007
| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Dim 20 Mai - 0:31 | |
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"LA CARRIERE DE PIERRE ABANDONNEE"
"LES BOUFFONS SE REPOSENT LOIN DE LA VILLE"
Dernière édition par le Dim 20 Mai - 4:10, édité 2 fois | |
| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
Nombre de messages : 716 Localisation : Là où on ne m'attend pas...Ma dague bien cachée... Etat d'esprit : Désabusée... Désirs : Comprendre... Date d'inscription : 20/02/2007
| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Dim 20 Mai - 2:08 | |
| "LA CARRIERE DE PIERRE ABANDONNEE" BLACKHANDLa troupe avez traversé Mende très tôt dans la matinée, le soleil n'était pas encore lever, et cela tomber bien la journée ne serait pas de tout repos aujourd'hui, il se rapprochait...
Black conduisit le groupe loin a l'extérieur de la ville a proximité d'une ancienne carrière de pierre, celle ci devait être a l'abandon depuis longtemps, a en juger la végétation présente...
Il mis pieds a terre, ainsi que tous le reste du groupe, puis il s'adressa a eux.
Bon je sais que tout le monde est fatigué par la chevauchée de la nuit, mais si nous voulons nous reposer un peu, il faut d'abord travailler un peu. Aicha, Xandria, vous venez avec moi nous devons trouver une carriole. les autre rester ici au calme, prenez soin des chevaux, il en on besoins, on va aller repérer les lieux et si besoin est on vous fait signe... Et commencer a récupérer des pierres, pour la suite...
Puis Black fit signe à Aicha et a Xandria de le suivre... _______________________________________________________________________ SEAMUSLa route avait été longue, tous étaient fourbus mais il n’était pas encore temps de se reposer, le chef venait bien de le répéter pour la xième fois de la journée. La Maure l’avait rejoint sur sa monture pour une partie du voyage et avait un peu dormi agrippée fermement à lui.
Lorsqu’ils arrivèrent dans la carrière, le chef de meute désigna deux volontaires pour le suivre. Le Taciturne regarda du coin de l’œil le trio se diriger vers les bois. Pas qu’il ne lui faisait pas confiance, bien qu’il n’aie non plus de raisons pour le faire, Seamus décida de les suivre discrètement, se cachant d’arbre en arbre. Il ne désobéissait en rien mais cette initiative pourrait déplaire. Les belles pourraient certainement se défendre mais se retrouver dans les bois, prêt pour l’action réveillait chez lui de vieux réflexes protecteurs._______________________________________________________________________ AICHAEncore une nuit à chevaucher, Aicha ne se sentait plus les fesses. Épuisée elle avait sauté sur la monture de Seamus en cour de route et c était permis un moment de repos. C’est avec un immense soulagement qu’elle mit pied a terre. Ces folles chevauchées étaient libératrices, mais combien éprouvantes physiquement.
Black ne perdait pas de temps à peine avait-elle mit pied a terre que déjà elle avait a faire. Elle maugréa pour elle-même qu’il pourrait leur laisser le temps de se rafraîchir et de manger un peu, mais pour une fois elle le suivit docilement ou presque. En arrivant à sa hauteur, elle le regarda, lui souriant malicieusement.
Nous allons dans les bois ensemble! J’espère que tu as emmené ton bâton. Elle pouffa de rire, se rappelant un certain jour à Carcassonne où il avait fait un « combat » de bâton.
Alors, tu sais où on peut trouver une carriole ou nous devons errer jusqu'à ce qu’on en trouve une?
_______________________________________________________________________ XANDRYAXandrya avait chevauché aux côtés de Black, elle esperait bien pouvoir se poser un peu même si la journée s'annonçait plus fatiguante que les précédentes.
Black était parti devant pour donner ses directives, affalée sur l'encolure de Nyx, elle écoutait sentant son dos qui reprennait un semblant d''humanité dans cette position délassante...
Aicha, Xandria, vous venez avec moi
Son nom la fit sortir de sa torpeur, elle sauta du dos de sa jument et confia les rennes de sa jument à Bohort qui passait,près d'elle, à ce moment là.
Prend en soin, je te fais confiance, moi on m'appelle... Je te remercierais... Plus tard... lui dit avec un clin d'oeil en s'éloignant pour rattraper les autres.
Arrivé à hauteur d'Aïcha, elle lui mit un coup de coude en désignant Black d'un signe de tete devant elle et lui chuchotta...
C'est quoi le programme... Une ballade en foret à trois... Il croit vraiment qu'on va la trouver dans les bois sa carriole...
Xandrya étouffa un rire et se pencha tout contre l'oreille d'Aïcha pour être sure que Black n'entende pas.
Ou alors il a des idées coquines en tête !!! lanca t-elle à sa comparse en commencant à rire.
Rire qui fut vite interrompu, Xandrya se stoppe, tourne la tête avec rapidité faisant voler ses cheveux roux autour d'elle et guette, scrute ce qui les entoure, les dagues déjà sortis des étuis et en main, prêtes à frapper.
Son regard s'est fait noir, ne voyant rien, elle continue d'avancer mais armes à la main, méfiante, prete à bondir... elle a cru entendre quelque chose... Quoi ??? Qui ???
Elle regarde Aïcha et tapote l'épaule de Black avec la pointe de sa dague
Vous avez rien entendu ??? Je crois qu'on est pas seul !!! chuchotte t-elle tout bas.
_______________________________________________________________________ AICHAIls partirent en direction de la forêt laissant derrière eux le reste de la horde qui s’affairait à établir le camp. Aïcha sourit amusée, et se retourna vers Xandria qui venait de les rejoindre.
Je ne sais pas si il croit trouver une carriole en forêt, ou peu être, a-t-il décidé de s’en sculpter une dans un tronc d’arbre. Les deux filles étouffaient leur rire et suivaient Black qui un air sérieux s’enfonçait dans la forêt. Aïcha chuchota a l’oreille de Xandria
Tu crois vraiment qu’il arriverait à nous satisfaire toutes les deux.
Elles riaient de plus belle quand le mouvement brusque de Xandria la ramena a l’ordre. Aïcha saisi ses deux lames et se retourna à son tour. Regardant dans la ou portait le regard de sa partenaire… Elle ne voyait rien, scrutant les bois derrière eux.
Moi je n’ai rien entendu du tout…
_______________________________________________________________________ [color:68f7=red:68f7]BLACKHANDBlack commençais a avancer dans la foret, suivit des deux femmes qui rigolaient... [coloré=orange] Non, ce n'est pas une promenade de plaisir que je vais vous faire faire, donc si vous pouviez rester concentrer une minute se serait sympa...
Puis continuant a avancer black avait bien entendu quelque chose, tous comme Xandrya. mais il fit mine de rien...
Ce doit être un animal, mais rester sur vos garde, dit il au deux femme en chuchotant, un petit sourire sur les lèvres...
continuant a marcher pour essayer de repérer d'éventuelles traces fraîches, sur le sol, signe de passage, mais rien...
Plusieurs heures passèrent, il avait attendu au bord de la route, a couvert pour éventuellement en attaquer une qui passerais mais rien.
Alors qu'il s'aprettait a faire demi tour pour retourner au clan, et aller chercher d'autre membre du groupe dans le but d'aller chercher un chariot en ville...il ne le rester plus que cette solution...
RHA c'est pas vrais, c'est quoi cette ville, il y a personne sur la route, c'est incroyable quand même de ne pas trouver quelque chose a voler ici. Maugréa t-il a son intention...
Puis encore un mouvement derrière un arbre, il saisie une de ses dague de lancer, discrètement, et fit signe au deux femme, avec la tête pour leur designer un arbre...
Il continua a se déplacer tranquillement sa dague prêt a être lancer, puis dans un même mouvement, il se retourna rapidement lançant sa dague de toute ses force et avec une grande précision. Elle se ficha sur le tronc de l'arbre à quelque centimètre de la tête de Seamus, qui avait voulut observer les trois personnes.
Tu est fou, ou tu veut mourir si j'avais voulu je t'aurais tuer, la prochaine fois que tu veut venir avec moi tu me le demande, mais tu ne me suis pas sans vouloir te faire voir. Sache une chose, quand je donne des ordre j'aime qu'il soit respecter, mais je ne refuse jamais quelqu'un qui propose son aide. tache de t'en souvenir a l'avenir...
Alors que black se dirigeait vers sa dague pour la récupérer, Seamus allait répliquer... Mais black lui mis la main sur la bouche, et posa son index sur ses lèvres pour faire comprendre a ses compagnon de se taire.
Il avait entendu du bruit, un groupe s'était installé non loin d'eux...
vous avez entendu? chuchota t-il. nous avons peu être trouver ce que nous cherchons. suivez moi en silence.
Black se dirigea au son pour retrouver la trace du petit groupe qui ce t trouver au mauvais endroit au mauvais moment..._______________________________________________________________________ AICHAIl semblait qu’il n’y avait qu’elle qui n’avait pas entendu. Elle n’était pas concentrée du tout. Il lui fallait se ressaisir avant que Black ne s’énerve. Il lui en voulait surement encore du réveil brutal de Nîmes… Ils continuèrent leur marche en silence, restaient sur leurs gardes. Le trio marchait depuis un long moment sans dire un mot.
Black se mit a ronchonner et voulus repartir au camp. Décidément… il était de mauvais poil aujourd’hui. Surement la fatigue du voyage… Cette foi elle perçu le mouvement du coin de l’œil. Avant même que personne ne réagisse, il avait lancer sa dague. Elle sourit amusée en voyant Seamus sortir de sa cachette et Black lui passer un savon. Seamus semblait n’en avoir que faire, mais qu’importe, il était là maintenant.
Le « chef » leur intimait de garder le silence, on entendait des voix, de la musique, enfin quelqu’un… Aïcha espérait qu’il aurait se dont ils avaient besoin. Elle n’avait qu’une envie, retourner au camp et se reposer, ne serait ce qu’une petite heure.
Le Trio, qui n’en était plus un, repris la marche silencieuse, arme au poing ils approchaient du petit groupe…
_______________________________________________________________________ SEAMUSLe Taciturne avait réussi à se dissimuler pendant des heures, suivant, observant et contemplant même le trio furtif. Le groupe fait une étrange manœuvre de subtil demi-tour. Seamus fronce les sourcils quand il voit Black fourbir ses dagues. Il a juste le temps de bouger la tête de quelques centimètres qu’un bruit sec résonna à son oreille droite. La dague habilement lancée se fiche dans le tronc. Seamus frémit. Décidément ses compagnons de route n’étaient pas manchots. Black se dirigea furieux vers lui et lui servit un sermon interminable. Seamus le regarda d’un air morne. Déjà qu’il avait une sainte horreur de curetons, il n’était pas venu vers ces gens pour recevoir de sermons. Il bouillonnait à l’intérieur mais n’en montra rien. Le meneur alla jusqu’à mettre sa main sur sa bouche… Une forte envie de ses saisir de cette main et de l’envoyer paître au loin lui traversa l’esprit mais il se contenta de se dégager violement. Il siffla entre ses dents
Ne me traite jamais de Fou…parce que chef ou pas chef…
Il fut interrompu par une mélopée rythmée accompagnée de battements de main. Manifestement un campement s’égayait non loin de là. Le chef leur fit signe de se taire et leur dit de les suivre en silence…
_______________________________________________________________________ XANDRYAA la suite de Black, Xandrya commencait à en avoir assez de marcher pour rien et bouillait entre la fatigue et le manque d'action...
Enfin il dit qu'on s'en retourne au campement, c'est pas trop tot !!! Un bruit, à peine le temps de se retourner que Black a déjà planté son coutelat dans un arbre juste a cote du visage de Seamus.
Xandrya malgré la surprise esquisse un sourire et lève les yeux au ciel en faisant un clin d'oeil à Seamus en entendant le laïus de Black... Enfin il a fini on peut repartir mais Le taciturne s'enerve déjà... Pas étonnant elle en aurait fait autant.
Black fait signe de se taire.... Des voix, de la musique... Quelqu'un !!!!
Tapis dans les fourrets les quatres compagnons s'approchent du lieu d'où proviennent les mouvements de vie...
De l'action !!! Enfin !!! songe t-elle en regardant ses comparses qui ont l'air aussi ravis qu'elle.
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Dim 20 Mai - 2:12 | |
| "LES BOUFFONS SE REPOSENT LOIN DE LA VILLE"LES BOUFFONSLa petite troupe de bouffons qui se reposait tranquillement a l'écart de la route assez loin de la ville, ils avaient parcourt les routes depuis plusieurs jours et n'avaient pas envie d’être dérangé par la population proche, ils avaient besoins de repos, et de calme.
C'est pour ça qu'ils avaient choisi cette petite clairière a proximité d'une ancienne carrière de pierre abandonnée, où la végétation avait repris ses droits. ils étaient a l'abri de regard indiscret de la route, la ils étaient sur de ne pas être dérangés.
tous dormais a poings fermés, sauf un qui montait la garde, sur ses amis et leur carriole, qui contenait enormement de matériel, avec ce qu'il possède en matos ils ont de quoi faire nombre de spectacle tous complètement différents. c'était ce qui faisait la qualité de ce groupe de cinq personnes, ils sont peu nombreux, mais leur talent et leur équipement leur permette nombre de possibilités festives et d'animation... la nuit commencait a tomber sur la petite troupe, qui avait bien mériter un nuit de repos...
_______________________________________________________________________ BLACKHANDBlack arrivait à proximité du camp d'une troupe de troubadours, se reposant, ils n'étaient que cinq, et ils avaient un chariot, juste ce qu'il avait besoin et peut être même plus.
ils restèrent tous les quatre à les observer, dans un silence de mort attendant le moment propice pour attaquer...
un seul du petit groupe de saltimbanques ne dormait pas, il devait certainement monter la garde, mais il s'assoupissait par moment, signe de fatigue et de manque d'endurance...
Black s'adressa à ses hommes d'armes pour leur donner les instructions en murmurant pour ne pas se faire entendre : ils sont cinq, et un seul ne dort pas, enfin presque... Déplacez vous discrètement et en silence de façon à arriver derrière une des personnes qui dort, je me charge de celui qui ne dort pas, avec une de mes dagues, ensuite nous attaquons en même temps les quatre autres, un chacun, une mort rapide et silencieuse....
La nuit commençait à tomber, le ciel était rouge, annonçant la mort de l'astre solaire pour quelques heures, et la naissance de notre meilleure alliée, la lune._______________________________________________________________________ SEAMUSLe Taciturne partit en premier, se faufilant dans les hautes herbes, approcha le campement à pas de loup. Longeant le chariot il se posta en silence à la tête d’une jeune femme aux longs cheveux de jais. Il la regarda en se répétant
« Ta mission tu honoreras, ou ta vie tu donneras ! »
Il murmura pour lui-même,
Désolé très chère maison se reverra peut-être mais dans l’autre monde.
Il sortit une dague de sa botte et se tint prêt_______________________________________________________________________ XANDRYAXandrya avait écouté attentivement Black et se faufilant derrière les fourets telle une chatte, elle alla se poster à proximité d'un homme allongé le dos tourné vers le bosquet.
Se glissant dans son dos à quelques centimètres une dague dans chaque main, elle était prete à agir au moindre signe de Black, se faisant ombre du sommeil du troubadour assoupi..._______________________________________________________________________ AICHASuivant les ordres de leur «chef» du jour qui était plus grognon qu’un ours au sortir d’hibernation. Aïcha s’avança a pas de loup et vint se placer derrière un des hommes qui dormait profondément.
Elle s’accroupi derrière lui et attendit le signal retenant sa respiration. .Les autres se mettait en place tout devait aller vite sans bruit et proprement. Il n’aurait pas la joie d’entendre les cris de douleur, pas cette fois ci…
_______________________________________________________________________ BLACKHANDle petit groupe avait pris position, tous étaient prêt a bondir, des loups dans une bergerie...
Black était sur les nerfs, la journée avait était longue, il avait besoin de se défouler tout comme ses coéquipiers, et ils allaient pouvoir le faire, dommage qu'ils ne puissent pas en profiter plus mais ils n'avaient pas de temps a perdre...
Chacun des membres était en position, Black attendez, sa dague en main prêt a lancer, attendant le moment idéal.
Puis le moment tant attendu arriva enfin, l'homme qui devait monter la garde, se laissa aller dans les bras de Morphée, laissant sa gorge bien en évidence.
L'angle de lancé calculé, Black lança sa dague, celle ci se planta et traversa la gorge de l'homme qui mourut sur le coup dans un silence sepultural, le sang jaillit avec violence de la gorge perforée, se rependant rapidement sur le sol.
Mettant au clair son fleuret, en se déplaçant vers sa prochaine victime tel un fantôme annonciateur de mort...
Il bouscula sa deuxieme victime du pied pour la réveiller. Celle ci se releva en râlant.
Quoi encore!!! C'est déjà a moi de monter la garde.
Alors que l'homme avait a peine le temps de comprendre ce qui se passer, Black lui fit sauter la tête de ses épaules, lui éclaboussant le visage de sang chaud au passage. Douce sensation que de sentir le sang chaud sur son visage, Black se sentit apaisé...
dans un sourire démoniaque il regarda les autres, ils n'étaient plus non plus tout le monde avait était rapide et net...
Du travail d'orfèvres..._______________________________________________________________________ SEAMUSSeamus gardait un œil sur Black. Il le vit lancer son couteau avec autant de brio que quelque temps auparavant, lorsqu'il avait failli perdre une oreille. Un léger bruit de gargouillis se fit entendre.
Et d’un... dit-il.
Le chef se dirigea nonchalamment vers le dernier campeur qu’il décapita d’un trait. Le Taciturne, debout à la tête de sa prochaine victime, contempla, subjugué, ses compagnes exécuter leurs proies. Il regarda la fille allongée à ses pieds. Il haussa les épaules, la saisit par sa chevelure abondante pour lui découvrir la gorge. Deux yeux noirs d’effroi le fixèrent dans la nuit. Ce regard il le connaissait, il le connaissait que trop bien. Il passa sa fine lame sur la gorge de la bouffonne en fermant les yeux. Il ouvrit la main, la chevelure glissa entre ses doigts et la tête inerte rebondit sur le sol. Sans un regard pour sa nouvelle victime, Seamus se dirigea l’âme vide vers le chariot pour en examiner le contenu._______________________________________________________________________ AICHALe signal fut donné de façons plutôt sanglantes. La dague siffla, le sang gicla, le garde tomba dans un bruit sourd, amorti par l’herbe de la clairière. Un sourire au bord de la démence illumina le visage de la maure, elle jeta un œil à Black et agit simultanément avec ses compagnons d’infortune. Aïcha se pencha tout prêt de l’oreille de l’homme endormi et lui murmura d’une voix suave.
Réveille-toi joli chaton c’est l’heure de s’amuser.
Elle déposa un tendre baisé sur sa joue et au moment ou l’homme ouvrait les yeux, lui souriant, un peu perdu, elle trancha net… un gargouillis sinistre se fit entendre. Le regard de l’homme, chargé d’incompréhension fixait celui de la maure, alors qu’il se noyait dans son propre sang….La jeune femme sourit en relâchant l'homme qui c'était effondré sur ses genoux, satisfaite, apaisée. _______________________________________________________________________ XANDRYADu sang qui gicle... Le signal...
Xandrya sourit sadiquement, observe Aïcha, elle n'a pas pu s'empecher de reveiller sa victime... Seamus semble... Lui !!! Impassible...
Elle se glisse contre sa victime encore plus pret, son bras se glisse dans le creux du cou, simultanement elle frappe de ses dagues... Une s'enfonce dans le dos au niveau des reins et l'autre dessine un second sourire au niveau du cou du troubadour assoupi...
Du sang coule sur sa main, encore et encore... Comme ça fait du bien... Les mains recouvertes du fluide vital du saltimbanque, elle se redresse et regarde Le taciturne qui achève sa proie... lui aussi l'a eveillé...
Mais qu'est-ce qu'ils ont tous à les reveiller... Si on peut pas les faire souffrir ca sert à quoi.... songe t-elle tandis que la tête du menestrel décapité par Black roule à ses pieds.
Xandrya donne un coup de pied dans le crane désolidarisé du corps avec nonchalance et se dirige vers le chariot pour rejoindre ses accolytes.
Bon on a la chariotte, sinon y'a quoi de beau là dedans ???
_______________________________________________________________________ MASILIANOCSurplombant la scène "dramatique" qui se déroulait bien loin en dessous de lui, Masilianoc ricanait doucement, appuyé au tronc de l’arbre qui lui servait de refuge. Se fendant d’un large sourire, il se laissa glisser le long de l’écorce noueuse et atteint sans un bruit le sol. Marchant avec légèreté dans le sol humide et collant, couvert de feuilles luisantes, il s’approcha tranquillement du petit groupe de meurtriers, toujours sous le couvert de la végétation sauvage et des buissons d’épineux, endormis par l’hiver mourrant. D’un mouvement leste, il se hissa dans un chataigner proche et, assit, continua d’observer les assassins.
Avec un rictus moqueur, il écarta légèrement l’extrémité de son pouce de celle de son index.
Petits-petits …. Tout petits les méchants …
Puis il se mit à songer, la fascination du sang passée devant si peu d’innovation, que des meurtres si proches et le peu de culture des militaires allait faire qu'il y aurait rapprochement...
Encore un crime qu’on allait essayer de lui coller sur le dos. Masilianoc n’acceptait pas cela. Il signait ses crimes, lui. Il avait sa marque, il ne laisserait pas faire cela. Qu’on puisse confondre son art avec ces meurtres de bas-étages le révulsait ! Il observa encore longuement les amateurs en souriant. Le sadisme à l’état pur…
_______________________________________________________________________ BLACKHANDLa mort avait frappé, cette nuit commencait dans le sang, le ciel rouge s'était transformé pour accueillir l'astre lunaire, et revêtir son manteau bleu marine...
Black contemplait le spectacle, un sourire démoniaque sur les lèvres...
Maintenant au boulot, il faut faire place net, on enterre les corps, et on retourne au camp, avec le chariot, les autres ont du faire un beau tas de pierres je pense...Ensuite nous repartons, pas de repos aujourd’hui, nous avons perdu trop de temps...
Black allait commencer a fouiller les corps quand il entendit Xandrya râler..._______________________________________________________________________ XANDRYACa va pas bien non !!!! On va pas se coltiner de creuser !!!
Xandrya tape l'épaule de Black, le regard furieux
Y peuvent bien se bouger le cul aussi les autres restés tranquille à pioncer au camp, moi aussi je voudrais me reposer !!!
Tu les charges dans la cariole avec Seamus oui !!!
Tirant Aïcha par le bras, elle lança à Black sans lui laisser le temps de contester le moindre de ses mots.
Aïcha et moi on va prevenir les autres, qu'ils creusent, vous nous rejoigniez apres !!! avec le barda et les macabés....
Et...euh... Oublie pas la tête Black !!! finit-elle en souriant, pressant le pas vers le campement.
S'éloignant des deux hommes, elle se tourna vers Aïcha en lui parlant sans attendre de réponse, sur un ton agacé et moqueur.
Nan mais tu le crois, y voulait nous faire creuser en plus... Nan mais je te jures !!!!
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Dim 20 Mai - 3:35 | |
| _______________________________________________________________________ SEAMUSBlack se rallia à la suggestion de Xandrya, les autres pouvaient aussi faire leur part du boulot. Ils devaient certainement être en train de baguenauder pendant qu’eux prenaient tous les risques. Le Taciturne ricanait s’imaginant Black devoir charger les corps seuls mais ne fit aucun commentaires, il n’avait qu’une seule envie, dormir, oublier… Ils chargèrent les corps en vrac dans la chariotte. Seamus à son habitude fit le tour du campement pour effacer toutes traces de ce qui venait de se passer lorsque deux yeux noirs le fixèrent dans la nuit. Des yeux sans vie, vides comme les siens… Il ramassa la tête qu’ils avaient failli oublier et la balança rageusement dans la carriole. Il recouvrit de terre le feu qu’ils avaient préalablement éteint. Satisfaits ils contemplèrent la clairière vide et se mirent en route sans traîner pour rejoindre leur campement. Seules quelques taches de sang éparses ponctuaient le sol de ci de là. Les bêtes sauvages auraient vite fait de terminer d’effacer les dernières traces de la macabre équipée._______________________________________________________________________ MASILIANOCSilencieusement, Masilianoc redescendit de son refuge, et se mit à suivre les individus qu’il surveillait. Il s’arrêta pour observer comment les traces avaient été effacées et se mit à sourire. Les rares traces de sang serraient vite bues par le terrain détrempé, cependant, l’endroit ou l’homme avait été décapité laissait une grande tache sombre, et l’odeur de fer ne trompait pas l’odorat du soldat. Même si sa vue lui faisait défaut l’odeur était là, et l’aube verrait apparaître une grande trace grumeleuse et collante là où le sang avait été versé.
Peu lui importait, il allait les suivre et vérifier qu’on ne risque pas de les confondre. Ils avaient parlé d’enterrer les morts, soit, mais il était curieux de voir cela. Après tout, si la situation lui déplaisait, il n’aurait que peu de choses à faire. Doucement, il caressa ses dagues en souriant…
D’un geste souple et vif il se redressa à moitié, s’agrippa aux pousses et aux pierres qui affleuraient et partit en courant à ras du sol. Bondissant et glissant comme un félin entre les arbres et les rochers, dévalant les talus dans un silence total, il les suivait, ombre lourde de menaces…
Il arriva rapidement à ce qui semblait être leur camp...
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Dim 20 Mai - 3:39 | |
| "LA CARRIERE DE PIERRE ABANDONNEE" FLYN DARKBlack était parti depuis un moment avec les deux filles. Flynn avait bien vu Seamus partir a leur suite.. Mais il avait haussé les épaules et était retourné aider les autres à terminer d’installer le campement. Il profita qu’Anya passait tout prêt et l’attrapa par un bras pour l’embrasser avant de la relâcher lui tapotant une fesse. Bohort et bouzigoth c’était occupé des chevaux. Le feu avait été allumé et a peu prêt tout le monde avait mangé.
Ceux qui avaient été de garde la veille n’avaient pas tardé a se trouver un coin d’ombre pour piquer une sieste. Tandis que les autres s’affairaient a rassembler les pierres d’ont-ils auraient besoin pour la suite. Le soleil commençait a décliné l’heure du départ approchait encore une foi trop vite. Flyn lançait des regards impatients vers la forêt et maugréait entre ses dents. Ils ont affaire a se bougé si non nous parton sans eux….
Doucement ils commencèrent à réveiller les endormis afin qu’il se prépare a repartir dès le retour des autres…._______________________________________________________________________ ILLAURAElle a pris soin de son cheval, comme elle le fait, à chaque étape. Et comme à chaque fois, elle a refusé gentiment, mais fermement, qu'un autre s'en occupe pour elle. Elle lui a passé des lotions pour calmer les contractures de ses muscles. Puis elle a murmuré à son oreille, le remeciant et lui confiant la triste solitude qui l'habite. Elle finit toujours en étouffant ses sanglots dans sa crinière.
Les autres sont parties chercher la carriole depuis un petit moment déjà.
Illaura tente de se reposer un peu. Mais trop de questions la tourmentent. Elle n'arrive pas à s'endormir, et rester là s'en rien faire l'énerve encore plus. Alors elle se relève. Il faut qu'elle s'occupe.
Elle va aider les autres à rassembler des pierres. Ils doivent tout préparer.
Elle est épuisée, mais elle s'active. Elle cherche les pierres qu’elle puisse porter et les amène courageusement sur le tas. Ce labeur répétitif l'ennuie. Elle laisse vagabonder son esprit qui est bien loin de là, quelque pars, près de Lui.
_______________________________________________________________________ AICHALes deux femmes avaient pressé le pas, parcourant la distance qui les séparait du camp beaucoup plus rapidement qu’a l’aller. Aicha regarda son armure de cuire taché de sang et secoua la tête.
Arf encore une de gâcher… Elles ricanèrent toutes les deux et pressèrent le pas.
En arrivant au camp elle fut heureuse de voir que les autres ne s’étaient pas tourné les pouces. Le tas de pierres était prêt et deux hommes s’affairaient à seller les chevaux. D’autres terminait de nettoyé et de plié bagage. Elle soupira en regardant Xandrya.
Quelque chose me dit que nous n’aurons pas le temps de nous reposer, encore !!!…Puis elle se dirigea vers le groupe qui discutait non loin de l’amoncellement de pierre.
Flyn, illaura, kimera et barabas prenez quelques autres avec vous. Il faut creusé une fausse suffisamment grande pour recevoir cinq macabé… et on traîne pas. Nous devons repartir pour être a temps à la prochaine étape.
Les deux femmes épuisées par la marches se laissèrent tomber contre un arbre et regardèrent les autres se mettre au travaille. Aïcha sorti une bouteille de sa besace en prit une longue gorgé puis la tendit à sa voisine avant de sortir une miche de pain…. _______________________________________________________________________ KIMERAKimera s’occupait doucement de son cheval après s’être reposée un peu quand elle vit la dingue de Narbonne se pointer avec la rouquine et vociférer qu’il fallait creuser un trou.
Bah voyons… il s’amuse et nous on creuse pffff
Se souvenant des injonctions de Black elle décida à contrecoeur d’obéir au ordre de la cheftaine et se mit à creuser comme elle l’avait si « gentiment » demandé tout en maugréant.
Nan mais je te jures…._______________________________________________________________________ BARABASA semi assoupi contre un tronc d’arbre, Barabas ouvra un œil en entendant qu’il fallait creuser, pas convaincu il se releva tout de même pour aller rejoindre sa sœur qui était déjà parti faire un trou.
Plus vite creuser, plus vite barrer de ce trou songea t-il en riant se disant qu’il devenait poète et faisait des rimes.
Attrapant au passage de quoi creuser, il arriva près de Kim et lui tapa le cul du dos de la pelle.
Alors on jardine ??? dit-il en riant esquivant de justesse la pioche que sa moitié avait fait volé jusqu'à lui.
Saleté va !!!_______________________________________________________________________ ILLAURALe monticule de pierre se dresse fièrement au milieu du campement. Illaura se demande s’ils n’en ont pas prévu un peu trop. Mais après tout, on ne sait pas quel type de chariot les autres vont ramener.
Elle commence enfin à sentir son corps s’engourdire, agréablement saisie par une vague de somnolence. Son esprit se calme, elle rêvasse tranquillement, sombrant peu à peu dans le sommeil.
Mais la voix hurlante d’Aïcha la sort brusquement de sa délicieuse torpeur.
Voilà qu’il faut creuser maintenant. Illaura n’ose même pas se révolter. Il faut réussir et pour ça, elle doit obéir aux ordres. Alors elle retrouve vite ses esprits et se lève d’un bond. Le temps de le dire, et déjà elle a une pioche dans les mains et creuse ce satané trou.
_______________________________________________________________________ BLACKHANDBlack et Seamus arrivèrent au camp avec le chariot et les cadavres...
le reste du groupe n'avait pas chaumé pendant leur absence, le tas de pierre était de bonne taille, c'était parfait...
il s'avança devant la troupe est leur dit :
Bon nous avons trouvé ce dont nous avons besoin, avec en plus de quoi nous donner une bonne couverture pour notre arrivée à destination, nous allons nous faire passer pour une troupe de saltimbanques, il y a tout ce qu'il faut pour nous déguiser. je vois que vous avez bien avancé vous autres, c'est bien, déchargez les cadavres du chariot, et enterrez les s'il vous plait. Seamus, Aicha, Xandrya, vous mangez un peu, on se déguise, et on part, je veux que nous arrivions avant le reste de la troupe pour annoncer l'arrivée d'une troupe de saltimbanques...
Pendant que les membres du groupe restés là durant la journée s'activait, Black se rapprocha d'Aicha et de Xandrya et leur dit:
Pour le moment tout se passe comme prévu, hélas nous allons pas avoir le temps de nous reposer, des que les corps sont enterrés on se change et on part...
Leur faisant un sourire de compassion, il attrapa un bout de pain qu'il mangea en deux bouchées, et but un grande gorgée d'eau a sa gourde pour faire passer le tout...
Black s'approcha de Xandrya et lui murmura a l'oreille :
J'adore ton tempérament de feu, et je commence a le comprendre, mais la prochaine fois que tu me parle sur ce ton devant les autres, je ne te ferais pas de cadeaux, si je veux garder le peu d'autorité que j'ai sur les autre...Darling...
Alors qu'elle allait lui répondre, il l'en empêcha en l'embrassant tendrement, et fini en lui mordant la lèvre inférieure jusqu'au sang...Puis il se releva en souriant, pour aller voir ou en était le trou pour les bouffons...
il donna un coup de main a finir de creuser, ils allaient pouvoir bientôt pouvoir enterrer avec les corps...
_______________________________________________________________________ BARABASAidé par les autres qui les avaient rejoins, Barabas creusait comme un forcené, enfin le trou etait assez grand.
Black vint en renfort et ils s'occupèrent de mettre les amuseurs dedans les femmes observant de loin,....
Euh Black y manque un truc a s'uis là !!! ah nan autant pour moi l'es deja dans le trou !!!
Tout le p'ti monde etais dans le trou pu qu'a remettre la terre ce qui fut plus rapide que dans le sens inverse....
Voili, voilou "chef" pu de cadavres en tout cas pu "visible" directement !!!
Sa tache terminée il alla fouiner dans le chariot._______________________________________________________________________ FLYN DARKIls avaient travaillé comme un forcené pour empiler les pierres et maintenant, il devait encore les soulever et charger la carriole. Pire que l’armée se disait t’il en bougonnant. En le temps de le dire il avait fini de chargé ils étaient enfin prêt pour le départ.
Black aidé de plusieurs autre terminait d’enfouir les cadavres et de recouvrir l’endroit de pierre. Il était vrai qu’il restait quelque trace mais qu’il faillait quand même avoir l’œil et le temps que quelqu’un s’en aperçoivent ils seraient tous loin.
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
Nombre de messages : 716 Localisation : Là où on ne m'attend pas...Ma dague bien cachée... Etat d'esprit : Désabusée... Désirs : Comprendre... Date d'inscription : 20/02/2007
| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Lun 28 Mai - 20:50 | |
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RETOUR
"PORTE NORD"
"LA MAIN NOIRE DIRECTION MENDE"
"SUR LA ROUTE DU PUY"
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Mar 5 Juin - 0:18 | |
| "PORTE NORD"(ACTION PARALLELLE AUX AUTRES SITES DE COMBATS) QUIRINA peine le Lieutenant avait-il réparti les roles à chacun, que Quirin, Canaille sur les talons avait foncé à la caserne.
Comme le Zac lui avait demandé il avait fait appel à des volontaires, et bien sur tous les soldats encore présents s'étaient avancés d'un pas... la recrue se sentait fier d'appartenir à la garnison de Mende...
Mais Quirin réfléchit et se dit bien vite, que non, il ne pouvait prendre personne de plus,... impossible de démunir la garde de la caserne ou celle de la ville, ni de vider l'infirmerie, ni même emmener les instructeurs...
Si encore il n'y avait plus la menace de la peste, il aurait pu alléger le contrôle aux portes de la ville.
Bon c'est pas grave il dirait au Lieutenant que tout le monde est volontaire, et prêt à venir sur une simple demande via pigeon.
A la caserne il s'était muni de provisions pour ses compagnons et lui, pour une journée, quelques tranches de Dédés, des quignons ainsi que quelques pâtés aux pommes qu'Ermi lui avait donné discrètement avant qu'il ne quitte la Lance, l'intendant avait promis de les faire suivre à distance par quelques hommes d'armes, dans sa cariole ils emmeneraient des jambons de Dédés, des tourtes, et quelques tonnelets indispensables aux soldats, pour les légumes ils s'arrangerait avec les paysans dont les champs bordent la route.
Quirin n'avait plus maintenant qu'à attendre ses compagons, et pour passer le temps s'en va faire la causette avec les soldats de garde à cette porte._______________________________________________________________________ BENAWARE Le lieutenant avait donné un ordre. Cherchez de quoi vivre a cette expédition. Il fallait etre leger et avoir des ravitaillements. Benaware partit alors en courant dans la foret, dans sa maison. Jef, son loup blanc, se tenait assis sur le palier. Le jeune archer l'aurait bien amené mais il etait trop vieux maintenant. Il rentra chez lui, ferma les fenetres, rengea ses ecus dans son coffre, et partis dans sa chambre d'arme. Benaware regardait ses trois arcs, chacun ayant une caracteristique differente. Il choisis l'arc a longue portée, que son pere avait fabriqué pour la chasse. Une fois ayant tout securisé la maison, il se baissa et dit deux mots a son loup:
-Tu as fait ton temps, mon vieux Jef et je te demande encore une chose, defend la maison. Tu attaques des que tu vois quelqu'un.
Benaware regarda Jef, visiblement qui n'avait rien compris, ou qu'a moitié, et il sourit. Le soldat repartit en courant jusqu'a l'eglise. Il trouva un jeune paysan, et lui donna 50 ecus contre la surveillance et la labouration de son champs. Celui ci accepta volontié. Puis benaware partit enfin a la caserne, ou il prit une armure en cuir leger, des gants de chasses et des chausses.Il alla aussi chercher des vivres. L'archeiste passa au dernier endroit, la forge, ou il prit une lame tres legere, affiné de 80 cm de long.
Arrivant a la porte Nord, Quirin discutait avec des soldats, avec Canaille, pres a partir. Benaware s'approcha, sa main gauche sur le pommeau de la longue dague.
- Bonjour soldats, je suis pret, on va chasser du mechant. Je vais pouvoir enfin m'exercer avec mon arc.... enfin si mon bras ne me lache pas avant!! _______________________________________________________________________ AMRAS Amras s'avaça penaud vers la porte nord... Il savait que beaucoup de soldats auraient volontié rejoint la petite troupe qui partait chasser les brigands.
Il passa une main caressante sur le bois gravé de son arc, et fit vibrer la corde du bout des doigts... Amras etait tranquille, la chasse allait pouvoir commencer et il savait pouvoir compter sur les soldats de la caserne... d'autant plus que le lieutenant devait être de la partie également.
Un vent léger fit trembler la cime des arbres et souleva un pan de la cape du sergent. La soirée s'annonçerai calme, inutile de se presser, il fut même surpris de constater que seul deux autres soldats attendaient déja.
Il souris, aperçevant Quirin et Ben en grande conversation avec les gardes de la porte... Il ne comprenait que trop bien l'agitation des troupes ces derniers temps... entre la peste et cette sombre affaire, les gardes et les rondes de surveillance ce faisaient de plus en plus fréquente ce qui n'était certe pas du goût de tous...
Il poussa un soupir en arrivant à leur hauteur et dit tranquillement en cherchant des yeux un coin tranquille ou s'assoir ou à défaut, s'appuyer.
"Bien... je vois qu'il manque encore du monde... Fauste m'a prevenu quand je suis passé à l'auberge... le lieutenant semble préssé d'en finir avec nos assassins... "
Il avisa finalement le mur du petit pavillon de garde et s'y appuya dans l'attente des autres soldats. _______________________________________________________________________ GEORGIO Rendez-vous Porte Nord.
Facile à dire. Facile à trouver?
Georgio n'avait pas suivi les soldats, certaine qu'ils repasseraient pour la plupart à la garnison. Ce n'était certes pas un lieu pour elle. Déjà que la situation la faisait sourire... Elle, Miraculée de la Cour, haissant les uniformes au plus haut point, volontaire pour une mission... militaire... Il y avait de quoi en rire, assurément.
Elle avait donc rejoint son étalon, un alezan aux crins lavés, et se hissa avec aisance sur la selle. Georgio remis sa cape en place afin de ne pas être dérangée dans ses mouvements, puis talonna doucement sa monture. Les quelques rues qui la séparaient de la porte Nord furent rapdement traversées. Elle reconnut de loin quelqu'uns des soldats de l'auberge, ainsi que le sergent Amras, adossé contre le mur du petit pavillon de garde.
Lento...
Un murmure et l'étalon ralentit la cadence avant de s'arrêter à quelques pas du petit attroupement. Georgio se laisse glisser sans bruit sur le sol. Seuls les talons de ses bottes de cuir claquent un bref instant. Salut de la tête vers les deux soldats en attente. Elle s'avance, bride en main, vers Amras. Un anneau dans le mur et elle y glisse la bride
Aspettate.
L'étalon semble répondre d'un mouvement de la tête, comme s'il avait compris sa cavalière. Georgio fait encore quelques pas pour rejoindre le sergent, s'accroupit et après avoir regarder si personne d'autre n'approchait, se met à dessiner lentement du bout du doigt sur la terre sêche.
Pas un mot. _______________________________________________________________________ ESCAFLOW Esca arrivait de chez lui, après être passé récupérer ses armes et embrasser une dernière fois sa femme. Oeil de nuit le précédait en direction de la porte Nord où le lieutenant leur avait donné l'ordre de se rendre. Il était volontaire pour aller chercher ses.... bêtes qu'ils voulaient tous arrêter pour leurs atrocités.
Esca avait comme à son habitude ses deux épées croisées dans le dos, lui permettant de se déplacer rapidement et sans bruits. Une dague enfilée au côté de sa ceinture.
Il était calme, un calme total, il avançait dans les rues de Mende pour rejoindre la porte. Oeil toujours au-devant de lui. Perdu dans ses pensées sur les derniers évènements, toutes les questions sans réponses encore...
Il arriva enfin au Nord de mende. Il retrouva déjà Deux soldats et le sergent ainsi qu'une dame, qu'il ne connaissait pas, mais avait entrevu à la lance. Il la salua en premier, puis le sergent et enfin les deux soldats. Puis il plaça à côté de la porte en silence, Oeil tout à ses côtés, prêt à partir faire ce qui devait être fait, le plus vite sera le mieux pour tout le monde.....
_______________________________________________________________________ ZACCHARIA Ils prenaient par la rue des Traines lames. Elle passait devant la taverne, longeait la caserne et finissait Porte Nord. Le lieutenant avançait tranquillement, Enduril à ses côtés. Ses fontes pleines de vivres pour eux deux. Celles de sa femme étaient remplies d'il ne valait mieux pas savoir quoi. Il finissait de rouler les épaules pour ajuster correctement sa vieille côte de maille. Rafistolée en maints endroits et malgrès son poids, les anneaux d'acier - parfois sur deux couches - qui la formaient étaient pour lui comme un seconde peau. Quelques plaques de métal - Coeur, sternum, dos, cuisses, tibias, épaules et avant bras venait la renforcer à des endroits stratégiques, le tout harmonieusement réparti.
Il n'était pas aussi à l'aise à cheval que sa compagne, ne maitrisant pas aussi bien qu'elle le combat monté, et la lance qu'il maniait était plus une lance de fantassin classique qu'une lance de cavalerie. Mais les armes à sa ceinture et l'état de patine des fourreaux de sa longue dague et de son épée ne laissait pas de doute quand à ses armes favorites. De même que la façon dont son bouclier était ajusté dans son dos. Fermement, mais de façon à pivoter rapidement pour se loger sur son bras.
Pour l'heure, son casque reposait devant lui, sous la main qui tenait souplement les rènes. S'habiller en guerre ne lui prenait guère de temps et il avait passé l'essentiel de l'heure à dire au revoir à ses enfants. Nothias et Isabeau l'avaient regardé avec leur grand yeux, et la volonté de retrouver cet assassin s'était changée en détermination sans faille. Il ne laisserait personne les menacer.
La Porte Nord sort peu à peu de l'ombre. Presque tous sont là. Le silence plane et le bruit des sabots sur les pavés résonnent exagérément. Les gardes de la porte se redressent comme ils arrivent. Il les salue d'un hochement de tête. Eux ne répondent aps, ne voulant pas troubler leur concentration. Chacun est plongé dans ses reflexions. Prières pour certains, souvenirs probables pour d'autres. Quelle équipe.
Amras et Escaflown partiraient un peu en avant, en éclaireur. Pas meilleurs qu'eux pour trouver une piste et s'y accrocher. Quirin et Ben resteraient ensemble. Le plus jeune chargé de la protection d'un des meilleurs archers de la caserne. Il avait beaucoup appris avec Amras. Fauste n'était pas encore là... Mais elle ne saurait tarder. Et Georgio. Ce n'était pas une militaire - Il la regarde et hoche la tête avec un petit sourire en la voyant au milieu de soldats - Il n'avait pas prévu sa place, mais de toute façon, il ne vallait mieux pas. Elle ne respecterait probablement pas de formation, et était plus dangeureuse pour leur adversaire comme cela. Imprévisible. Mortelle.
Un regard à sa femme, qui resplendissait à côté de lui dans sa tenue de combat qui la mettait tant en valeur, et il lut la même determination que la sienne dans son regard. Cela et quelque chose de plus. Une certaine excitation. Il sourit. Lui aussi la ressentait. Ils allaient chevaucher ensemble réellement au combat pour la première fois. Un grand sourire se dessine sur son visage. Zacharia hume l'air, le parfum des chevaux, de l'huile pour armure, de la forêt non loin et celle moins agréable de la ville. Mais surtout l'odeur de l'adrénaline. Il étouffe un frisson. Au fond de lui, une part de son âme hurlait de rire. Il retournait enfin au combat._______________________________________________________________________ FAUSTE Après avoir réglé quelques affaires dans son auberge, Fauste s’était rendue à la caserne pour prendre son arc avec un carquois rempli de flêches …
Alwyn à ses talons, elle courru le plus vite possible en direction de la porte Nord … Elle ne voulait pas arriver la dernière…
Quand elle arriva elle vit Quirin, Ben, son sergent, esca, son lieutenant avec Enduril … Tous étaient présent et attendaient. Elle salua tout le monde … Maintenant la chasse était ouverte, Fauste avait hâte d’en finir avec ses assasins … _______________________________________________________________________ ENDURIL Elle n’avait pas eu besoin de se changer finalement. A peine le temps de prendre un quignon de pain et de le grignoter que la nourrice était là. Lui donner les instructions pour la garde et les soins à apporter aux petits ne prit que peu de temps. Elle connaissait son travail et il valait mieux pour elle qu’elle le fasse de façon efficace.
Puis elle s’était retirée dans une alcôve où, avec moult précautions, elle avait enduit d’Aconit certaines de ses lames avant de les fixer un peu partout sur elle. Fichue manie elle avait gardé d’en avoir toujours une dissimulée à portée de main. Combien de fois Zac avait t’il découvert dans les endroits les plus inattendus, l’une de ses créations, bien dissimulée, à l’abri des regards. Mais il avait raison, il lui faudrait bientôt les ôter des endroits où de petites mains curieuses pourraient avoir envie de farfouiller.
Il lui avait fallu aller chercher Zac, tellement occupé avec les petits qu’il semblait avoir oublié qu’ils étaient attendu. Touchant tableau que celui des trois êtres qu’elle adorait jouant ensemble. Les enfants lui faisaient milles amabilités essayant chacun leur tour de monopoliser l’attention de leur père. A les voir, une flambée de haine était montée en elle. Celui qui avait ainsi fait planer une ombre sur leur bonheur allait le payer !
En bandoulière, elle porte sont grand sac. A l’intérieur, ses plantes et diverses autres petites choses lui servant en règle générale à soigner plaies et bosses diverse, mais parfois aussi ayant des utilités un peu moins délicates.
Et puis, bien protégées dans des linges avant d’éviter qu’ils ne s’entrechoquent des sphères métalliques, cadeau de Klaus. Les même qu'à Béziers pour certaines, mais quelques-uns unes d’un modèle un peu spécial qu’il avait miniaturisé. Celle là, il valait mieux pour tous ne pas s’en approcher.
D’autres petites surprises encore étaient dans les fontes de sa jument. Elle jette un regard à Zac. Lui au moins, s’il n’est pas à l’aise avec les chevaux n’a t’il pas la douceur de Djahen à leur égard. Le maure Alaisien n’hésitait pas à donner des coups de poings aux canassons récalcitrants qu’il avait toujours le malheur de récupérer. Elle voit sourire son époux. L’excitation du combat possible à venir monte en elle. Ses enfants sont à l’abri, son mari auprès d’elle, elle va pouvoir enfin passer à l’action. Avec lui, ensemble, enfin…
Les autres étaient là, prêt… Ils allaient enfin partir !
Dernière édition par le Ven 6 Juil - 22:25, édité 1 fois | |
| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
Nombre de messages : 716 Localisation : Là où on ne m'attend pas...Ma dague bien cachée... Etat d'esprit : Désabusée... Désirs : Comprendre... Date d'inscription : 20/02/2007
| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Mar 5 Juin - 0:20 | |
| AMRAS Amras avait de plus en plus de mal à garder un air impassible et un petit sourire lui vint au lèvre en voyant succécivement ses compagnons arriver... Il allait une fois de plus au combat au côté de Zach, il allait une fois encore à la chasse au côté d'Esca... Et encore une fois, il allait pouvoir utiliser son arc, qui n'avait pas fait sifflé de flêche depuis trop longtemps en dehors de la salle d'entrainement.
Il jeta un coup d'oeil à l'assemblée maintenant au complet et leva la tête vers le ciel clair avant de poser son regard sur sa tendre aimée à qui il adressa un sourir discret...
_______________________________________________________________________ QUIRINQuirin vit que tout la monde était, lisant dans leurs regard la même envie de se mettre en route, la même impatience de se lancer à la poursuite de ces renégats.
Laissant Ben près des gardes, il s'avança vers le Lieutenant et Dame Enduril.
Mon Lieutenant, j'ai fait ce que vous avez demandé, bien sur tout le monde était volontaire pour se joindre à nous...
Il vit un sourire de fierté s'afficher sur le visage buriné du Lieutenant
Mais avec les gardes renforcées à cause de la peste, l'incertitude du nombre de nos ennemis qui pourraient attendre, dans l'ombre, notre départ pour frapper à nouveau Mende, j'ai pensé espère que le Lieutenant va acquiéser qu'il serait imprudent de dégarnir d'avantage la garnison. Nous somes donc au complet.
Sans attendre la réponse de Zac, la recrue enchaîna
Skip m'a cependant assuré qu'il enverrait à une certaine distance de nous quelques hommes d'armes et sa cariole avec des provisions pour les jours à venir. De même Gigis va maintenir une lance prête à nous rejoindre si vous en faites la demande par pigeon.
Montrant le sac assez volumineux qu'il avait posé à terre je me suis assuré du ravitaillement pour tout le groupe pour la journée.
Ayant écouté la recrue, le Lieutenant acquièse, puis après un regard circulaire, remonte sur sa monture, et s'adressant à sa troupe, un éclair de feu dans le regard, et la voix ferme
Soldats, l'ennemi que nous allons poursuivre n'est pas habituel, il ne porte pas d'uniforme, ne connait ni ne respecte aucune règle ni honneur. Il est sans pitié, nous devons être sans faiblesse.
Se tournant vers son sergent. Amras, avec Esca vous nous ouvrez la route, En avant ! _______________________________________________________________________ AMRAS Amras jeta un coup d'oeil à Esca. L'ordre avait sonné haut et clair et ils etaient tous en train de se redresser, prêt au départ.
Amras s'avança vers les portes et jeta un regard derrière lui, au moment de franchir la porte, Esca et Oeil à ses côtés.
La route s'étendait devant eux, le ciel etait clair et un souffle de vent secoua les branches des arbres aux alentours. Non loin se faisait entendre les rires, cris et pleurs des personnes coincés en quarantaine et attendant de pouvoir enfin quitter cet hospital de fortune. Amras jeta un coup d'oeil à la route qui se dressait devant eux, cailloutteuse et terreuse, une route qu'il avait si souvent parcourue.
Amras leva la tête et s'élança sur la piste laissé par le messager des In Tenebris, entendant derrière lui les pas de ses compagnons et les halletements du loup...
_______________________________________________________________________ ESCAFLOW Esca était toujours adossé non loin de la porte, Œil tout près, en tenu de chasse, en condition de traque….
Alors qu’il était dans ses pensées sur bien des sujets, il entendit l’ordre clair du lieutenant. Ordre tant attendu, le lancement de la traque. Œil était aussi empressé d’en terminer et de trouver les In Ténébris, prêt à en subir le prix.
Les sensations qu’il ressentait était un beau mélange indescriptible. Mélange laissant rapidement place à cette froideur habituelle et lucidité implacable, état d’avant combat maintenant familier pour Esca. Œil s’avança jusqu’à la porte quand le sergent la passa, et Esca les rejoignis pour les suivre sur la piste des Bêtes immondes….
Un seul regard entre les deux hommes juste après l’ordre du lieutenant, avait tout dit. Ils se connaissaient que trop bien et se complétaient parfaitement. Par ce regard ils se dirent tous ce qu’il y avait à dire à ce moment….
Alors qu’Amras s’avançait sur la piste de leurs proies, Œil prit de suite les devants prenant la tête de leur groupe, meilleur moyen pour eux de prévenir tout danger. Esca avait désormais les yeux rivés sur Œil, près à parer à toutes ses réactions. Il savait qu’Amras surveillait leur progression et il avait toute confiance en lui, par conséquent il pouvait surveiller la piste au travers de son loup…. Se qui ne l’empêchait pas de se servir de ses oreilles…._______________________________________________________________________ BENAWARE Les soldats etaient au complets, les ravitaillements aussi, il y avait de quoi manger pour environ une semaine. Chacun se retrouvait la, en face de la porte Nord, reflechissant a se qui se passerait pendant la route, reflechissant comment aborder l'ennemis, tous etaient pensif.
Meme Benaware avait une de ses sensations, mais elle etait assez differente. La peur le guettait, car sa fleche serait peu etre la fin des ennuies, ou bien il la louperait et les IT tuerait un des soldats. Mais l'archer ne peut se permetrre de louper sa cible. Tous ca n'est que suppositions.
Amars s'avança le premier et les autres suivaient comme la formation avait été donné. Benaware fit un signe de tete amical a Quirin et celui ci se rendit a ses cotés, ils marcheraient ensemble dans la foret. Tous le monde scella son cheval et monta dessus. Beaucoup n'etaient jamais montés sur cette bestiole, qui etaient inconfortable, plein de puce, mais elle permettait d'aller plus vite.
Ils sortirent par la porte Nord et partirent au trot dans la foret..._______________________________________________________________________ GEORGIO Zac donne les ordres à ses hommes. La troupe se met rapidement en place et les montures sortent rapidement de la ville. Georgio les regarde calmement s'éloigner, prend le temps de vérifier la selle de son étalon, lui murmure quelques mots que lui seul peut entendre.
La troupe a déjà passé la porte quand Georgio se hisse en selle. Main sur l'encolure, elle flatte son cheval. Coup bref du talon. Il part immédiatement dans un galop enlevé.
La forêt est donc leur première destination. Elle les y retrouvera._______________________________________________________________________ FAUSTE Après avoir écouté les ordres Fauste monta sur son cheval, Alwyn a ses talons.
Elle regarda partir Esca et Amras en premier, ensuite Quirin et benware ... Elle flatta son cheval qui avança pour prendre la suite de la troupe.
On entendait au loin les cris de la ville... Ils arrivaient près de la forêt ... Fauste regarda si Alwyn était toujours derrière elle ... Effectivment, mais celle-ci avait un lièvre dans sa gueule .... "Alwyn, c'est pas le moment de manger" dit Fauste a sa louve ... Puis elle pris son arc et srcuta les environs _______________________________________________________________________ QUIRINQuirin, chevauchant à côté de Benaware, jetait de temps en temps un oeil sur l'archer dont il devait garantir la protection, s'assurant que celui-ci ne souffrait plus de la blessure qu'il s'était infligé à l'entrainement, apparement non.
Sur son visage se lisait la même détermination que chez tous ses autres compagnons
Se retournant pour voir si le reste du groupe suivait il vit Alwyn tenant en sa gueule un lièvre, et derrière Canaille.
Il esquissa un sourire se demandant si son louveteau suivait le lièvre ou la louve
Derrière venaient ensuite le Lieutenant et sa dame, qui bien qu'en tenue guerrière gardait toute sa classe_______________________________________________________________________ ENDURIL A l’ordre de Zac, Enduril esquisse un sourire. Enfin, l’attente se termine et la traque va pouvoir commencer. Rien ne lui plairait autant que de renvoyer à Halleck la tête de son homme de main fichée au bout d’une lance après lui avoir arracher les cheveux.
Elle détestait le sentiment d’impuissance dans lequel elle avait été à la réception des missives. Elle abhorrait cet homme pour tout ce qu’il avait fait, tout ce qu’il était.
La misère n’excuse pas tout, certains se battent et s’en sortent avec honneur.
Elle regarde la petite troupe. Pas un qui ne soit venu au monde dans de meilleures conditions que les autres, mais ils étaient là, tous à défendre l’honneur, tous à vivre du fruit de leur labeur, sans rejeter sur d’autres la faute de leurs erreurs. Sans chercher puissance et gloire dans la terreur et l’horreur.
Les chevaux avancent lentement pour laisser le temps aux éclaireurs à pieds de faire leur travail et de repérer les traces laissées par leurs prédécesseurs.
Les jeunes poussent ont éclaté dans les arbres, mais les feuilles vert pâle, encore tendres, laissent filtrer pour quelques jours les rayons du soleil qui miroitent un peu partout, mettant leurs sens en alerte à tout moment par leurs jeux d’ombres et de lumière. Bientôt les feuillages se feront plus denses et la lumière moins présente.
Le regard sans cesse aux aguets, elle vérifie chaque buisson, chaque branche devant lesquels ils vont passer, de temps en temps, son regard croise celui de l’homme qui chevauche à ses côtés. La même tension l’habite. Parfois, une lueur de tendresse, l’esquisse d’un sourire s’échange entre eux. Au moins, ils sont ensemble.
La petite troupe continue son périple, son cheval, un peu nerveux au départ commence à s’habituer à la présence des loups. Jamais elle n’en a approché de si près. Tout à coup, un frôlement, un glissement parmi les feuilles mortes qui jonchent encore le sol. D’un geste rapide, elle envoie une des petites lames qui pendent dans des étuis de cuir de chaque côté du cou de son cheval. D’un bond preste, elle saute au sol, vérifiant que personne ne rôde dans le coin, elle se penche et récupère son trophée. Rapidement, un sourire narquois aux lèvres, elle glisse dans sa besace le gibier tout frais sorti de sa période de repos hivernale.
Elle met son pied à l’étrier et se hisse à nouveau en selle. Cela ne lui a pris que quelques secondes, personne n’a eu le temps de s’arrêter que déjà, elle est à nouveau à chevaucher à côté de son mari.
_______________________________________________________________________ AMRAS Amras se concentré sur la piste qui apparaissait tel une voie invisible devant lui. Il décida rapidement d'ignorer le bruit des sabots se répercutant sur la terre meuble.
Il tourna tout juste la tête lorsque qu'une des dagues d'Enduril fendit l'air dans un petit sifflement et une fois la dame remonté à cheval il se replongea dans l'étude du sentier...
Esca et lui, avec l'aide d'Oeil de Nuit avaient rapidement repéré des traces de chariots et de pas qui partaient en direction du Puy, Amras eu même la certitude de voir des traces d'ours se mêlants à celles d'Hommes. La terre humide avait peu retenu les traces et s'était regonflée sous l'effet de la pluie, et de l'humidité ambiante, aussi la piste etait difficillement retrouvable... Oeil de Nuit fut rapidement perturbé par les odeurs de fleurs et d'herbes humides apportées par le primptemps...
Les deux chasseurs en tête n'échangeaient que quelques regards de temps en temps, et dans une compréhension mutuelle parfaite, l'un d'eux vérifiait telle ou telle piste...
Ainsi cheminait le groupe à travers la forêt humide... _______________________________________________________________________ QUIRINQuirin chevauchait entre Ben et Fauste qui était venue à leur hauteur, les deux archers étaient vigilants, tenant leur arc à la main, prêt à servir, les yeux scrutant les abords de la piste que leur ouvraient Esca et le Sergent.
On voyait de suite que ces deux là avaient l'habitude de pister ensemble, ils n'avaient nullement besoin de communiquer pour se comprendre
A l'arrière du groupe bien qu'attentif le Lieutenant semblait avoir une pleine confiance en ses hommes et de temps à autre échangeait quelques mots avec Dame Enduril son épouse.Après une longue et lente progression, Quirin murmura quelque chose à Fauste, la soldate regarda la recrue et sourit et lui répondit malicieusement
Tu n'as qu'à demander au Lieutenant
La recrue opnia du chef, puis stoppa sa monture et attendit que le Lieutenant soit à sa hauteur, pour lui faire part de l'impression de la soldate.
Mon Lieutenant, je voudrais savoir comment font le sergent et Esca pour arriver à si bien lire une piste
Le Lieutenant regarda la recrue, puis sa femme, avec un étrange sourire, puis de nouveau la recrue et ne pu se retenir un rire
HAHAHA , et bien ils ouvrent les yeux tout simplement
La recrue se trouva stupide de sa question, et bredouilla merci mon Lieutenant puis reprit sa place entre Ben et Fauste
_______________________________________________________________________ BENAWARE La route etait calme. Le printemps avait changé l'aspect rude de Mende. Les oiseaux chantaient, les paysans travaillaient leurs champs, en bref, tout le monde etait heureux. Benaware regardait ces deux compagnons discuter puis Quirin aller voir le lieutenant. Amras et Esca regardaient les pistes, attentif a chauqe marque sur le sol.Mais la route etait enuyeuse, surtout a dos de chevaux, alors il commenca à chanter une vieil chanson de guerre que chaque soldat du languedoc connaissait.
Il continuerent....
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
Nombre de messages : 716 Localisation : Là où on ne m'attend pas...Ma dague bien cachée... Etat d'esprit : Désabusée... Désirs : Comprendre... Date d'inscription : 20/02/2007
| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Mar 5 Juin - 0:22 | |
| AMRAS Le crépuscule tombait et Amras etait maintenant certain de la piste qu'avait emprunté les brigands... La piste suivait, en evitant au maximum les routes, la direction du Puy.
Le lieutenant donna la halte et les soldats poussèrent des soupirs de contentement. Un tapis rougeoyant s'offrait à leur vu, le soleil crépusculaire perçant le toit de feuilles verte.
Amras aurait voulu parler au lieutenant à propos de la route à prendre le lendemain, mais celui ci etait en grand conciliabule avec son épouse et le sergent jugea préférable de ne pas les déranger... en outre, lui même sentait le désir pressant d'embrasser sa soldate... Il s'approcha tranquillement de celle ci et glissa sa main dans la sienne puis déposa un baiser sur ses lèvres.
Un souffle de vent remua les branches hautes, et Amras sourit en sentant contre lui sa tendre Fauste. _______________________________________________________________________ FAUSTE La petite troupe avançait tout doucement vers le Puy ...
Fauste esseyait de refarie ses cheveux que le vent faisait voler en tout sens ... Elle vit Amras s'approcher en sa direction, tout d'abord elle cru que s'était parler au lieutenant, qui était derrière elle ... mais quand elle se retourna elle vit que celui-ci était assez occupé avec sa femme
Elle descendi de son cheval et le regarda s'avancer vers elle... Elle senti sa main dans le sienne, puis ses lèvres contre les siennes ... Le ven fit remuer les branches au dessus d'eux, elle vit son sourire et l'enlaca tendrement..._______________________________________________________________________ AMRAS Le jour se levait lentement, les soldats venaient à peine de s’éveiller et déjà le signal du départ était donné. Il fallait atteindre le Puy à la tombé de la nuit au plus tard, et il restait dix bonne lieux de marches pour atteindre enfin les remparts de la ville.
Amras s’étira en jetant un regard sombre au ciel gris et orageux. Il resserra fermement sa cape et plaça son arc dans son dos, facile à atteindre en cas de besoin. Le vent soufflait violemment pour une journée de printemps, et une pluie fine tomba rapidement sur le cortège.
"La piste ne tiendra pas la pluie… mais peut importe, ils sont au Puy, la piste était très claire jusqu’ici. Nous les trouverons là bas." _______________________________________________________________________ FAUSTE A peine réveillée, Fauste entendi le signal de départ.... Elle se leva et regarda le ciel ... il était gris, annoçant le pluie... Elle reveti, du coup, sa cape ...
La troupe allait direction le Puy, les affreux assasins y étaient ... Ce qui la faisait avancée plus vite, malgré le vent qui allait contre eux ... _______________________________________________________________________ QUIRINLorsque la petite troupe s'était arretée, sous la garde des loups, et de quelques soldats de l'escorte de la roulote d'intendance, qui les avait rejoint pour la nuit, à la satisfaction de quelques estomacs, Quirin avait sourit en voyant Fauste se faufiler près d'Amras
l'ordre de départ le trouva déjà bien éveillé et impatient de reprendre la route, le ciel paraissant menaçant il s'équipa de sa cape et tint prêt à reprendre sa place au coté de Ben et Fauste._______________________________________________________________________ AICHA ARRIVANT AU PUY La nuit c’était écoulé au rythme du martèlement régulier des sabots, qui résonnaient sur le sentier de terre battue. Au loin on pouvait entendre les loups hurler leur amour perdu, rendant tout le monde un peu mélancolique. La progression était quelque peu ralentie par le chariot, qui trop lourd s’était embourbé a quelques reprise sur la route. Faisant pesté la chef de mission qui commençait a en avoir ras le bol. Il venait à peine de repartir quand la roue se coinça à nouveau dans une ornière plus profonde et les força s’immobiliser encore une fois. C’en était trop…
Par tous les démons de l’enfer !!!!!! On n’arrivera jamais à ce rythme là … dites-moi pourquoi on se trimbale ce chariot de Merd..., depuis des lieux … On dételle les chevaux et on le laisse là… les autres sont déjà loin, les pistes ont été brouillées. Alors, je ne vois pas pourquoi on s’emmerde à le garder.
Tout le monde en avait mare, du chariot, mais sûrement encore plus d’entendre râler Aïcha qui avec les fonctions de chef semblait avoir hérité du caractère grognon de Black. À peine l’ordre fut-il donné que déjà flyn et bohort était sur l’attelage et libéraient les bêtes épuisées en un temps record. Hécate quitta le siège du coché pour se saisir d’une monture qu’elle du monté a cru en ronchonnant.
Je monte a cru depuis le Puy et je suis pas morte alors arrête de râler. Tu n’a qu’a serrer les cuisses pour faire changement..
Aïcha sourit amusée de son lapsus et la troupe se remis en route un rythme plus soutenu. Le jour s’était maintenant levé, en même temps que le vent, révélant un ciel gris chargé de lourds nuages qui ne tardèrent pas à déverser une pluie fine sur les membres du clan. Aïcha était a ce demander ce qui allait encore leur tomber dessus quand des bruits de sabot lui parvinrent de l’avant, comme en réponse a ses questions. Une main sur le pommeau de son épée elle se tourna vers ses compagnon.
Je crois que nous allons avoir de la visite !!!! _______________________________________________________________________ QUIRINQuirin vit Amras et Esca, toujours en tête, suivant Oeil, quand soudain il vit le loup s'immobiliser, vite imité par les deux soldats, instinctivement le silence se fit dans le reste du groupe, et une cavalcade encore lointaine, surement ce qui avait alerté Oeil de Nuit, parvint à leurs oreilles
Les soldats, interrogatifs, se tournaient vers leurs officiers, s'attendant à un ordre de leur part, peut-être n'était-ce qu'un groupe de nobles, dont ils connaissaient le déplacement... quand aussi soudainement cette même calvalcade cessa, ce qui se révélait plus qu'intriguant alors que la pluie s'intensifiait, ce qui au contraire aurait du presser l'allure_______________________________________________________________________ MORTANGELINESS ARRIVANT AU PUY Le vent sifflait dans le crépuscule et nous ramènait le jappement de quelques chiens ou loups errants. Mortangeliness, avait quitté le chariot et sauta sur l’une des montures qu’elle avait capturée au Puy. Aïcha eut la bonne initiative d'ordonner qu'on laisse le chariot, car cela les retardait plutôt qu'autre chose.
La cheftaine n'était pas de bonne humeur. Son entretien avec Kiméra, l'avait rendue encore plus amère. Mort avait conscience du poids que portait sur ses épaules Aïcha et ne l'enviait pas du tout . Le groupe Dépassait leur peur, gérait leur effort, démultipliait leur engagement, écrasait leur doute, passait leur souffrance sous silence pour certains.
La pluie nous trempait, nos vêtements devenant lourds et froids nous faisaient frissonner. Les chemins de terre devenaient boueux.
Elle regarda Aïcha qui paraissait soucieuse d'un coup. Au loin des bruits de sabots se fîrent entendre. tous leur sens aux aguets, le groupe sortant leurs armes était prêt à passer à l'action ..._______________________________________________________________________ ESCAFLOW [Troupe de l'Ost : En allant vers le Puy] Esca avançait maintenant rapidement avec Amras à ses côtés et Oeil de Nuit leur ouvrant la route. La piste qui disparaissait sous la pluie était presque inutile, tous savaient où aller.... Le Puy.
Esca bénissait la cape que Fauste lui avait offerte, elle le tenait à l'abri possible de la pluie et du vent. La taille de l'habit lui permettait de ne pas être gêné dans ses mouvements silencieux. Les mêmes que lorsqu'il était entré à Toulon pour surprendre une vingtaine d'ottomans alors qu'eux n'étaient que six, pure folie, et pourtant il était vivant....
Bon dieu Esca à quoi tu joue, laisse ses pensées de côté, reste concentré.... se dit-il pour lui-même.
Il avançait toujours courbé sur le chemin, le reste de la troupe montée derrière lui. Soudain, Oeil s'immobilisa, il s'entait l'homme, ce n'était pas distinct car le vent était face à eux et tournait que de temps en temps. Cette fois il en était certain, le vent lui avait permis de sentir des hommes.... amis, ennemis, aucune idées pour le moment, mais une chose est sur, c'est qu'ils sont à cheval....
Un regard à Amras pour lui faire comprendre, bien que celui-ci en voyant Oeil n’eut pas besoin d'explication... ils se retournèrent vers leur supérieur pour le leur signaler en silence et attendre les ordres....
La traque, la vrai, avec Oeil est celle qui laisse le moins de chance à la proie. Si c'était bien ceux qu'ils recherchaient, Esca espérait qu'il serait envoyé dans les bois pour prendre de surprise, avec Oeil, les brigands.....
Pour le moment il était toujours devant la troupe avec oeil et Amras attendant les ordres, prêt à partir en avant, épées prêtes à être dégainé, combat prêt à être menés....._______________________________________________________________________ AMRAS Amras s'était à moitié accroupit, son arc en main à l'instant même ou le loup s'était immobilisé. Il jeta un regard à Esca non loin de lui, leur regard se croisa et ils se tournèrent vers le capitaine de concert.
Celui ci avait sans doute saisit la situation, et un silence pesant s'était abattu à l'arrière du groupe. La pluie ruisselait le long du visage du jeune lieutenant, ses vêtements trempés le gênaient quelques peu et bien que la visibilité soit bonne, il lui fallait bien admettre que le vent pouvait gêner ses tirs. Il serra un peu plus sa main autour du bois et encocha la flèche avant de tendre à moitié la corde trempée, dans un petit grincement.
Amras se retourna vers le sentier en face de lui, scrutant les lieux aux alentours immédiat, il pris l’initiative qu’il pensait la meilleure en attendant que le capitaine s’organise. Le lieutenant fit un geste à Escaflown, lui signifiant d'envoyer son loup à couvert, prêt à prendre l'ennemi à revers, il espérait, que le loup était suffisamment dressé pour patienter sans bruit jusqu’à l’appel de son maître… Pour sa part, il se glissa légèrement en dehors du sentier, au couvert des arbres, faisant bruisser les feuilles trempées au passage. Esca fit de même de son côté...
Un petit sourire apparut sur les lèvres du soldat, comme chaque fois, l'excitation d'un combat imminent le grisait, ses sens en alerte, il attendit silencieusement que les ordres soient donnés._______________________________________________________________________ KIMERA Les fines gouttes de pluie ruisselaient sur le rebord du chapeau de Kimera, se melant aux quelques larmes de tristesse et de rage qui coulaient de temps à autre sur ses joues. Ayant suivi la "cheftaine" lors de son dépassement de pucelle fachée, elle stoppa en entendant les mots de la maure, tendant l'oreille Kimera entendit effectivement des bruissements non loin d'eux.
Xandrya passa près d'elle avant d'aller se mettre à couvert dans les sous-bois entourant la route pour Mende avec quelques uns des membres du Clan. Si attaque il y avait, effet de surprise il y aurait.
Calmement, la chapeautée détacha son attirail du pommeau de selle de son cheval et en passa une partie autour de son bras pour le fixer dans son dos, accrochant un autre morceau à sa ceinture, tandis qu'elle tenait le reste d'une main, prête à s'en servir au moindre signe d'alerte. Ses doigts la démangeait et son oeil aguerri cherchait déjà une cible à planter de son regard fourbe et sournois._______________________________________________________________________ BENAWARE La pluie tombait et les chevaux avançaient. Amras et Esca etaient devant, quand ils s'arreterent au comportement de Oeil de Nuit. Apres un certain temps de reflexion, le jeune archer comprit donc que des hommes furent aperçut au loin.
Benaware qui etait en train d'affuter ses fleches, prit son carquois et son arc dans la main droite. Il prit l'une de ses armes de tir a distance et l'encocha. L'ennemis se trouvaient encore a trop loin pour tirer, alors, il abaissa son arc. Mefiant a tous les coins, il attendit les ordres que l'on lui donneraient.
Quirin se trouvait a ses cotés, l'eau coulant a flot sur ses cheveux, mais l'air tenace, se preparant lui aussi au combat.
Ils avancerent au petit pas..._______________________________________________________________________ FAUSTE La pluie continuait de tomber ... Fauste était trempée, sa cape dégoulinait... Elle vit que Quirin, qui était à côté d'elle était tout aussi mouillé par la pluie ...
Elle regarda vers Amras et Esca... Ils étaient accroupi leur arc en main... Sans attendre, elle se réfugia derrière un petit arbre, histoire qu'on ne la voit pas ... Elle s'accroupi et prit son arc et encocha une flêche... prête a tirer... Elle regarda un à un les soldats qui étaient avec elle, elle sourit ... Son premier grand combat allait commencer ...Elle attendait les ordres a venir ...
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Ven 6 Juil - 19:40 | |
| ZACCHARIA Les signes d'Escaflown et d'Amras étaient clair. Des ennuis étaient à prévoir sur la route. A cette heure matinale, les voyageurs avaient fait la route de nuit. Et vu ce temps, il y avait peu de chance que ce soit un groupe honnête en face.
Zacharia ramena son écu sur son bras et ajusta ses rênes dans son poing. Il vérifia que son épée coulisse bien dans son fourreau. Raffermit sa prise sur sa lance. Il remua les épaules en grognant légèrement pour chasser l'eau qui coulait le long de son heaume et se déversait dans son dos, sous la maille. Le cheval piaffait. Belle bête. Elle supportait sans broncher son cavalier et son équipement, un total avoisinant les cent-vingt s, cent-trente kilos facilement.
Il réfléchissait. Posant la hampe de sa lance sur l'arçon de sa selle, il fit un signe à Amras. Trois doigts debout, un balancement de la main, puis un crochet, un doigt sur la bouche. Il regarda derrière lui. S'arrêta sur Fauste. Esca et Amras pouvait tomber sur forte partie, après s'être posté en embuscade. Et on ne savait jamais ce qu'ils pouvaient croiser dans ces sous bois. Un archer de plus serait aussi le bienvenue. Le capitaine fit un signe à Fauste: il leva deux doigts de la main gauche, puis l'index de la droite après l'avoir désigné avec, plus loin derrière, et les fit bouger ensemble, en gardant la même distance entre ses doigts.
Il connaissait cette route comme les marques sur sa lame. Juste un peu plus loin, un virage qui contournait un gros rocher donnait sur une longueur de route rectiligne. En se disposant adroitement, ils pouvaient laisser croire que leur nombre était plus important qu'il ne l'était en réalité. Il repris son arme, jetant un oeil à Quirin et à Ben. Il éperonna sa monture et avança doucement, Enduril à ses côtés. Lorsque l'archer et son garde du corps furent postés où il le voulait, il leur fit signe de s'arrêter. Lorsque les voyageurs arriveraient, Ben aurait dans sa ligne de mire les premiers d'entre eux, et eux ne verraient pas la fin de leur "colonne", pouvant croire ainsi qu'ils seraient plus nombreux.
Si Amras pouvait les surprendre, avec une bonne dose d'esbrouffe, même un groupe important tomberait dans le panneau et se rendrait sans coup férir. Ne combattre que lorsqu'on est obligé. Cela évitait les blessés inutiles pour ce qui n'était peut-être qu'un groupe de deux ou trois bandits à la petite semaine.
_______________________________________________________________________ BENAWARE Benaware attendit les ordres du capitaine et les executa a la suite. Il s'aligna dans la ligne de mire des voyageurs de façon à ce que les fleches atteignent ceux qui sortiront de cette foret. Mais il était a découvert, si un archer ennemi venait a le tirer, le soldat devrait alors se mettre a couvert, si il n'est pas mort avant.
La pluie était redevenue plus douce, peut etre y aurait-il un changement climatique dans les heures qui suivent. De toute façon, les soldats devraient se battrent avec ce temps humides, avec les vetements boueux, et les cheveux degoulinant.
Attendant l'ennemi, il réencocha sa fleche pour detendre son bras, mais toujours pret a tirer, en cas ou les bandits devraient attaquer..._______________________________________________________________________ QUIRIN Quirin chevauchait toujours au côté de Ben, les yeux furetant partout, prêt à offrir un rempart à l'archer de son bouclier, voir de son corps, il savait quels dégats Ben pouvait infliger avec son arc, il était bien décidé à lui offrir toute la protection possible.
Lorsque le capitane arriva à leur hauteur et leur assigna leur position, il envoya Canaille en avant, bien que non tueur comme peut l'être Oeil, il savait bien que celui-ci pourrait déceler une présence inamicale
Il voyait son compagnon le regard aiguisé, les muscles tendus, prêt à décocher une flèche au moindre mouvement suspect, il était confiant, il ne l'avait jamais vu manquer sa cible._______________________________________________________________________ AMRAS Les ordres du capitaine concernant Esca et lui étaient clairs, il se mordit quelque peu la lèvre quand le capitaine demanda à Fauste de les rejoindre, l'idée ne lui plaisant guère. Amras avait servit sous les ordres de Zacharia depuis les débuts de celui ci dans l'armée, et jamais encore, il n'avait mené combats sans lui... Il se redressa, son arc mi-tendu à moitié baissé, et rejoignit en silence Esca et la jeune archère.
La pluie se faisait plus dense, se qui se révélait ici être un avantage pour le trio qui avait à ce faufiler jusqu'a leur cible. Ils se glissèrent ainsi dans les sous bois, faisant bruisser les feuilles trempées, et tentant de rester totalement stable malgré la nature glissante du sol.
Comme si la pluie et le vent ne suffisaient pas, un coup de tonnerre se fit entendre, faisant trembler le sol et un éclair déchira la grisaille du ciel... _______________________________________________________________________ SEAMUSARRIVANT AU PUY Bien que peu aguerrie dans ce domaine, Xandrya avait apporté beaucoup d’attention aux soins qu’elle avait prodigué à la blessure de Seamus. Bien sûr son bras n’avait pas conservé une mobilité optimale pour le maniement de la dague mais il s’en accommoderait fort bien. Peu de temps avant le départ de la tirelire, il s’en était approché et avait récupéré ce dont il aurait certainement besoin plus tard. Chemin faisant, il répara, non sans peine, le trophée qu’il avait ramassé sur le champ de bataille. Il le fit jouer dans sa main gauche et sourit d’un air satisfait.
La pluie plaquait ses cheveux et son bandeau fétiche les empêchaient de venir troubler sa vision. Son lourd manteau de cuir le protégeait cependant efficacement même si de temps en temps une gouttelette s’immisçait sournoisement dans son cou lui tirant un imperceptible frisson répercuté sur l’épée qu’il avait nonchalamment placé dans son dos. Lentement le convoi avançait et il lui tardait d’arriver à Mende. De deux choses l’unes soit ils pourraient prendre un moment de repos, il sourit à cette idée en repensant à un accueillant épineux, soit ils étaient attendus et l’action était au rendez vous.
La maure pesta une fois de plus. Vivement qu’elle retrouve celui qui lui manquait le plus, elle devenait vraiment imbuvable. La fatigue, le manque, les combats récents lui avaient mis les nerfs à fleur de peau. Il ne ferait pas bon de devoir la combattre dans cet état. Le lourd chariot devenu inutile fut abandonné et ses chevaux récupérés. De fait, la chevauchée se fit plus rapide.
Aicha stoppa net leur progression. Seamus l’oreille aux aguets comprit rapidement la cause de cet arrêt soudain. Des cavaliers arrivaient.. Il pouvait s’agir de marchands ambulants mais mieux valait être prudent. Ses comparses du Clan se mirent immédiatement sur la défensive, certains prenant rapidement position.
Le Taciturne descendit lentement de son cheval, l’attacha à une branche basse dans les sous bois. Il s’avança, courbé, veillant à bien garder le vent de face. Il avait cru entendre des aboiements et des jappements mais le bruit de l’averse ne lui permit pas d’identifier si ces bruits animaliers provenaient de l’avant ou de l’arrière de leur convoi. A la vue de la troupe de l’Ost il se plaqua au sol et évalua les forces en présence. Il encocha un carreau dans l’arbalète du cocher et se tint prêt, son regard alternant rapidement, tantôt vers les soldats, tantôt vers la Maure._______________________________________________________________________ AICHA Xandrya l’avait rejoint en avant , Les deux femmes échangèrent quelques mots à voix basse puis celle-ci alla se mettre à couvert avec une poignée d’autres membres. Le groupe se dispersa en silence, tout en restant à proximité les uns des autres. Une autre partie resterait un peu en recul afin de parer à d’éventuelles attaques qui pourraient arriver de l’arrière.
L’eau ruisselait sur l’armure de cuir souple de la jeune maure, faisant adhérer le cuir a sa peau. Aicha passa sa main gantée dans ses cheveux trempés, les envoyant vers l'arrière. Elle s’assura que les dagues étaient bien en place dans son dos et empoigna fermement l’épée courte.
Son regard croisa celui de Seamus, elle lui sourit avant de lui taper un clin d’œil. Il lui avait dit lors de leur départ qu’il ne serait jamais loin… Elle allait pouvoir le vérifier. Quoique … un sourire en coin, elle éperonna légèrement sa monture qui se mit au pas, suivie de près par Halley que Seam avait à l’oeil et quelques autres. Devant, la route semblait tourner, un gros rocher bloquant la vue. Dirigeant sa monture vers la gauche afin d’avoir une meilleur vue, ils avancèrent prudemment, quand devant se confirma le pressentiment… des soldats !!.. Elle ne pouvait pas voir combien ils étaient à cause du virage et du rocher. Resserrant les genoux sur les flancs de l’animal, que la pluie avait rendu lisses sous ses fesses endolories par la monte à cru. La jeune Maure s’avança fièrement sans laisser paraître l’ombre d’une crainte. Les quatre cavaliers partis en éclaireur s’arrêtèrent à quelques mètres.
Holà Soldats… Laisser nous passer et il ne vous sera fait aucun mal. Disant ses mots un sourire narquois se dessina sur les lèvres de la cheftaine. Elle posa le regard sur l’archer qui semblait près à tirer et se tourna vers hecate. Tu crois qu’ils vont avoir le courage et oser nous empêcher de passer ? _______________________________________________________________________ BENAWARE Benaware regarda la silhouette sortir de la foret avec plusieurs autres bandits avec lui. Les fourmis commença a l'atteindre dans les doigts, puis dans les bras, il fallait qu'il tire, sinon la cible deviendrait trop imprecise.
Regardant le capitaine d'un bref coup d'oeil, il compris qu'il n'y aurait aucune diplomatie. C'est alors que le vent souffla du coté Est, ce qui deriva l'arc. Une goutte de sueur et non d'eau vint couler sur le front de l'archer, il recadra la silhouette dans la pointe de l'ame a distance et celui ci decocha. Le trait vola a sa plein puissance, malgré la pluie, malgré le souffle.
La flèche deriva legerement et alla s'abattre sur la cible d'a coté. L'homme ou la femme tomba alors, agonisant surement car le corps bougeaient encore.
Benaware eut un leger sourire au lèvre, et encocha une fleche pour prevenir l'ennemi qu'il n'y aura de négociation..._______________________________________________________________________ QUIRIN Quirin s'avançait, la main sur le pomeau de son épée, pour demander leurs identités aux cavaliers, dont l'accouterment ne faisait assurément pas penser à de paisibles voyageurs, lorsque une jeune femme du groupe le héla d'une façon assez... un peu trop même sure d'elle "Holà Soldats… Laisser nous passer et il ne vous sera fait aucun mal"
Le ton et les mots déplurent fortement au soldat
Holà maraude, ce ne sont assurément point de tel propos qui vous ouvriront la route La cavalière semblait les regarder d'un air bien insolent et s'il la vit s'adresser à sa voisine un méchant sourire au lèvre, il ne put comprendre ce qu'elle lui disait à peine avait elle fini de parler à sa voisine qu'il vit celle-ci s'écrouler atteinte d'une flèche tirée par Ben Après un bref moment de surprise, il se dit que son archer n'avait pas tiré sans raison, et qu'au contraire, expérimenté celui-ci avait du déceler le danger
Il fit se reculer de quelques pas sa monture, et sortie son épée, prêt en découdre, à présent certain, que le geste de Ben, bien qu'assurément justifié, allait attirer une réaction de la part des cavaliers. peut-être celle de la sagesse qui serait de déposer leurs armes, mais il en éprouvait un gros doute
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Ven 6 Juil - 19:41 | |
| SEAMUS Un bruit de succion se fit entendre juste derrière le Taciturne. Se retournant vivement, l’arbalète à la main et se trouva face à face avec le prisonnier en sursis. Le bottes de ce dernier avait émis ce son quasi obscène lorsqu’il se dépêtra d’une flaque de boue. Le regard haineux, Seamus le toisa et siffla
...Voulu me surprendre... ? ...Toujours pas choisi ton camp... ?
Halley lui lança un regard de défi qui déplut profondément au Taciturne mais lui fit un geste explicite sur sa main gauche. Seamus lui désigna du menton un espace tapissé de feuilles mortes. De la main il lui ordonna de s’y coucher et d’observer, tout comme il le fit à son tour.
Derrière eux des bruits de combat s’élevaient déjà. Il chercha des yeux la Flamboyante au milieu du convoi mais ne pu l’apercevoir. Il ferma les yeux un court instant. Plus près de lui, Dame Voilette était en place. Bohort semblait avoir des difficultés avec son cheval et avait du mettre pied à terre un peu à l’écart. Hécate et la Maure s’avancèrent au milieu de la route. La chef prenait tous les risques bien que ses amis la couvrait de part et d’autre du chemin. Seamus leva les yeux et sourit.
Elle s’adressa aux soldats qui ne semblèrent goûter son ton. L’un d’eux s’avança et répondit tout aussi vertement. Un deuxième mit en joue les deux femmes et sans ciller décocha immédiatement une flèche en pleine poitrine de Hécate. Elle porta sa main sur la flèche profondément fichée dans les chairs dans un rictus d’effroi. Lentement elle glissa de son cheval et tomba lourdement au sol. Son corps fut agité de quelques soubresauts puis s’immobilisa définitivement. Seamus fronça les sourcils en serrant des dents d’entre lesquelles il murmura.
Mouchures de latrines…
Les événements se précipitaient, la pitié n’était pas de mise. Ils l’auraient voulu… Il regarda en direction de Bohort et le vit toujours affairé. Il claqua de la langue pour appeler discrètement le prisonnier et lui désigna du menton le soldat qui avait répondu à Aicha.
Deux cavaliers se tenaient fièrement derrière les deux premiers soldats. Un homme aisément reconnaissable à sa lance côtoyait de très près une ravissante donzelle. Le lancier semblait vouloir se diriger à son tour vers la Maure. Seamus épaula son arbalète et le prit en ligne de mire. L’ombre d’Iphaé traversa son âme. Depuis ce jour fatal, il haïssait ces armes de lâche qui pouvaient occire à distance. Avoir quelqu’un en joue de la sorte le troublait au plus haut point. Ses mains se crispèrent d’angoisse, de colère, de désespoir. Le trait partit sans qu’il ait eu le temps d’ajuster son tir. Au lieu de stopper la progression du lancier, la fléchette alla se ficher dans la besace de la cavalière dans un bruit mat qui laissa supposer que quelque chose s’y était brisé.
De rage, la Taciturne lança l’arme qu’il ne pourrait jamais plus utiliser. Elle atterrit non loin de Halley._______________________________________________________________________ HALLEY Empêtré dans une flaque de boue, le jeune captif fatigué de marcher à la suite de ses ravisseurs, se dépatouille bien maladroitement. Il parvint s'en défaire dans un bruit bien peu discret, qui fit sursauté son chien de garde. Ce dernier, de surprise se retourna et mis en jout le jouvenceau.
*ricanement* Alors nerveux mon p'ti sac à purin.
Ne le lâchant pas du regard, Seamus lui désigna un lit de feuille morte. Jeune certes, mais pas sans expérience Halley compris les intentions de sa nourrisse. Il le vit, pointer son arbalète, puis perçut comme une hésitation qui l'intrigua et l'assassin décocha le trait, encore plus maladroitement que lui en se débattant dans la boue, manquant de blesser une des siens.
*Pouf de rire*, c'est bien parce que vous étiez trois que vous m'avez eut, bande lâche, si tu es aussi adroit à l'épée qu'à l'arbalète, tu airais subit le même sort que le bourru qui à essayer de m'affronter.
Le taciturne, ayant balancer l'arbalète non loin du mercenaire, lança son poing en plein visage du prisonnier, lui faisant enfler instamment la pommette qui chauffait de plus en plus
*Donne m'en l'occasion et moi je te raterais pas enflure.*
Profitant de l'instant ou Seamus se reconcentra sur ce que risquait ses semblables, Halley s'empara de l'armes négligemment délaissée, jeta de la boue au visage de son cerbère et prit la fuite en rebroussant chemin._______________________________________________________________________ KIMERADans les bosquets Kim avait suivi le taciturne de près quand celui-ci s'était mis à l'abri des feuillages touffus de la foret, elle lui jeta un regard alors que son fardot humain faisant un boucan de tout les diables en secouant la tête les yeux au ciel.
Et bah on est pas rendu avec un corniaud pareil songea t-elle en soupirant.
Observant la cheftaine hautaine, elle la vit user de son ton arrogant fâce à plusieurs soldats qui se dressaient en plein passage.
Pfff... M'étonnes même pas... Une fleche perdue, allez une fleche perdue.. . se dit-elle en souriant sur la fin de son souhait sournois.
Souhait réalisé... mais pas la bonne personne, une flèche vient transpercer le coeur de la belle Hécate, pleine cible, pas un hazard, elle était visée par un archer qui connaissait son art à moins qu'il ait loupé l'autre faisant mouche quand même.
Ouillo... Ca rigoles pu... marmonna la chapeautée en se redressant avant de poser un genou à terre bandant la corde de son arc après avoir encocher une flèche.
Celui qui avait tiré était, à n'en pas douter, sur sa droite tapis quelque part vu l'arrivée de la flèche, mais où... Les soldats sur le chemin, trop dangereux, même si tentant, mais elle aurait risqué de ne pas atteindre sa cible qui aurait sans doute devié "involontairement" vers les miches de la Maure.
Doucement elle balança un caillou à Seamus qui décocha son carreau allant se ficher n'importe où sauf là où il avait dut viser, coincidence ou non elle n'aurait su le dire... Il lança son arme de rage à priori, l'autre chien galeux s'empressa de l'attraper et de filer avec... Kim lança un regard à l'homme au bandeau en visant le prisonnier qui s'évadait de son arc, attendant un accord tacite pour envoyer sa fleche sur le fuyard.... _______________________________________________________________________ ZACCHARIAZacharia vit arriver les jeunes femmes. Il resserra la main gauche sur ses rênes, raccourcissant la prise. Il sent Monstro se tendre, prêt à charger immédiatement. L'inconvénient des destrier de guerre. On lui avait dit en lui remettant la bête. Un énorme destrier frison entraîné au combat. Nerveux comme pas deux. Du genre à vous écrabouiller la caboche pour voir de quelle couleur elle est, des fois qu'elle serait verte et qu'il pourrait vous boulotter. Il sent les muscles du cou jouer sous lui alors qu'il se penche en avant.
La maure stoppe sa monture. une énorme bête elle aussi. Mais la drôlesse monte à cru.. Etrange... Si son accoutrement et la simple épée courte qu'elle empoignait pouvait laisser subsister quelques doutes, aussi minimes soient-ils, sur son identité ses paroles celèrent l'issue de la rencontre. Le capitaine abaissa d'un même mouvement la visière de son casque et sa lance, furieux. S'ils croyaient les impressionner...
Une flèche passe à ses côtés. Une des cibles tombe alors qu'il éperonne sa monture qui pousse un hénnissement furieux. Tant mieux, il n'a plus l'embarras du choix désormais. Il sent plus qu'il ne voit un carreaux passer à côté de lui. Aucun cri derrière lui, la cible était soit morte, soit indemne. Il préfère ne pas penser au pire au moment ou il arrive sur leur chef.
Alors que Monstro martèle le chemin, faisant presque trembler le sol, projetant des mottes de terres humides aux alentours, il se met en position, presque debout sur ses étriers, calé dans sa selle. Le coude collé au corps, la hampe de la lance sous l'aisselle, sa lance devient le prolongement de son corps, soudé au cheval. Sa main gauche rapproche son écu près de lui, l'animal n'ayant pas besoin d'être dirigé pour une charge. La distance n'est pas assez importante pour qu'il donne sa pleine puissance, mais sa cavalière devait elle au moins manquer de poids.
Zac pense qu'elle va essayer de rompre, voir de faire tourner bride à sa monture, ou au moins de tenter de l'esquiver sur les côtés. Auquel cas son poids et la puissance de sa monture les enverrais bouler au loin. Elle lance elle aussi sa monture... en avant. Folie, pense-t-il, elle n'a aucune chance, privée de selle. Sentant le coup fourré, il abaisse la lance au dernier moment, visant l'encolure du cheval. Si elle pensait être tombée sur un chevalier, elle déchanterait.
Le choc est terrible. Le fer de la lance pénètre dans la poitrine de la monture comme un couteau chauffé à blanc dans une motte de beurre frais. La hampe cogne brutalement contre son bouclier, se plie avant de voler en éclat avant que son bras ne rompt lui aussi, projetant des échardes dans tous les sens dans un fracas de fin du monde. Son destrier vient alors percuter les flancs de la monture adverse, achevant de projeter la monture dans un fracas de chair, de sabots et de sang. Le capitaine manque être désarçonné, mais tiens bon, sa main droite se rattrapant à l'arçon de la selle. Tentant de voir ou se trouve son adversaire en ce moment, il ramène son bouclier près de lui, se tournant en tout sens..._______________________________________________________________________ BOHORT Des archers! Il détestait ça! Bohort bondit en selle et talonna brusquement en lâchant la bride. Le cheval bondit au galop, heureux d'avoir un peu d'activité après cette longue marche au pas près du chariot.
Le meilleur moyen de gêner les archers était de se lancer dans le combat au corps à corps. Sur des cibles mobiles avec les ennemis mêlés aux amis, leur tâche était beaucoup plus dure.
Couché sur l'encolure, il fonça sur l'homme qui les avait interpelés. _______________________________________________________________________ QUIRINQuirin vit que dans le groupe qui leur faisait face, sousain un cavalier éperonnait son cheval pour leur foncer dessus,, il en était maintenant certin, avec une attitude des plus belliqueuse.
D'un rapide coup d'oeil il s'assura de la position de Ben et comme le capitaine le lui avait ordonné il s'interposa entre le cavalier et son archer.
il était primordial pour lui que son compagnon reste sous sa protection, il se refusait à faillir à sa mission.
Son bouclier bien atttaché à son bras gauche, son épée tenue fermement dans sa main droit, il fit face à l'intrépide, prêt à supporter un choc surement rude
Un sourire se dessina sur son visage, quelle inconsciense de charger un soldat de l'Ost ne put-il s'empècher de penser_______________________________________________________________________ BENAWARE Benaware regardait les combats commencer. L'archer tirait alors des traits de fleche mais les chevaux etaient bien trop rapide. Il ne fallait qu'il risque aussi de tuer ou meme de blesser l'un des soldats de l'Ost. Quirin etait en position, protegeant benaware de son bouclier, le tenant de la cuisse a l'epaule, tel est la formation du soldat.
Un homme sur un destrier sortit des bois a son tour et fonça dans la direction des deux soldats a vive alure. Il gagnait de la vitesse a chaque seconde, se raprochant du choc terrible qu'y allait arriver.
Benaware decocha une fleche mais celle ci vint s'abattre sur un morceau d'armure du cheval. Lachant un juron, il redecocha une un trait et celui ci passa a deux pas du destrier. Se penchant vers Quirin:
- Tu t'occupes de lui, moi je saute sur le coté des qu'il arrive, et tu le tues, c'est la seule chose que je te demande!!!
Attendant l'inevitable, Benaware sauta a quelque seconde du choc. Il se retrouva les genoux dans des buissons epineux. Le jeune archer reprit son courage et son arc, pres a reprendre le combat, meme s'il etait a decouvert.
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Ven 6 Juil - 21:44 | |
| ENDURILFichu temps, fichue pluie. Un temps à ne pas mettre un honnête homme dehors. Un de ces fichus temps qu’adorent ces raclures d’In Tenebris. Dès qu’elle l’aurait entre ses mains ce petit malin qui avait osé venir la déranger à Mende, il aurait le droit à un petit échantillon de ce que la colère pouvait lui faire faire.
Distaitement, Enduril caresse le sac qu’elle porte en bandoulière. Elle sent avec un petit sourire les rondeurs des dernières innovations de Klaus. Si les IT avaient apprécié le cadeau de Béziers, celui là… Et là, entre les sachets contenant plantes et charpie, quelques flacons dont un de vitriol romain. Joli cadeau dont elle se fera un plaisir de couvrir lentement le malade qui lui valait ce déplacement. Il se débrouillerait ensuite pour qu’Halleck le reconnaisse.
L’humus de la forêt absorbe l’eau, empêchant les cheveux de glisser. Les sens en alertes, elle voit les hommes de tête faire part d’un danger. Elle revérifie, son équipement est là, à portée de main, tandis que Zac donne ses instructions par geste.
Des femmes apparaissent, mais rien dans leur accoutrement ne laisse paraître de paisibles voyageuses. L’une a un visage typé, assez particulier, il lui fait penser à Djahen et lorsqu’elle prend la parole exigeant le passage et promettant de les épargner, ses peu de doutes s’effacent. Déjà, les choses se précipitent, une des femmes est à terre, touchée en plein cœur par Ben et Zac s’apprête à charger.
C’est à cet instant qu’un carreau d’arbalète se fiche dans son sac. Le bruit qu’elle entend ne lui laisse aucun doute. Le vitriol ! Un inconscient a visé la flaque de vitriol !
Pas de temps à perdre en réflexions, se débarrasser du sac, vite et si possible loin d’eux.
Le rocher ! Derrière ! Elle coupe la bandoulière pour ôter le sac au plus vite, le fait tournoyer pour prendre de l’élan et d’un geste puissant, le lance par-dessus le rocher lançant un grand cri que les anciens, surtout ceux de Béziers et Benaware qui l’avait rencontré à son concours d’inventions pourraient peut être comprendre.
KLAUSSSSS !!!!!!!!!!!
Le sac s’envole et entame la courbe qui le mène par-dessus le rocher. De là où elle est, elle ne peut voir comment la roche est constituée de l’autre côté, mais un choc sourd, le bruit de son attirail qui heurte la pierre la renseigne aussitôt. Le sort en est jeté. Mise à feu enclenchée.
Bénissant le sort qui lui a fait récupérer ce cheval entraîné pour la guerre et habitué au son du canon, elle l’enserre de ses jambes, enroule les rennes autour de ses mains avant de plaquer celles-ci sur ses oreilles et ouvrir sa bouche en grand, rassurée de voir du coin de l’œil que Zac est du bon côté du rocher.
La déflagration est forte, très forte. Quatre bébés de Klaus, avec un dispositif de mise à feu interne, emplis dans le compartiment périphérique de billes de plomb et de poix, balançant des projectiles enflammés, capable de perforer une cible dans un rayon de 15 mètres, un souffle assez puissant pour jeter à terre un cavalier à dix mètres et rendre sourd un moment toute personne se trouvant alentour et ne sachant pas l’attitude à adopter. Il y allait avoir des dégâts, du côté de l’Ost, un peu sans doute, du côté des assaillants, quel que puisse être leur nombre.
Du coin de l’œil, elle cherche déjà le fichu imbécile responsable de ce gâchis, il allait avoir à s’expliquer. Elle sort son épée. Après, elle ira vérifier la taille du cratère au moins mètres de diamètre selon ses estimations Elle transmettra les informations à Djahen._______________________________________________________________________ KIMERA Pas de réponse du Taciturne et le fuyard qui s'éloigne, Kimera bande son arc et vise le postérieur du prisonnier... Un cri de la jeune femme que Seamus a raté, un bruit de bris de verre non loin, la chapeautée ne saisit pas ce qui se dit dans ce cri mais n'augure rien de bon... Relachement de la corde, jambes qui court à toute allure le plus loin possible et qui attérissent sur le côté du chemin, une déflagration et des petites boules de feu qui volent en tout sens à une vitesse folle.
Qu'est-ce donc que ce prodige, bordel !!!
La surprise passée, les oreilles encore un peu bourdonnantes et l'arc en bandouillière, fleche à la main, Kim observe si les autres ont pu détaller mais ne voit rien. Se ressaisissant, elle guette vers l'endroit où elle supposait l'archer assassin d'Hécate posté, sourire naissant sur son visage, il est là, à découvert...
Kimmy passe la plume de sa fleche sur sa langue, humidifiée elle a moins de chance de dévier avec la pluie et le vent, avec précaution elle encoche le projectile sur la corde, l'index et le majeur entourant le morceau de bois. Le visage se rapproche de l'arc, l'oeil se fixe sur la cible alignant la pointe de fer, une lèvre frole la corde lorsque "l'emplumée" l'étire...
La cible est dans sa visée, petit sourire satisfait, les deux doigts libèrent la pression du cordage tendu laissant la flèche filer à toute allure vers l'archer à découvert...
Au revoir.... Dors bien... murmure t-elle en dévoilant ses jolies dents dans un sourire sauvage, les yeux brillants de plaisir à savoir sa pointe se ficher dans la chair du soldat, n'attendant plus que de voir le moment où il s'écroulera dans un cri sourd._______________________________________________________________________ QUIRIN Quirin se tenait prêt à la charge de cet inconsient cavalier, il était dans l'attente du moment ou il éperonnerait à son tour son cheval, juste au moment ou il serait trop tard pour son vis à vis, lancé à vive allure pour changer de direction, celui pensant le charger de front ou par sa droite, se retrouverait soudainement sur sa gauche, ce qui permettrai à Quirin tout en seprotégeand de son bouclier, de le frappé de toute ses forces avec son épée
Le soldat avait déjà raccourci ses rènes au plus court, ne les tenant que de sa main gauche afin d'insufler à sa monture la volte nécéssaire, quand une explosion retentit à ses oreillles
Il ne compris pas de suite ce qui lui arrivait, son cheval effrayé se cabrant le désarçonna, ce qui peut-être lui sauva la vie à moins que ce ne soit celle de Ben, alors que devenu fou le cheval enchainait ruades sur ruades, il vit une flèche venir se ficher dans une des protections de cuir dont il était pourvu.
Plus un son ne parvenait aux oreilles du soldat, mais au moins il se retrouvait sur le plancher des vaches, ce qui est quand même le terrain préféré d'un fantassin. Il ne ressentait aucune douleur à part un bourdonnement dans les oreilles, une odeur légèrement àcre lui piquait la gorge, surement rien, peut-être du au nuage de fumée et poussière qui s'était formé lui empechant de voir ou se trouvait précisement son ennemi... peut-être celui-ci avait-il subit le même sort ...
Il ramassa son épée tombée heureusement à ses pieds, le bouclier lui n'ayant pas bougé de son bras_______________________________________________________________________ SEAMUS Seamus contre Enduril Le prisonnier n’avait pas manqué de remarquer le moment de faiblesse du Taciturne. Depuis quelques jours, lorsqu’il était question d’Iphaé, Seamus devenait d’une transparence rare. Les remparts qu’il avait bâti autour de son passé cédaient peu à peu. Il en connaissait la cause même s’il se refusait de l’admettre. Par contre son hésitation aurait pu lui être fatale s’ils n’avaient pris soin de désarmer le prisonnier et de laisser son attirail à la chariote abandonnée.
Halley le narguait, d’un bond Seamus se releva en mettant la main sur le pommeau de son épée dans le dos. Nouvelle hésitation : les ordres. Le Taciturne soupira : il n’était pas temps de déplaire. Renonçant à son dessein décapitatoire, il lui envoya son poing en pleine face.
Un cri retentit sur le chemin. Seamus crut y reconnaître un prénom mais sans en être sûr
Klaus !!!!
Le Taciturne tourna vivement la tête, mouvement que le prisonnier mit à profit pour lui balancer une poignée de boue en pleine face. Il repartit ensuite dans la direction d’où ils venaient tout en ayant soin de couper à travers le dense sous bois afin d’éviter les combats à l’arrière du convoi. Pestant de ne pouvoir lui crier sa haine, le Taciturne murmura
...tu va souffrir… ...sais pas quand... ...mais tu va souffrir...
Une agitation extraordinaire régnait sur le chemin. La cavalière dont Seamus avait involontairement atteint la besace semblait prise de panique. Elle finit par faire tournoyer sa sacoche et de la lancer le plus loin possible derrière un rocher comme s’il s’agissait d’une bombe.
Une explosion inimaginable retentit, faisant cesser pour un très court instant tous les combats en cours. Des morceaux de pierre, des éclats de bois et pas mal de boue furent projetés dans toutes les directions. Quelques petites billes enflammées parvinrent à franchir la barrière constituée par le rocher derrière lequel l’artificière en herbe avait lancé sa machine infernale. Le lancier fut atteint par une de ces billes, son bouclier le protégeant par une chance qu’il n’aurait plus longtemps. Le choc cependant semblait avoir suffit à le déstabiliser, à le déconcentrer du combat qu’il menait avec la Maure.
Constellée de taches de boue, la cavalière semblait hors d’elle. Un sourire torve vint se dessiner lentement sur les lèvres du Taciturne. Elle était mûre, échauffée à souhait.
Il s’avança en rampant vers le bord du chemin et avisa une solide branche à faible hauteur. La cavalière partie constater les dégâts de son engin diabolique lui tournait les dos. Seamus en profita pour rejoindre la branche qu’il venait de repérer et pour saisir l’une de ses dagues cachée dans ses bottes. La soldate avait empoigné son épée et guida son destrier dans un lent mouvement circulaire, scrutant les sous bois pour retrouver celui qui avait violemment contrecarré ses plans. Du haut de son cheval massif, elle portait son regard à quelque distance de là or que son opposant était tout proche. Seamus attendit le moment propice pour se ruer sur la croupe de l’animal et de s’accoler à celle de la militaire un bref instant surprise. Enroulant son bras autour de sa taille, il lui plaqua le tranchant de sa dague sous la gorge en murmurant. ...Ton épée... ...Lache.. ...sinon...
Il accentua le pression de la lame sur la peau du cou qui se blanchit à son contact._______________________________________________________________________ BENAWARE Kimera contre Benaware
La pluie continuait de tomber quand il ré-armait une fleche sur le cavalier. Il lança le trait qui vint attérir a coté de son adversaire a cheval à cause d'un bruit derangeant sa concentration et sa visée. Il faisait calme quand le bruit d'un décochement de flèche vint partir à toute vitesse sur le jeune archer.
D'un moment a l'autre, le trait se figea d'un les côtes de l'archer, ou le sang commença à couler abondemment. L'amure en cuir n'avait pas résisté, mais ralentit légèrement la pointe d'acier. Benaware tomba un genoux à terre, regardant l'archer ennemi sortis de nul part ayant un sourir au lèvre.
Benaware se ratrapa a une main, et marcha presque a quatre pattes jusqu'a un tronc d'arbre où il s'assit pour enlever la flèche. Il prit une longue inspiration et tira dessus. Benaware lacha un cris de terreur et des larmes apparurent sur son visage sale. Il déchira un morceau de son maillot grace a sa fine épée et l'acrocha rapidement pour eviter que le sang ne coule trop.
Il mit une minute a se remettre debout, heureusement l'archer ennemi n'ayant pas eu le reflexe de l'achever directement. Il ramassa son arc et son carquois, prit une fleche et visa l'archer ennemi. Ils se virent les deux dans le viseur, quand Benaware remarqua que c'etait....une femme.
-Ah sal****** de bandit! se murmura t'il avant de lacher le trait qui atterit au pied de l'ennemi.
Puis il se recacha derriere l'arbre avant de lui crier:
-Bon ecoute!!! Ce n'est pas un bandit comme toi qui va m'apprendre a tirer!! Alors, je te laisse ta chance ma mignonne, deposes tes armes et rends toi, et je te promet que tu ne sera pas mise a mort!!!!
Puis il attendit la reponse de la femme.
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Ven 6 Juil - 21:51 | |
| AICHA Aïcha contre Zaccharia
Un sifflement se fit entendre, Aicha n’entendit que la plainte étouffée de sa voisine, le bruis sourd d’une masse inerte qui s’effondrait au sol. Sa monture piaffa, s’énervant entrent ses cuisses, la maure eut peine à calmer le destrier. Ses yeux se rétrécir se fixant sur le groupe qui leur faisait face. Il n’y avait pas place a discussion. Ils avaient décidé de passer et ils passeraient coûte que coûte. Elle fixa son regard sur le soldat qui fonçait vers elle resserrant les cuisses sur les flancs détremper de la bête elle enroula les guides autour de sa main et agrippa la crinière de l’étalon, tentant de s’assurer meilleur stabilité. Tenant fermement son épée de l’autre main elle fonça droit devant… pure folie certainement dictée par la rage aveugle qui bouillonnait en elle et cette détermination d’en finir et de rejoindre le manoir.
Au moment ou il arrivait à proximité la jeune maure se relevait se campant sur ses genoux prêts a paré la lance et a bondir sur lui. Mais contre toute attente il baissa la pointe qui percutant violemment le poitrail de sa monture. Un bruit atroce un hennissement douloureux la bête se souleva sous l’impacte. Un réflexe de guerrière expérimenté ou une chance de tous les diables, mais elle poussa fortement sur ses jambes s’élevant dans un interminable vol plané. La force de l’impact lui arracha l’épée des mains qui tourbillonna dans les airs, pour aller retomber plusieurs mètre derrière elle…Elle émit une plainte étouffée quand son corps s’écrasa au sol, plainte qui fut couverte par une déflagration impressionnante, assourdissante, qui fit trembler le sol sous leurs pieds . Elle mit un moment à reprendre ses esprits étendus dans la boue les oreilles bourdonnantes, le souffle coupé. Elle se releva péniblement, posant les mains sur ses genoux le temps de reprendre son souffle. Son épée avait disparu, mais ce chien de soldat était toujours en selle à quelques pas d’elle.
Aicha était a quelques mètres de la dépouille de ce qui fut sa monture. Elle restait immobile un genou et les mains au sol, tel un loup guettant sa proie, elle attendait le bon moment celui ou il serait assé près et lui tournerait le dos.
La boue vola sous sa foulée quand elle chargea vers son assaillant, Courant aussi vite qu’elle le put, prenant de l’élan, déterminée, elle bondit. Posant un pied sur la carcasse de l’étalon, elle s’en servit comme d’un tremplin et se projeta sur lui. L’empoignant a bras le corps elle de désarçonna. Ils s’écrasèrent au sol tout les deux et roulèrent un peu plus loin…. Se dégageant de lui elle pivota sur elle-même et se remis rapidement sur pied. Essuyant la boue et l’eau qui coulait sur son visage du revers de la main, elle empoigna les deux dagues qui était fixé à son dos.
Haletante, sa poitrine se soulevait rapidement. Le corps incliné vers lui, les genoux légèrement fléchi. Elle lui sourit, provocante, et lentement, entrepris de tourner autour de l’homme. Féline, elle ne le quitta pas des yeux tentant d’anticiper son prochain mouvement, de déceler une faille et de s’y engouffrer.
Allez qu'est-ce que t'attend ? .... il faut que je vienne te chercher...
_______________________________________________________________________ BOHORT Bohort contre Quirin
Son adversaire semblait déterminé et l'attendait de pied ferme... le choc semblait inévitable lorsque l’explosion retentit, dans un fracas épouvantable. Le cheval fit un écart violent et il se retrouva à terre avec son cavalier. Il se releva aussitôt pour s’enfuir, paniqué, manquant le piétiner au passage.
Bohort releva la tête… la fumée se dissipait lentement et les débris avaient fini de pleuvoir autour d’eux. Il vit l’homme se relever à quelque pas de lui et en fit autant. Il le dévisagea, le regard sans expression. Sa colère était tombée. L’archer semblait hors d’état de nuire. Il tira lentement son épée hors du fourreau, résigné, et pris une dague dans la main gauche. Ce jeune soldat faisait son devoir… Il attendit, sans se mettre en garde, les bras baissés, les armes pendant dans ses mains. _______________________________________________________________________ QUIRIN Bohort contre Quirin
Le nuage se dissipant, Quirin aperçu son adversaire à quelques pas de lui, et pas dans une meilleure posture, ce qui n'aurait pu que lui attirer un sourire si ce n'était l'arbalète qu'il vit un bref instant sur le dos de son ennemi.
se relevant presque en même temps leur regards se croisèrent, ce qui surpris Quirin fut l'absence de haine dans les yeux de son vis à vis, ce n'était pas non plus un regard de peur, l'on sentait le courage mais avec une sorte de fatalité.
Brièvement Quirin pensa que cet homme était seulement dans le mauvais camp, il était brigand, tout comme il aurait pu être soldat, mauvaises circonstances de la vie peut-être
Il chassa très vite cette pensée, pour revenir à l'arbalète, il devait absolument amener l'autre à croiser le fer et ne point lui laisser le temps de se servir de son arme, en quelques enjambées il se trouva à distance de lame de son adversaire, celui-ci n'avait pas cillé démontrant un grand sang froid
Brigand ! je vois bien que tu n'es pas comme ces furies que tu accompagnes, ne commet pas l'irréparable, déposes les armes, et il ne te sera fait aucun mal, résistes et tu connaitras le même funeste sort que tes compagnons_______________________________________________________________________ KIMERA Kimera contre Benaware
L'archère crut voir sa flèche atterir dans les protections d'un cheval mais se rendit compte qu'elle s'était fourvoyée en apercevant le soldat qu'elle visait tomber à genoux en se tenant le flanc.
Touché... sourit-elle ne pensant pas le voir se relever.
Il regarda dans sa direction, le regard surpris, sans doute ne s'attendait-il pas à un congénère d'arme parmi les membres du Clan, et pourtant... Kim jubila de le voir ramper à genoux pour se cacher à l'abri d'un arbre et calmement rentra de nouveau dans la foret en remettant son arc sur son dos. Sourire mesquin et satisfait aux lèvres, elle avança prudemment, mais avec une certaine non chalance vers l'endroit où elle savait le soldat caché.
En s'approchant, elle entendit un cri de douleur, son mélodieux à ses oreilles, elle savait qu'il ne pouvait l'avoir fait passer en l'enfonçant pour qu'elle traverse vu l'endroit où la flèche s'était plantée. Obligé de la tirer, faisant encore plus de ravage avec la pointe que lorsqu'elle était entrée, meurtrissant davantage les chairs, un frisson jubilatoire à ce chant douloureux parcouru son échine, remontant jusqu'à son sourire perfide.
Vas-y... J'adore quand tu hurles... murmura t-elle pour elle même le regard pétillant.
Kimera arrivait maintenant à proximité de l'arbre, il semblait s'être relevé, ce qui laissait supposer qu'il était assez costaud, apercevant un mouvement, Kimmy remis son arc en position encochant immédiatement une fleche. Le soldat apparu devant elle, Oeil en visée, leurs regards se croisèrent, le soldat eu l'air destabilisé d'avoir à faire à une femme, tout du moins surpris. Kimera en profita pour décocher sa flèche, le soldat en faisant de meme envoya la sienne trop rapidement qui vint atterir au pied de l'emplumée, alors qu'il retournait vite derrière son arbre, le projectile de Kim mourrant derrière dans les sous-bois.
Arhhh... Manqué... grogna t-elle en soupirant.
La voix de l'homme s'eleva de derrière son arbre, proposant un compromis, en l'appellant ma mignonne, mais pour qui il se prennait celui-ci, Kimera allait se charger de lui faire comprendre.
Dis donc, tu marchandes mais t'es pas franchement en position y me sembles !!! Qui est planqué derrière un arbre ??? Tu veux que je deposes les armes en échange d'un emprisonnement tu reves tout éveillé ma parole !!! Et tes sobriquets à la noix tu te les gardes, suis mignonne soit mais pas "ta" mignonne !!! Bon tu sors de ton trou ou je viens te chercher !!!
Tout en lui parlant pour couvrir le bruit de ses pas sur les feuillages humides, Kimera, vicieuse, avait rangé son arc et son carquois sur son dos, pour prendre son arbalete crochée à sa ceinture, dans un combat de proximité, c'etait plus pratique et surtout plus rapide. Glissant derrière l'arbre, de l'autre coté de l'endroit où elle se situait, elle eu la chance de le trouver tourner sur le côté guettant pour pouvoir tirer de nouveau sans doute.
Sourire perfide, regard vicieux caché par sa voilette que seul le brillant de son oeil dévoilait, la chapeauté, tapote sur l'épaule du soldat en le visant de son carreau armé.
Bouh... _______________________________________________________________________ BENAWARE Kimera contre Benaware
Benaware sentait le calme absolue, quand il réarmat une flèche. Il se tourna lentement sur le coté et regarda sa cible qui n'était pas a sa place. Il se tourna donc pour la chercher quand son inconnue l'intercepta derriere.
Sur le coup, Benaware comprit que le bandit utilisait un de ses meilleurs arts : la discrétion. La lacheté est aussi l'un de leur principe, mais la, c'est le soldat qui en aurait bien eut besoin. Mais il y a une règle, c'est l'honneur de servir le languedoc. En une fraction de seconde, il repassa dans sa tete les techniques d'entrainements, ainsi que ses frères d'armes. Benaware allait tenter sa vie.
Il ferma les yeux et chuta par terre en mettant la main droite pour se retenir. La bandit, surprise par l'évenement, tira le carreau d'arbalète qui se planta dans le tronc d'arbre. Benaware en profita pour se relever en prenant appuie sur elle et lui lança son point de toute sa force dans la figure, sur la joue droite. Elle recula de plusieur pas.
Le soldat sortit sa fine épée, regardant ensuite sa prochaine victime desarmée, sans aucune arme au corps a corps.
-T'es foutu, cette fois, rends toi, tu m'as enlevé toute galenterie, alors je te ferai pas de cadeau.
Benaware garda sa vision sur la jeune femme, et l'observa. Elle était "jeune", tres belle, avait des yeux terrifiants remplis de haine a premiere vue. La tueuse portait un chapeau avec une voilette. Un tatouage était imprimé sur sa joue, a coté du bleu que lui avait infligé le soldat de l'Ost.
- Jolie tatouage, on te la fait en hommage a quoi?
Benaware la provoquait, pour la faire enrager dans cette situation défavorisante pour elle. Il pointa le bout de son épée..._______________________________________________________________________ BOHORT Bohort contre Quirin
Le soldat cherchait le combat au corps à corps. Il devait penser que c'était là qu'il avait les meilleurs chances, car son assaut ne semblait ni désespéré, ni animé d'une quelconque rage.
Avant qu’il n’arrive sur lui, Bohort siffla le cheval. Les lames se choquèrent dans un bruit métallique. Le soldat avec expérience portait ses coups de loin, évitant de se mettre à portée de la dague. Bohort parait ses attaques, sur la défensive, en essayant au contraire de se rapprocher, et en s’orientant pour voir si sa monture avait récupéré de sa frayeur et répondait à son appel.
La garde de son épée bloqua une puissante attaque et sa dague fendit l’air en direction de la poitrine. Le soldat avait commis une erreur sur cette attaque, mais il la répara dans une réflexe foudroyant en se jetant en avant au lieu de reculer et en le bousculant de son bouclier.
A nouveau ils se faisaient face. Bohort eut un sourire cruel et moqueur.
Et qu’est ce qui te fait penser que c’est moi ou mes compagnons qui perdrons la vie dans ce combat ? _______________________________________________________________________ QUIRIN Quirin VS Bohort Quirin se rendit compte que le gredin avait de bons réflexes, seul le souvenir de la scène macabre qu'ils avaient découvert quelques temps auparavant l'empêchait d'éprouver du respect pour le combattant.
Il se rendit vite compte de son erreur, heureusement son bouclier était là pour parer le coup Ainsi donc tu choisis la voie de la déraison et veux te battre
Il vit son ennemi siffler son cheval qui semblait s'être calmé à moins que tu ne veuilles sauver ta vie que pour t'enfuir
l'interrogation du brigand amena un sourire sur ces lêvres Pourquoi vous ne pouvez que perdre.... Aristote veille sur nous et tu vas en avoir la preuve
Disant cela le soldat recule son bras armé pour lui donner de l'élan, de nouveau son ennemi est prompt à parer le coup, croisant sa dague et son épée,moins efficace toutefois que la précédente sa défense ne fait que dévier le coup qui vient lui entailler l'épaule Ton premier sang s'écoule, il ne tient qu'à toi que ce soit le dernier.
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
Nombre de messages : 716 Localisation : Là où on ne m'attend pas...Ma dague bien cachée... Etat d'esprit : Désabusée... Désirs : Comprendre... Date d'inscription : 20/02/2007
| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Ven 6 Juil - 22:05 | |
| ENDURIL Seamus contre Enduril L’odeur acre et soufrée de la poudre flotte dans les airs et lui pique un peu les narines tandis qu’un silence se fait, uniquement rompu par des hennissements de peur et de douleur.
Rassurée sur Zac, Enduril fait rapidement le tour du rocher, voulant vérifier si l’explosion a fait des victimes, le reste des dégâts, elle verra plus tard.
Pour l’instant, essayer de retrouver l’inconscient responsable de ça.
Lentement, elle commence ses recherches, son regard fouillant chaque zone d’ombre pouvant cacher un homme.
Un bruissement, un glissement, un choc.
A peine a t ‘elle eut le temps d’attraper l’une des courtes lames fixées à l’encolure de sa monture, qu’un corps se presse contre le sien. Un remugle de corps mal lavé, de sueur et de sang agresse son odorat. Une lame est appuyée avec force sur sa gorge tandis que d’un discours hachuré, une voix masculine lui demande de lâcher son épée.
Une seule pensée lui traverse l’esprit. Cet homme pense s’attaquer à un simple voyageur ? Il n’a pas remarqué la tenue d’un sergent de l’Ost, prévôt de surcroît ? Certes, elle avait la fichue manie de ne pas porter son casque en permanence, mais son camail…
La pression néanmoins est forte, mais elle ne prend pas le temps de réfléchir. Instinct, entraînement et réflexes font leur office.
D’un geste brusque, elle penche la tête en avant puis la bascule avec force en arrière, espérant que son adversaire serait assez grand pour se prendre le coup en pleine face.
Dans le même temps, elle plante la lame qu’elle tient de sa main gauche dans ce qu’elle espère être une cuisse avant, d’un serrement de jambe et d’un coup de talon bien appliqué, de donner l’ordre à sa monture d’attaquer par l’avant, la faisant se cabrer tandis qu’elle attrape vivement l’arçon de sa selle pour ne pas démonter, espérant que son assaillant lâche prise et choit rapidement au sol.
Pendant que la pression sur son cou, amplifiée par le mouvement qu’elle a fait pour se libérer de son agresseur se relâche, elle sent les mailles de métal se désincruster de sa peau et avale une grande goulée d’air dans sa gorge douloureuse._______________________________________________________________________ SEAMUS Seamus contre Enduril [i]Tenant tant bien que mal son opposante par la taille de son bras blessé, Seamus resserrait son étreinte avec un rictus douloureux. La lame de sa dague émit un son inhabituel. Au lieu du doux crissement des chairs s’écartant respectueusement au passage de son tranchant, celle-ci exprima un grincement métallique qui fit froncer les yeux du Taciturne. Il avait été aveuglé par sa haine atavique de la soldatesque, ainsi que par la fatigue des derniers événements couplée à la douleur lancinante de son avant bras. Sa lame rencontrait ce qui semblait être le camail réglementaire des officiers de l’Ost. Il accentua cependant la pression non plus pour l’égorger mais au moins pour entraver sa respiration. Le fins anneaux de métal pourraient de toute façon la meurtrir ne fusse que superficiellement.
Il avait à peine terminé de lui murmurer à l’oreille sa dernière menace que la soldate tenta un violent coup de tête arrière en sa direction. Le choc est violent et une douleur à l’épaule fait grimacer le Taciturne. Au même moment le destrier se cabre. Seamus tente de résister à l’appel du sol en s’agrippant de plus belle à la prévote. La pression occasionnée sur sa blessure le rend bien incapable de se maintenir collé aux reins de la belle et le déséquilibre, guidant sa chute sur le côté du cheval. Toujours dans la même foulée, l’ardente cavalière profite pour user de sa main inoccupée pour planter une autre lame dans sa cuisse heureusement protégée par son épais pantalon de cuir. La lame parvient cependant à le percer et à piquer la peau du Taciturne. Cette dernière attaque a raison de sa résistance et il se laisse glisser en bas du cheval tout en pointant sa dague vers le bas, espérant qu’elle lacérerait bien si pas la prévote au moins sa monture. Il roula rapidement au sol en direction du sous bois afin d’éviter de se faire piétiner par la monture déchaînée de son opposante, mais la suture de Xandrya ne supporta pas le choc.
Assis au sol il la toisa quelque peu hébété lorsqu’un hennissement lui fit tourner la tête en direction du sous bois. Son visage fut traversé par une étincelle de vie. Les choses se déroulaient bien…sauf pour lui…
Il se redressa vivement sans se laisser distraire plus longtemps. Le sang s’écoulait à nouveau abondement de son avant bras et il n’avait d’autre issue que de rompre le combat…
Avant d’essayer de rejoindre son cheval, meurtri de partout il eu un regard noir en direction de la prévote.
…On se reverra… …En enfer…
Tant bien que mal il remonta sur le destrier qu’il avait pris soin de dissimuler derrière de hauts buissons et prit la fuite, laissant la gloire à celle qui en avait le plus besoin en espérant que la frustration de cette fin de combat soudaine ne la pousse pas à le poursuivre. Equipés comme ils l’étaient, la soldate et sa monture avaient cependant peu de chance de les gagner à la course. Au loin un éclair rouge innondait l'horizon, le menant à sa suite au point de rendez vous._______________________________________________________________________ ZACCHARIA Aïcha contre Zaccharia Ce ne fut que lorsque, près du rocher, Zacharia fit fait faire une volte à sa monture qu’il aperçut sa proie, affalée dans la boue. Alors qu’il dégaina son épée dans un chuintement métallique, il entendit la voix d’Enduril hurler le nom honni de son inventeur sans conscience. Il vit, les yeux écarquillés d’horreur, son sac passer au dessus de sa tête pour aller heurter le sommet du rocher dans un bruit ne laissant aucun doute sur l’avenir proche. Très proche. Il ferma les yeux, ouvrit sa visière en ouvrant la bouche, enserrant autant qu’il le pouvait les flancs de Monstro, pas vraiment inquiet pour sa monture, mais plutôt sur le fait que ce dernier n’en profite pour le mordre… Ou pire encore…
L’explosion est terrible. Malgré le rocher entre lui et l’explosion, et le fait qu’il ait les paupières baissées, le flash est aveuglant, et imprime des zones blanches sur sa rétine. Le souffle chaud lui coupe le souffle, lui assèche la gorge et lui roussit presque les sourcils et les quelques mèches qui dépassent de son camail. Mais le plus terrible, c’est le bruit. Avec son heaume il ne peut pas atténuer de ses mains – de toute façon gantelées – le bruit de l’explosion qui résonne dans son casque comme s’il se trouvait sous les cloches de la cathédrale de Montpellier le jour de pâques. Zacharia reste un instant étourdit, alors que le haut du rocher, décapité, ne retombe sur eux en pluie sans autres dommages que de les énerver davantage.
Lorsqu’il reprend ses esprits, c’est pour voie la mauresque s’envoler littéralement vers lui. Le choc est d’une rare violence, et son épée choit au pied de Monstro alors qu’eux boulent à plusieurs mètres de là. Elle se relève d’un bond, saisit ses dagues et haletante, tourne autour de lui ) la recherche de son second souffle.
Le capitaine se relève lentement, sans son bouclier qu’il laisse au sol. Retire la boue de ses gants d’acier d’un geste négligeant, les agitant tranquillement, ne la quittant pas des yeux. Leur bande hétéroclite… Le Languedoc ne comprenait que peu de brigands, et la probabilité pour qu’une deuxième bande soit entre Le Puy et Mende était infime. L’alliance d’agilité et de force de son adversaire montrait qu’elle pouvait aisément se faire passer pour une saltimbanque. Sans répondre à sa provocation, il gronda :
« Ton ami le Ténébris, où est-il ? »
Il n’attend pas la réponse et avance vers elle. Ses dagues n’ont que peu de chance de traverser efficacement sa maille renforcée, à moins d’un coup heureux ou d’atteindre un défaut. Il se penche en avant. Fait passer le poids de son corps sur la pointe des pieds, les mains en avant à la façon d’un lutteur. Elle se jette sur lui, feinte au cœur avec sa première main et porte de la seconde une botte farouche, visant l’œil. Il laisse sa lame courbe riper sur la plaque de poitrine et bloque la deuxième en attrapant sa dague à pleine main.. Acier contre acier… Le côté courbé, plus tranchant qu’ailleurs, pénètre le métal mais est arrêté par la fine couche de maille interne.
Les regards se croisent... Il y lit peut-être de la peur... ou de la haien... mais surtout de la rage. Zac crispe les machoires et alors qu’elle ramène son autre lame en position, lui balance un énorme revers de sa main gantée de métal. Elle est projetée en arrière. Il en profite et s’élance vers elle, lance un bras pour lui saisir le poignet, mais elle effecute un genre de cabriole de danseuse et il la rate. D’un cheveu… Lui rendant bien 20 centimètres et 40 kilos, s’il l’attrape, elle est perdue…
« Où est-il ? » _______________________________________________________________________ BOHORT Quirin VS Bohort
Une brûlure vive déchire soudain son épaule, il serre les dents. Est-ce seulement le choc du coup ou la lame a-t-elle traversé l’épais cuir ? Il se dégage d’un bond en arrière. Oui, ce sera le dernier sang qu’il versera ici ! Il a d’autres projets que mourir dans cet endroit.
Avec un cri de rage, il soulève son épée et abat une pluie de coups en direction de la tête de son adversaire, qui se protège de son bouclier pour attendre que l’orage passe, en se réjouissant probablement que son adversaire s’épuise dans ces attaques aussi violentes qu’inutiles. Mais ce faisant, il le perd partiellement de vue. Bohort décroche soudain du coté masqué à la vue du soldat et bondit sur son cheval venu à sa rencontre.
Il s’éloigne de plusieurs mètres de son adversaire avant de faire une volte, regardant autour de lui. Il pousse un juron. Il ne peut pas partir en la laissant en si mauvaise posture….
AICHA! VIENS! _______________________________________________________________________ QUIRINQuirin VS Bohort
Alors que son adversaire fit retentir un cri de rage, ce dernier déchaina toute sa hargne tentant d'atteindre la tête de Quirin, celui se protegea tant bien que mal de son bouclier.
Lorsque la puie de coup cessa, rabaissant son écu il vit que l'homme du clan avait repris sa monture venue à sa rencontre et semblait vouloir s"éloigner.
Se désinteressant de celui qui ne semblait plus être un danger, Quirin chercha son archer des yeux, il vit que celui-ci ne semblait pas en trop mauvaise posture
Plus loin il aperçu son Lieutenant, et surtout sa filleule qui eux semblaient bien plus mal en point, el entendit cette dernière appeler à l'aide , appeler son Amras, il se précipite auprès d'eux_______________________________________________________________________ KIMERA Kimera contre Benaware Kimera jubilait de tenir l’archer de l’Ost dans sa ligne de mire quand, surprise, elle le vit se laisser chuter à terre, les yeux fermés, au lieu de le voir se retourner comme elle s’y attendait. Sursautant devant cet effet de style, la chapeautée crispa son doigt sur la gâchette de l’arbalète et laissa le carreau filer droit dans le tronc d’arbre ?
Merdum…. C’est pas vr…
Pas le temps de terminer sa phrase que déjà il prenait appui sur elle en lui lançant son poing serré en plein visage, la faisant vaciller sous l’impact et reculer de plusieurs mètres, après avoir lâcher son arbalète. Abasourdie par la rapidité d’enchaînement des événements, Kimera regarde son adversaire, en frottant sa joue endolorie, sortir son épée pour la brandir vers elle, et lui parler sur un ton qui était aussi mauvais que son regard était noir.
Un sourire naquit sur son visage teinté d’amusement et de scepticisme, elle… foutue… mais pour qui se prenait-il ? Fixa son regard couleur d’ébène sur le soldat qu’elle détailla des pieds à la tête. [color:c5bd=ORANGE:c5bd] Bien joué… T’es content tu va ramener une prisonnière à tes chefs !!! lui lança t-elle en riant presque portant ses mains sur son chapeau comme pour se rendre à l’ennemi.
Doucement, son sourire narquois toujours croché aux lèvres, elle sortit du turban de son chapeau un éventail replié et le garda ancré dans sa main en se rapprochant du soldat toujours les mains sur son galurin, elle avait envie de s’amuser un peu.
Alors tu m’attaches ? Je n’ai plus que mon arc et le temps que je le sortes tu m’auras tranché la gorge, c’est facile non !!! [/B] Le soldat commis la pire des erreurs qu’il pouvait faire…. Il évoqua sa « marque » sur un ton hautain, méprisant quasi moqueur, en pointant son épée vers elle. Le sourire de la belle se figea pour devenir menaçant, le regard noir tuait le soldat sur place, pris d’une colère et d’une rage sans nom, elle se mit à lui hurler dessus.
JAMAIS TU NE PARLES DE CE TATOUAGE SUR CE TON !!! PERSONNE !!!
Une haine de démente s’était emparée d’elle, telle une furie, elle baissa ses mains faisant claquer son éventail qui s’ouvrit grand dévoilant des lames acérées à la place de chacune des branches qui le constituait. Fonçant sur lui en faisant fit de la lame pointée vers elle, elle brassait l’air avec son arme, donnant un coup de bras dans la main qui tenait l’épée, s’entaillant l’épaule au passage, et d’un geste colérique, elle fit danser l’éventail devant le poitrail de l’archer, lacérant son armure de cuir, en espérant bien lui avoir tailler les chairs aussi…
Continuant tel un loup sur sa proie, Kimera poussa sur cette homme qui avait osé parler de la marque qui la rattacher à son frère mort au Puy, tentant de le faire tomber à terre pour lui trancher la gorge de son arme peu commune.
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Ven 6 Juil - 22:12 | |
| BENAWARE Kimera contre Benaware Benaware regardait la femme s'amuser de ses paroles, elle ne prenait aucune menace au serieux, car elle savait que le soldat ne pensait pas ses mots. Elle s'approchait de plus en plus, toujours le sourir au lèvre, le regardant droit dans les yeux. Elle avait sortis un evantail, aussi simple qu'il puisse etre.
Mais aux paroles du tatouage sur sa joue, elle fut prise d'une rage terrible, qui étonna dailleur fort bien l'archer, elle ouvra son eventail, et se mit a attaquer de tout les cotés. Son arme tres sophistiquée, commença a entailler l'armure en cuir, faisant des marques sur le corps, mais n'entailla pas la chair. Tandis que l'épée de Benaware fut dérivé, la jeune femme qu'il aurait pensé provoquante, gentil et avec un minimum de bon sens, s'etait transformé en une bete sauvage voulant égorgé sa proie.
L'arme a une main du soldat commença a decrire une trajectoire circulaire pour tenter de calmer les coups de son adversaire, mais celle ci esquiva le coup, et frappa Benaware de son evantail sur la côte deja touché. Il eut un mouvement de recul, essayant de battre en retraite, quand une faille s'ouvrit dans la position de l'ennemi. Se plaçant sur le coté droit, legerement penché sur sa cote pour la protéger, il tenta un revers au niveau du cou. Il frappa, et la femme esquiva.
Le combat continuait, Benaware parait les principaux coups, ceux du visage et du cou..._______________________________________________________________________ AICHA Aïcha contre Zacharia « Ton ami le Ténébris, où est-il ? »
Il la prenait pour une délatrice !!!! Mais il n’attend pas la réponse, déjà il s’avance vers elle. Poussant un cri sourd, rageur Aïcha fonce vers lui. Elle feint une attaque au cœur de la main gauche au même moment ou la droite fend l’air, la deuxième dague plonge rapidement vers les yeux, un des rares endroits vulnérables du capitaine. Son élan est brutalement arrêté par la force de sa main qui empoigne sa lame dans un crissement métallique à faire grincer les dents. Folle de rage son regard croise celui du militaire.
Elle n’eu pas le temps de ramener l’autre dague en position d’attaque, ni de voir venir la main gantée. Le choc puissant de l’acier contre sa mâchoire la projeta au sol. Une plainte étouffée le souffle coupé, tout devint noir l’espace de quelques secondes. Le goût âcre de son sang se répandit dans sa bouche. Une douleur fulgurante lui martelait le crâne. Elle porta la main à sa bouche, le sang coulait abondamment de sa lèvre fendue. Elle crut entendre son nom au travers des bourdonnements incessants qui ne la quittaient pas depuis l’explosion, mais elle ne commettrait pas l’imprudence de se détourner de lui.
Elle releva le regard haineux vers lui. La rage décuplée par la douleur. Arcand le dos d’un bond, elle tourna sur elle-même et se relève prestement évitant de justesse qu’il ne l’agrippe par un bras. Il voulait toujours savoir ou il était… il pouvait toujours courir, même si elle savait, jamais elle ne serait délatrice, que ce soit pour un membre de son clan ou d’un autre.
Tu voudrais bien le savoir hein…
Tenant toujours ses deux dague elle lui faisait face épongeant la lèvre douloureuse du revers de la main. Elle esquissa un sourire mesquin.
Plutôt crever …. Disant ses mots elle plongea vers lui, bras devant mettant toute l’énergie qu’il lui restait. Sa jambe s’enroula autour de la sienne quand elle le percuta violemment en pleine poitrine, tout en ramenant sa jambe vers elle. Le capitaine empêtré dans son armure perdit pied et s’effondra faisant voler la boue dans laquelle il s’enfonça de quelque centimètre. La maure reprit pied de justesse manquant d’être entraînée dans sa chute, haletant bruyamment. Elle écrasa une de ses mains de son talon l’enfonçant dans la boue. Elle fixa son regard rageur sur lui… quelques gouttes de sang tombèrent et vinrent s’écraser sur la joue du soldat.
Tout …c e…. que.. Nous.. Demandions… c’est… de… continuer… notre.. Route
_______________________________________________________________________ HALLEY Halley remontait le chemin qu'il suivit auparavant jusqu'a arrivé à la carriole que la meneuse de mission avait abandonné. Il en fit le tour en vitesse, les chevaux étaient calmes et avaient retrouvés leurs forces en bonne partit. Il ouvrit la porte, passa la tête à l'intérieur la pièce ambulante. Dans un coin, il aperçut ce qui lui fut confisqué durant son affrontement au Puy. Comme un flash, ses combats repassèrent en sa tête. Il passa sa main sur son torse, plus par nostalgie que par douleur. Sa confrontation avec la belle rousse, ne l'avait laissée insensible. Le jeune mercenaire, dessina un rictus au coin de sa bouche. Revenant dans le monde réel, il fit un bilan de la situation, de sa situation. Il soupira, pénétra dans le chariot, et reprit ses effets personnels. Il se baissa, ramassa son harnais de cuir et le fixa bien solidement à son torse, sa lame était revenue dans son dos. Puis il reprit ses deux épées courtes et les passa en ceinture. Halley farfouilla dans le bazar qui régnait et décela des dagues de jet de part et d'autres et se les camoufla de part et d'autre de son armure de cuir parsemée de fines plaques d'acier. Un mouvement de la main relança une légère douleur, sûrement un des vestiges laissé par ce taciturne au même titre que ce lancinent hématome ç sa gorge. En se relevant après s'être enfin équipé sa capuche tomba laissant le mercenaire entrevoir son reflet dans une des vitres avoisinantes. En se reconnaissant, son regard se noircit dangereusement, ses sourcils se froncèrent et il lança son point dans son reflet éparpillant la vitre sur le sol boueux.
Il sortit, se dirigea vers les chevaux et les détela en prenant soin d'en garder un pour lui. Les destriers de l'attelage n'était par prévue pour être monté donc il dû se résigner à monter à cru. Il enfourcha sa monture, bien que maladroitement, se positionna où il fallait pour ne pas gêner l'animal et repartit en direction du son des combats. Lui même ne sut pourquoi il prenait cette direction au lieu de fuir, comme à son habitude il suivait son instinct et non sa logique.
_______________________________________________________________________ KIMERA Kimera contre Benaware Le soldat n’est pas blessé, seul son armure de cuir est entaillée, Kimera rage de ne pas voir le sang coulé des lacérations dans la peau de bête, il se défend par des mouvements de son arme empêchant Kim de frapper comme elle le voudrait. La chapeautée esquive assez aisément les attaques de son ennemi arrivant à toucher la blessure faite plus tôt par la pointe de sa flèche.
Un mouvement de recul, Kim s’enhardit et attaque en oubliant certaines bases de combat offrant une ouverture au soldat qui essaie de la frapper au cou, entendant la lame sifflée, Kimera a juste le temps de baisser la tête évitant de justesse l’épée qui allait lui trancher la gorge. Plus énervée que jamais, la jeune femme avance fermement en direction de son adversaire en attaquant le haut du corps qui sont les parties les moins protégées de l’archer qui évite à merveille l’afflux de passages perfides de l’éventail aux lames acérées.
Devenue aveugle à ce qui l’entoure, assourdie par la colère et l’envie de tuer cet homme qui avait eu le malheur de lui faire penser à Barabas et qui paierait pour celui qui l’avait tuer, Kimera continue d’avancer sur le sol glissant… trop glissant… Son pied ripe sur une plaque de terre devenue boueuse et mobile, la faisant chuter lourdement… Sa tête heurtant un petit rocher perdu au milieu de la foret.
Assommée, Kimera gît, là, inconsciente, son chapeau tombé à cote dévoilant ses traits fins et sa marque qui se macule petit à petit du sang qui s’écoule d’une entaille au front, le choc violent sur le silex ayant légèrement coupé la peau de son crâne. Malgré la superficialité de cette blessure, le sang coule abondamment… Un souffle continue de s’échapper de ses lèvres, presque imperceptible…
_______________________________________________________________________ BOHORT Il secoue la tête et soupire… Aïcha n’abandonnera pas ce combat. Il fait à nouveau demi-tour et galope vers les bois pour se mettre à couvert. La route vers Alais n’est pas sûre.
C’est alors qu’il arrive face à l’archer. Surpris par son attitude, il s’arrête devant lui. Celui-ci à reculé pour éviter le cheval. Un regard circulaire permet à Bohort de voir Kimera à terre près de l’endroit où il est passé, un peu en retrait.
Il pose le pied à terre en fixant l’homme qui semble plus avoir envie de retourner au combat que de perdre son temps avec un fuyard et une ennemie hors de combat. Il lui dit calmement.
Je l’emmène avec moi. Nous partons….
Il Soulève Kimera sans le quitter des yeux et réussit à la poser assise en amazone sur la selle, puis à se hisser derrière elle en la maintenant. Heureusement que ce cheval n’est pas trop grand et qu’elle est légère… il doute que l’homme aurait poussé la bonne volonté jusqu’à l’aider.
Après un dernier regard vers lui, il met le cheval au trot d’un pincement du talon et ils disparaissent dans les bois.
_______________________________________________________________________ BENAWARE Kimera contre Benaware Le combat continuait, les deux se fatiguaient rapidement. Mais la femme tatouée avait l'air ivre,elle se battait n'importe comment à en perdre raison. La bandit reculait pas en pas aux attaques de Benaware, et elle se retrouva à un moment sous un tas de feuille mouillé. Elle glissa et perdit connaissance....son chapeau et sa voilette enlevés.
Benaware mit un genoux a terre, regardant son ennemi vaincu ilégalement, prit son arc alongé sur le coté, le remit sur son épaule, et allongea sa fine lame sur le cou de la femme inconsciente. Il hésita de l'égorger, la regardant fixement, quand un homme en cheval vint. Benaware recula et baissa son arc en voyant le cavalier s'arreter. Le bandit ne demanda pas permission de la prendre et la scella difficilement. Le jeune archer prit parole avant qu'ils ne partent.
-Si elle se reveille un jour, dit lui de la part de son ennemi que notre combat n'est pas terminé.
Benaware regarda une derniere fois son ennemi, reperer son visage pour la prochaine fois. Le cheval partit a vive allure...
Benaware remit son arme dans son fourreau, son arc baissé et entama en trotinant le chemin pour revenir pres des combats...
_______________________________________________________________________ HALLEY Le jeune mercenaire était agrippé à son destrier,la pluie redait la monture bien moin praticable qu'elle ne l'était déjà pour lui. Le mercenaire était lançé à vive allure, les sabots du cheval éclaboussant tout sur leurs passage. Au loin le cavalier pouvait désormais distinguer deu silhouette, un affrontement. A son approche, il pouvait maintenant voir ce qui se passait. Non sans un sourire, il constata une de ses ravisseurs en délicate posture. Tout en continuant d'avancer la situation l'amusait, losrqu'il vit que sa ravisseuse prenait du recul vis à vis de son opposant,il talonna un coup sa monture, se placea légèrement en retrait sur le dos de l'animal, il cria en arrivant à toute vitesse.
Hé! toi! T'as main!!!
La maure n'étant certainement pas bête, entrevit le cavalier et afficha un regarde des plus perplexe en reconnaissant l'homme. Magrés une certaine hésitation elle tendit la main ne sachant ce que le destin lui réservait. Halley reserra l'étreinte de ses jambes sur l'animal, se placea à la droite de la jeune femme, empoigna sa main droite de la sienne et la hissa de toutes ses forces, réveillant la douleur que le taciturne lui avait infligé à la main ainsi que celle de son précédent combat au torse. Grimaçant, il poursuit son action hissant la belle maure à son bord et la placeant sur le ventre en croupe de l'animal, éxhibant ainsi les fessiers bien rebondit de la damoiselle. Non sans jeter de nombreux coup d'oeil désireux aux atouts exhibées de la jeune femme, ronchonnant de sa posture. Le couple prit la poudre d'escampette loin du champs de bataille afin de poursuivre... .
A peine hors de portée des combats, toujours lorgnant sur le postérieur, si "appréciable" de la maure. Le mercenaire, écoutant un tant soi peu plus ses hormones que ce qui pourrait être la réalité de la situation, dans un moment d'inadvertance (on comprend pourquoi) il heurte une branche qui l'expulse au sol.
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Ven 6 Juil - 22:16 | |
| AICHA Aïcha contre Zaccharia Aïcha reculait toujours, cherchant une issue. Elle ne détachait pas son regard du capitaine qui s’avançait vers elle, menaçant. Son cœur battant la chamade, s’entend la peur qui la gagnait pour la première fois depuis le début des combats. La pluie battante achevait de rincer la boue qui l’avait maculé. Une voie lui parvint… perçant le bruit du vent et du tonnerre qui grondait. Elle risqua un rapide coup d’œil du côté du cavalier qui approchait. La stupéfaction du certainement se lire dans son regard. Pourquoi ne s’était-il pas sauvé au lieu de revenir vers elle ? Leur prisonnier fonçait vers elle, lui tendant la main. L’hésitation fut très brève, entre une garnison de l’Ost et un mercenaire, elle ne se posa pas trop de question. Elle remit rapidement ses dagues dans leur fourreau et tendit la main qu’il agrippa. Elle eut presque l’impression de s’envoler quand il la chargea comme un vulgaire sac de blé sur sa monture qui continua sa course.
Aïcha se retrouva coincé entre lui et l’encolure du cheval. Impossible pour elle de se redressé, position très inconfortable et embarrassante. Elle bouillait de rage, l’étalon continua sa route sans même ralentir. Elle lui hurlait de l’aider a se redresser, quand un elle l’entendit un grand bruit suivit d’un cri étouffé… il n’était plus là. Elle se retrouva seule sur le dos de l’animal, manquant de tomber elle-même. Elle s’agrippa à la crinière et d’un mouvement de hanche passa la jambe sur le dos et réussie à se redresser freinant la cavalcade. Elle résista à l’envie d’abandonner là, au milieu de nulle part et rebroussa chemin revenant sur ses pas.
Elle stoppa devant Halley arborant un sourire en coin et s’adressa à lui d’un ton sarcastique, rancunière de la posture dans laquelle il l’avait maintenue.
Alors le débutant… on ne sait pas monter à cheval… C’est ce qui arrive quand on veut jouer au plus fin … crétin… Elle s’avança le plus possible sur l’encolure du cheval et désigna la croupe du regard. Aller grouille.. Faut rejoindre les autres.
Une fois qu’il fut monté, elle réprima un fou rire le revoyant le cul dans la bout. Et se tourna vers lui, le toisant pas dessus son épaule, lui jetant un regard défiant ... Pas de bêtise hein….
L’après-midi tirait à sa fin quand le couple disparut dans la forêt prenant la direction du point de ralliement. Une sourde inquiétude avait pris naissance dans l’esprit de la jeune maure. Avait-il perdu plusieurs membres encore? Cette mission qui au départ semblait si aisée avait pris une tournure tout autre. Elle jeta un dernier regard en direction des lieux ou venait d’avoir lieu les affrontement ils étaient hors de vue, mais elle savait qu’il était là. Un jour…
Au fait.. .. Moi c’est Aïcha …Merci de m’avoir tirée de là… je m’en souviendrai.
_______________________________________________________________________ ENDURIL Seamus contre Enduril Son cheval se cabre immédiatement, parfaitement rôdé au combat. Enduril n’a même pas le temps de bénir la lubie qui a fait qu’un homme un jour lui vende ce destrier à si bas prix parce qu’il ne pouvait porter de lourdes charges trop longtemps et pour d’autres raisons aussi…
Déjà, elle sent son agresseur glisser, déchargeant de sa présence monture et cavalière.
Une sensation de brûlure sur la jambe et tout à coup, l’enfer se déchaîne. Le cheval devient fou, se cabre, rue avant d’essayer de se rouler au sol pour se débarrasser de son ultime fardeau. Impossible de la maîtriser, pas le choix, il lui faut sauter au sol pour ne pas se faire écraser sous la masse de l’animal. Ne pas réfléchir, tirer sur les rennes de toutes ses forces et dès qu’il se redresse, accompagner son mouvement pour se jucher à nouveau sur son dos, se pencher pour étreindre sa crinière et prononcer les mots qui généralement l’apaisent. Après quelques minutes qui lui paraissent une éternité, il finit par se calmer, l’écume à la bouche, le regard encore un peu fou.
En regard autour d’elle, l’homme a disparu. A peine a t’elle pu voir une longue silhouette revêtue de cuir, un bandeau retenant une longue chevelure brune et un bref instant, un regard vert, brûlant du feu de la haine.
Autour d’elle, les cris se font moins fort, se raréfient. Il semblerait que leurs assaillants aient pratiquement tous réussis à s’échapper, voire pour certains mourir… Ils vont vers le sud… Elle y repensera plus tard. Sans tenir compte de sa jambe toujours douloureuse, elle se laisse choir au sol pour examiner sa monture. Une belle estafilade coure sur son flanc, ce qui a provoqué sa réaction pour la moins violente. Il va lui falloir la soigner, mais ça ne l’empêchera pas d’être monté.
Devant elle, Monstro, le destrier de guerre de son époux. Il semblerait que Zac ait démonté. Elle le cherche des yeux un court instant pour le voir, un peu plus loin, aux prises avec l’insolente drôlesse qui les a arrêtés. Intéressée, elle s’arrête un instant pour regarder la scène. A la voix se son mari et à son attitude, elle sent la rage qui l’habite contre le Ténébris qu’ils traquent. La rage… Puissant stimulant, mais parfois danger mortel… Et là, elle sent son cœur manquer un battement voyant la jeune femme le déséquilibrer en se jetant sur lui dagues en avant. Lorsqu’il se redresse, il a le visage en sang. Au hurlement de rage qu’il pousse, elle répond par un sourire. Pas de doute, le combat sera bientôt terminé et son travail à elle pourra commencer.
Elle ouvre une des fontes de son cheval et en tire un paquet, vérifiant autour d’elle qu’aucun autre assaillant est en vue.
Un cavalier qui passe et qui emporte l’adversaire de Zacharia… Impossible de les suivre, elle doit prendre soin de son cheval, ne pas aggraver sa blessure par une attitude inconséquente.
Elle baisse les yeux sur sa jambe, écarte doucement le tissu. Une belle estafilade, il lui faudra sans doute recoudre. Mais pour l’instant, il va lui falloir mettre ses talents de couturière à l’action sur le visage de son aimé. Pas sûr qu’il se laissera faire de gaité de cœur, mais au pire, elle le droguera.
Un petit effort, sourire, ne rien laisser paraître. Ni douleur, ni angoisse, ni colère, rien…
Simplement, aller le retrouver…
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
Nombre de messages : 716 Localisation : Là où on ne m'attend pas...Ma dague bien cachée... Etat d'esprit : Désabusée... Désirs : Comprendre... Date d'inscription : 20/02/2007
| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Ven 6 Juil - 22:26 | |
| "LA MAIN NOIRE DIRECTION MENDE"(ACTION PARALLELLE AUX AUTRES SITES DE COMBATS) XANDRYALe Clan était reparti sur la route de Mende, Aïcha semblait tendue au possible, cela se comprennait à bien des égards, entre les responsabilités de cette mission et l'altercation avec Kimera qui venait de perdre son frère s'en prenant à la maure faute de mieux. Les cavaliers avançaient bon train, freinés de temps à autre par une cariole recalcitrante que la jeune chef de mission décida judicieusement de laisser sur place, pour cesser de ralentir la progression, d'autant qu'il y avait de fortes chances qu'ils rencontrent de la resistance au retour vu l'état dans lequel ils avaient laissés la cité de Puy.
Chevauchant au côté de ses comparses, Xandrya fut fort étonnée, d'entendre du mouvement vers l'avant du convoi, elle s'attendait plus à recevoir de la visite en provenance du Puy que de Mende, mais les deux solutions étaient possibles. Peut-être les corps des saltimbanques avaient-ils été retrouvés, ce qui en soi était fort peu probable vu le soin que ses compagnons de galère avaient mis à dissimuler les corps sous la pierre.
Sous une impulsion de talons, Xandrya s'approcha d'Aïcha pour se mettre au point quand à une éventuelle attaque, après discussion, le groupement fut legerement scindé pour pouvoir parer à une éventuelle attaque. Xandrya et quelques uns de ses frères combattants se mirent à couvert dans les sous bois en continuant de suivre le reste de la troupe cachés dans les fourets à petite distance, en arrière, du groupe resté visible.
Ne sachant combien arrivaient sur eux, mieux valait être prudent...
_______________________________________________________________________ ANYA Apprivoisant peu à peu sa nouvelle monture récupérée au Puy, Anya avait chevauchée avec le reste du clan en direction de Mende sur le chemin du retour.
Toutes les tensions accumulées depuis le début de leur mission semblaient ressortir peu à peu mais ils restaient unis et prêts à faire face à tout ceux qui décideraient de leur compliquer la tâche.
Elle suivit Xandrya, prenant soin de rester cachée dans les épais fourrés qui bordaient le chemin. Il lui avait semblé entendre des bruits de chevauchée vers l’avant du convoi.
Tiens nous sommes attendu on dirait !
Elle vérifia juste au cas où, l’opérationnalité de l’attirail qu’elle avait récupéré après son combat au Puy. Rassurée, elle ralentit le pas, s’arrentant presque et observa attentivement les mouvements autour d’elle. Si on avait l’intention de venir lui chercher quelques poux dans la tête, elle aurait vite fait de le faire regretter à ses assaillants.
_______________________________________________________________________ ESCAFLOW Dans les fourés Esca s’était enfoncé dans les fourrées sur le côté de la route laissant ses compagnons sur celle-ci. Les ordres étaient clairs, Amras, Fauste et lui devait se mettre à couvert pour parer aux attaques éventuelles, et Esca avait bien l’intention de donner le change…
Il regarda œil et hocha la tête, ses yeux verts dans les bleus de son loup…. Compréhension parfaite, souvenirs des entraînements, des batailles passées, des erreurs faites, points ne seront commises cette fois, certitude de ce fait.
Il était contre un arbre, enveloppé totalement par sa cape, écoutant, aux aguets, fermant les yeux, le loup en lui prenait le dessus, certainement ses années à vivre avec Œil. Il sentait Amras et Fauste progresser un peu plus près du sentier que lui. Œil partait s’éloignant du chemin, c’était parfais, il observerait attendant le bon moment, le signal pour faire ce qu’il avait à faire, une belle surprise de ce qu’il allait ramener. Oui pas même ses propres compagnons ne savaient ce qui se préparait, une chose pourtant qu’il travaillait depuis longtemps mais n’avait pas eut l’occasion de tester et il n’espérait pas avoir à le faire, mais les choses risquant d’être …….
C’était parti…. Adosser à son arbre enveloppé de la tête au pied, accroupi, il écoutait et sentait plus au devant de lui le mouvement….. Hostile oui il en était maintenant certain, encore un peu et il y serait, le sang serait versé, nul doute. A cette pensée, il retroussa les babines sous son capuchon.
Tête de démence, frisson d’envie puis vide totale, lucidité habituelle, épées n’attendant qu’à trancher les muscles, briser les os. Il sera son bouclier sentant ses bords aiguisés contre sa cape.
Il ouvrit les yeux, silencieux comme la mort et jeta un coup d’œil sur sa gauche pour voir où en était Fauste et Amras…..
_______________________________________________________________________ AMRAS Amras affichait un sourire froid et calculateur, un regard à Esca suffit à comprendre, leur embuscade était quasiment tendue. Encore quelques mètres à parcourir sous la pluie battante, et ils pourraient s'occuper des brigands.
Il se tourna du côté de Fauste, lui adressa un sourire plus chaleureux en même temps qu'un clin d'oeil. Un vent violent secoua les branches des arbres, arrosant d'autant plus les soldats cachés là.
Amras se plaqua à un arbre, les quelques mètres qui restaient pour lui permettre de lâcher ses flèches de la manière la plus précise possible était aussi les plus risqués. Les arbres étaient de plus en plus éparses de ce côté là. Et d'où il se trouvait, il pouvait apercevoir la longue chevelure vive, d'une femme rousse, qui le verrait à coup sur si elle prenait la peine de lever la tête au moment ou il s'approcherait.
Le groupe était immobile dans l'immédiat, Amras réfléchit rapidement, envisageant toute les possibilités qui s'offraient à eux. Il leva le regard, captant celui d'Esca et Fauste. Il leur présenta la paume de sa main, en signe d'arrêt, désigna le groupe de brigand, deux mouvements secs en direction de Mende, montra Fauste, Esca et lui même et fit un mouvement brusque vers le groupe d'ennemis.
On attend qu'ils se déplacent, d'une manière ou d'une autre, à ce moment là on leur tombe dessus.
_______________________________________________________________________ XANDRYAXandrya, s'étant enfoncée un peu plus dans les bois, avait attaché son étalon à un arbre pour se mouvoir avec plus de discrétion. Accompagnée de trois autres membres du clan, elle guettait l'arrivée des cavaliers en provenance de Mende calée contre un pin majestueux qui la dissimulait totalement des regards du chemin.
Aïcha s'avançait davantage sur la route avec le reste du groupe quand elle stoppa sa progression en s'adressant à quelqu'un que la flamboyante ne pouvait distinguer de là où elle se trouvait. Flynn d'un côté, Mort de l'autre, ils observaient tout trois la scène quand Hécate recu une flèche en pleine poitrine... Xandrya s'accroupie immédiatement comprenant de suite qu'ils avaient à faire à des soldats, probablement l'OST.
Des archers... Aie... Pas bon ça... murmura t-elle en essayant de ne pas penser à Hécate à terre.
Un regard vers ses compagnons, Anschaire était un peu plus loin mais visible, peu mais visible tout de même. Les sens aux aguets, elle entendit un bruissement de feuilles plus profond dans la foret, sans doute un animal, mais vu les aboiements qu'ils avaient entendus plus tôt il valait mieux être sur ses gardes.
Petit signe de main de la rousse vers ses accolytes pour qu'ils se dispersent un peu plus tandis qu'elle restait dissimulée par son arbre. Sensation étrange d'être observée... Xandrya saisit une dague à sa botte l'autre à son brassard sur l'avant bras, les deux mains armées, elle pivote légèrement observant les fourrés environnants, quelqu'un s'y dissimule...
Derrière un arbre, une silhouette, un homme probablement, Xandrya ne sait trop comment agir, combien sont-ils elle l'ignore... Soldat isolé ou petit groupe préparé... Instinct de survie ou provocation, la rousse se relève pour capter le regard de l'homme caché par l'arbre.
_______________________________________________________________________ MORTANGELINESS Ils se retrouvaient sur le chemin du retour, à nouveau dans la forêt. Xandrya descendit la première de son canasson, ainsi que les autres, de façon à ne pas être des cibles repérables. Mort guida puis attacha son cheval à un arbre proche, aux branches entrelacées. Elle guetta le moindre signe d'une présence éventuelle d' adversaires...
La cheftaine, fît signe à Hécate d'avancer, la première flèche lui fut destinée. Sous les signes de Xandrya, ils se dispersèrent et se cachèrent chacun derrière un arbre, permettant d'observer sans être vu. Un bruissement de feuilles se fît entendre, Xandrya vit en premier, une personne cachée derrière un arbre. Celle ci se redressa, cherchant à savoir qui se cachait....
Elle serra si fort sa dague, que les jointures de ses droits devinrent blanches. Mortangeliness chassa courageusement la peur qui l’envahissait et tenta du mieux qu’elle pouvait de se concentrer uniquement sur le combat qu’ elle allait devoir mener.
_______________________________________________________________________ ANSCHAIRE Séparés, elle est loin de moi, ma Sombre Fleur, où est tu en ce moment ? Même pas un baiser avant de se quitter, juste un regard qui en dit long sur le déchirement qui nous a envahi. Voici un des rares moments ou ne pouvoir parler me sied, je n'ai pas envie de communiquer avec qui que ce soit. Aristote protège la pour moi, je t'en conjure, tu t'es bien acharné sur moi, tu peux faire ça pour elle. Ne me l'enlève pas... Cette pluie ? C'est ta réponse ? Quelle tête je vais avoir, maintenant ?
Protégé par mon silence, je chemine au milieu du clan, mais ils ne seraient pas là, cela ne serait pas très différend. Je suis spectateur muet des heurts entre certains membres, des rancoeurs, de la haine parfois. A l'approche de Mende, la tension monte. Les bruits, même couverts par la pluie et nos propres chevaux, ne laissent planer aucun doute. Un comité de réception semble nous attendre...
Je vérifie mon fleuret et ma dague, d'une main, je repousse mes cheveux dégoulinants en arrière. Comme les autres, je descend de ma monture, et m'enfonçant sous le couverts des bois, j'avance en prenant les arbres comme protection. Je m'éloigne des autres, pas la peine de s'agglutiner les uns sur les autres.
Un sifflement suit les paroles d'Aicha, un cri et Hecate agonise au sol. IL veut que nous donnions nos vies, il semble que ce soit le cas. Je détourne mon regard, croisant celui de Xandria. Surtout ne pas penser à la mort, ou seulement à celle que l'on va donner.
Je dégaine fleuret et dague, le sang appelle le sang, et reprend mes bonds. Je passe d'arbre en arbre, silencieusement, faire le tour, surprendre l'ennemi. Un mouvement à droite, quelqu'un aurait eu la même idée...?
_______________________________________________________________________ GEORGIO Au petit jour, tout était allé très vite. La pluie incessante avait tamisé les bruits et les ordres, certes. Mais Georgio n'avait que faire des ordres. Elle avait donc suivi de loin la troupe de Zacharia, talonnant sa monture pour ne pas les perdre de vue, mais sans toutefois les coller aux sabots. Pas son genre. Elle désirait toujours être indépendante. Quoiqu'il arrive.
Lorsqu'elle les avait vu mettre pied à terre, Georgio avait tiqué. Trop vite. Trop tôt. Ils mettaient toutes leurs oeufs dans le même panier. Calmement, elle contourna donc à distance respectable une partie du bois. Puis se laisse glisser depuis sa selle murmurant à son étalon:
Aspettate là
Elle retira sa cape d'un mouvement ample et la déposa sur le dos de sa monture. Il ne fallait pas qu'il prenne froid surtout. Si jamais elle devait repartir plus vite que prévu...
Une main ferme mais sans tension sur le pommeau de son épée qu'elle a détaché de dessous la selle. Georgio entreprend d'avancer courbée, les genoux légèrement pliés pour se cacher au mieux des regards indiscrets. Au loin, elle entend quelques éclats de voix, un sifflement aussi. Elle accélère le pas, évitant les jeunes feuillages qui viendraient lui fouetter le visage et brouiller sa vue. Utiliser le terrain pour mieux se faufiler jusqu'à...
Georgio ne l'a pas entendu.
Ce n'est pas un soldat. C'est donc un ennemi...
Sans attendre, Georgio s'élance, l'épée en garde basse, prête à assêner un coup par en dessous si l'adversaire est assez surpris, ou à parer une riposte si celle-ci doit arriver.
_______________________________________________________________________ FAUSTE Mortangeliness contre Fauste Fauste ayant reçu les ordres du capitaine, descendit de son cheval et le l'accorcha près de ceux de autres soldats ... Elle s'était accroupie de sorte qu'on ne puisse la repérée ... Elle trouva un arbre et décidea de se mettre derrière ... écoutant le moindre bruit scrutant l'endroit d'où provenait les voies ...
Elle sorti son arc et encocha une flêche, elle était prête à décocher à tout moments ... Elle regarda autour d'elle, Esca et Amras n'étaient pas loin... Le lieutenant avait lui aussi sorti son arc et Esca tenait son épée d'une main et son bouclier de l'autre ...
Soudain elle entendi, un peu plus loin en face d'elle, une voie ... Elle poussa une branche pour voir de qui cett voie venait ... Une femme qui serrait dans ses poings une dague .... Elle compris tout de suite ... Cett femme allait être sa première victime ... Fauste décocha sa flêche , celle-ci s'emboita dans l'arbre juste à côté de la jeune femme...
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Jeu 9 Aoû - 18:31 | |
| AMRAS Xandrya contre Amras Amras observait toujours le groupe de brigands, un brusque mouvement de la part de la silhouette en face de lui, lui fit comprendre que les hostilités étaient ouvertes pour de bon.
Il croisa le regard de défit de la femme rousse, très belle au demeurant. Le sourire du lieutenant s'élargit un peu, bien qu’hésitant légèrement sur ce qu’il allait faire pour se débarrasser de la belle… Le jeune lieutenant se redressa lui aussi, maintenant qu'il se savait repéré, il était inutile de continuer à rester sous la pluie à frissonner pour rien, autant faire ce qui devait être fait le plus rapidement possible.
Il poussa un soupir en jetant un regard froid à la femme à quelques mètres de lui. Répugnant à se séparer de son arc, il tendit la corde, et lâcha un trait précis, sifflant dans le vent. Il savait que même si la flèche atteignait sa cible elle ne serait pas mortelle, les branches basses, la pluie et le vent ralentiraient considérablement sa puissance...
_______________________________________________________________________ XANDRYA Xandrya contre Amras L'homme tapis derrière l'arbre se decida enfin à sortir de sa cachette après avoir aperçu la flamboyante, il la jaugea un court instant, puis arma son arc. La pluie dégoulinait sur la chevelure de Xandrya, sans sourciller devant cet archer qui, vraisemblablement la visait, elle passa la main dans sa tignasse pour la serrer et en extraire l'eau qui s'y etait gorgée, sans pour autant quitter le beau brun de son regard marin.
Le bruit de la corde tendue qui se relache subitement, le sifflement d'une flèche qui se rapproche d'elle, un léger mouvement de pas sur le côté en continuant d'essorer les cheveux et la flèche se fiche dans l'arbre qui lui servait de refuge peu avant. Xandrya l'observe, souriant à pleines dents d'un rictus moqueur et malsain, regard par dessous, l'impetueuse rouquine relance ses cheveux sur son dos avant de s'adresser au soldat.
Et bah.... Pas bien doué mon mignon !!! L'arc ???? L'arme des lâches !!!! T'as pas plus.... viril !!!
La jolie rousse toise le jeune soldat en faisant tournoyer ses dagues dans ses mains, elle avance doucement, imperceptiblement... Soudainement, Xandrya s'accroupit, posant un genou au sol, et lance une dague en direction du soldat avec puissance, qui contrairement aux fleches ne devie pas sous une goutelette de pluie et ne freine que peu... Si elle touche, ça va faire mal...
_______________________________________________________________________ AMRAS Xandrya contre Amras Amras vit la dague arrivait à bonne vitesse, la distance entre les deux combattants s'était considérablement réduite, et la dague fendit les airs en sifflant plus sourdement que ne le ferai une flèche. Il eu le temps de faire un petite bond de côté, penchant son torse juste à temps pour voir la dague lui filer sous le nez et s'enfoncer un peu plus loin dans un arbre faisant éclater l'écorce de ce dernier.
Il se redressa, lâcha son arc et dégaina sa dague avec souplesse. Il toisa la jeune brigande, et eu un sourire en coin.
"Tu lances comme un homme... dommage je te voyais plus sensuelle..."
Son sourire s'élargit quelques peu et l'excitation du corps à corps maintenant inévitable le fit trembler quelques peu d'impatience. Il leva sa dague à hauteur de poitrine, attendant une réaction quelconque de la belle rousse. _______________________________________________________________________ MORTANGELINESS Mortangeliness contre Fauste Sous le cri d' Hécate, au moment ou la flêche se plante dans sa poitrine, la jeune soldate perdit son contrôle et lança une flêche dans la direction de Mortangeliness. Celle ci se planta à quelques centimètres à peine de l’endroit où elle se trouvait. Elle repéra non loin l' archer.
Après avoir ouvert son angle de tir, elle réagit sur l’instant, dégaina sa dague de lancer et la projetta en direction de l' arbre où la rouquine se trouvait. La dague se ficha dans dans un arbre, à quelques centimètres du joli visage de la soldate. Le fil de la lame avait laissé une légère entaille sur sa joue d'où perlait maintenant une larme de sang...
Leurs regards se croisèrent, intenses et enflammés .Dans les prunelles de ces dernières, brillaient le feu du combat. Elle ressentit la sensation agréable de la montée d'adrénaline due au début d'un combat acharné dans lequel aucune des parties ne demandera grâce avant d'être achevée. A cette idée un petit sourire cruel se dessina sur ses lèvres...
_______________________________________________________________________ FAUSTE Mortangeliness contre Fauste Fauste aperçcu son adversaire lancé sa dague ... elle n'eut pas assez de temps pour l'éviter ... La lame fit une entaille sur la joue de la soldate ....
Furieuse, elle se découvri et fit face a la jeune femme, lui lança un regard noir puis sourit ... En un ouvement, elle décocha une autre flêche... La flêche foncait droit vers sa cible ...
Avec la pluie, le vent, les branches le projectile perdit de sa rapidité... Son adversaire n'eu aucun soucis pour l'éviter ...
Fauste la regarda éviter sa flêche puis la regarder ... Elle repris une autre flêche, visa et tira, avec une force qu'elle n'aurait jamais cru avoir auparavant... Cette fois-ci, je ne la raterer pas se dit-elle .... La jeune femme n'eut pas le temsp de se bouger suffisament pour la deuxième flêche .. celle-ci lui laissa une entaille sur le bras ..
_______________________________________________________________________ MORTANGELINESS Mortangeliness contre Fauste Mortangeliness pressa sa main droite sur sa blessure, essayant d’interrompre le saignement. De se savoir blessée au début du combat, la mit hors d'elle. Mort sentait sa colère bouillir en elle, et le fait de la canaliser ainsi augmentait de façon spectaculaire sa hargne au combat ainsi que sa rage de vaincre qu'elle portait toujours.
Sans plus attendre, Mortangeliness se précipita vers son ennemi tentant, en zigzaguant, entre les arbres pour échapper aux flêches de la rouquine et de s’ouvrir un passage le plus vite possible de façon à ne pas être une proie facile . Son cœur commençait à cogner.
Mort fit face à elle ne lui laissant aucun répit et lui donna un coup de pied dans sa main droite pour lui faire lâcher son arme. Le visage haineux, elle balaya la soldate d’un revers. Cette dernière se mit à tituber, tout en essayant de rester debout. Elle approcha son visage à celui de sa proie, jusqu'à sentir son souffle contre son visage. Sa voix était froide, sans aucune intonation, elle murmura :
Je suis à bout de nerfs et j'ai quelques tendances paranoïaques !!!!
_______________________________________________________________________ FLYN DARK Flyn Dark contre Escaflown et son loup Flyn avait remonté le groupe. Il descendit de sa monture alors qu’il s’approchait de la tête et alla rejoindre Xandrya et Mortangelines a couvert. Le muet se faisait discret comme à son habitude, discret mais efficace. Flyn en fit de même, rien ne servait de rester regroupé, ça ne les rendait que plus visible donc pus vulnérable. Surtout face à des archers. Son épée était accrochée à son dos, le miséricorde en main il avança dans le sous-bois, prudemment.
Il y avait de l’agitation vers l’avant, il ne peut voir ce qui se passait, mais à l’expression de Mortangelinesse, il comprit, qu’un des leurs était tombé. Prudemment il s’avança se rapprochant de plus en plus contournant la tête du convoie.
Il avançait toujours scrutant les buissons, restant à proximité du reste du groupe. ici et les affrontements éclatèrent, un rictus éclaira le visage de l’homme. Enfin un peu d’action… Leurs ennemies du Puy s’étaient avérées trop tendres et n’avaient pas satisfait l’instinct de combattant et la soif de sang qui l’habitait. L’animal qui sommeillait en lui s’éveilla au bruit des combats. Tous ses sens étaient en alerte, surchargée d’adrénaline. Prêt a en découdre.
Il tourna vivement la tête entendant un craquement et se retrouvant nez à nez avec un loup blanc !! Beaucoup plus chétif que ceux qu’il avait maintenant l’habitude de voir au manoir, mais magnifique. Un loup inconscient certainement pour venir traîner en plein milieu d’un champ de bataille…. À moins qu’il ne soit pas seul… un sourire carnassier se figea sur ses trait, alors que Flyn s’immobilisait, tenant sa lame double devant lui...
Petit petit petit.. allé sort de ta cachette. _______________________________________________________________________ XANDRYA Xandrya contre Amras Xandrya avait manqué sa cible, rare mais ça arrivait tout et autant que la cible soit assez agile et habile pour l'éviter ce qui semblait être le cas. Le p'tit brun lui plaisait de plus en plus, finalement, il jetait son arc, beau joueur, ça promettait d'être interessant... Un sourire amusé et mutin naquit sur ses lèvres alors qu'elle dirigeait ses yeux sur le soldat lorsqu'il remit en doute sa sensualité dut à la force de son attaque.
Hum... Belle esquive.... Pour pouvoir juger de ma sensualité approche toi mon mignon, on en reparles après !!!
Sourcil haussé, clin d'oeil envoyé, dagues prises en main avec non chalance et fermeté, la flamboyante attend, apercevant une lame à hauteur de poitrail de son adversaire.
Ah !!!! On va enfin pouvoir commencer à vraiment s'amuser !!! Rien de tel qu'un corps à corps... Et quand l'adversaire à un physique agréable, c'est encore mieux !!!
Commençant doucement à avancer après s'etre rapidement redresser, elle commence à avancer, ses lames tournant de nouveau dans ses mains en arborant un sourire des plus satisfaits de la tournure que prennait le combat.
Alors.... On joue ? Ou pas ?_______________________________________________________________________ ESCAFLOW Flyn Dark contre Escaflown Œil c’était enfoncé dans les bois plus profond. Esca adossé toujours à son arbre écoutait aux aguets alors qu’il était accroupi. Un mouvement, du bruit, un trait… Les combats commençaient dans les bois, il ne voyait pas la route, ni Fauste et Amras, il était bien plus loin de la route. Cependant il entendait que ses deux amis avaient engagé le combat….
Un mouvement devant, quelqu’un approche, un regard sur la droite lui permet de voire Œil entre deux arbres au loin. Pourquoi n’était-il pas encore partit ?? A peine c’était-il posé cette question qu’il sut la réponse, quelqu’un d’hostile approchait. Œil repartit, disparaissant de sa vue.
Merci se dit-il pour lui
Une voie, celle d’un homme s’éleva un peu plus au loin sur la droite. Esca se leva en silence et se dévoila pour juger de son adversaire.
Il était beaucoup plus près que ne le pensait Esca, celui-ci était très silencieux. Il avait Oeil, alors Esca, dressé avec son épée à la main, bouclier dans l’autre au côté, s’adressa à lui pour l’accaparer.
Le voyage s’arrête là !
Visage de marbre, aucune émotion, condition parfaite de combat, seule la pluie filtrait un peu parmi le feuillage.
Il s’avança doucement vers son adversaire, celui-ci avait vu son loup Esca le savait, mais maintenant il n’était plus que tout les deux. Le combat pouvait commencer, aucune possibilité de rémission n’était envisageable. _______________________________________________________________________ ANSCHAIRE Anschaire contre Georgio Ma chemise pourpre me colle à la peau, encore une fois je suis heureux de ne point aimer les armures qu'elles soient de métal ou de cuir. Par ce temps, ce doit être d'un désagréable et pour se faufiler, ça n'aide pas vraiment. Sous le couvert des arbres, la pluie ruisselle moins sur mon visage, c’est déjà ça de gagner, il est désagréable de se voir aveugler par une goutte un peu plus sournoise que les autres.
Ce mouvement aperçut plus tôt se concrétise, une femme... une femme ? Elle charge sans avertissement, de ma dague je dévies sa lame et me recule vivement sans même penser à riposter. Elle ne porte pas d'uniforme, alors pourquoi ? Pourquoi est elle là, réfléchit Anschaire, vite ! Ah ! Christos ! Pourquoi une femme ? Que t'ais-je fait pour que tu me persécutes de la sorte ?
Ses yeux, elle n'est pas là par hasard. A voir ses déplacements, ses mouvements, elle n'en est pas à sa première fois. Mais qu'importe, qu'elle soit la meilleure bretteuse du royaume ou une simple fermière... grand Dieu, je déteste ça. Mais Soit, s'il le faut nous passerons l'épreuve du fer.
Un sourire aux lèvres, rien de provoquant ni de moqueur, je la salue, faisant une courte révérence sans la quitter des yeux. Ce n'est pas parce que nous allons combattre qu'il faut oublier la bienséance. Je me mets en garde, fleuret à droite, dague à gauche. Mon coeur s'emballe, surtout ne pas penser, c'est une ennemie ! La vie est ainsi, sourde aux suppliques et cruelles à souhait.
Pour ma Sombre Fleur, pour mon amour...
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
Nombre de messages : 716 Localisation : Là où on ne m'attend pas...Ma dague bien cachée... Etat d'esprit : Désabusée... Désirs : Comprendre... Date d'inscription : 20/02/2007
| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Jeu 9 Aoû - 18:36 | |
| AMRAS Xandrya contre Amras Amras eu un petite rire à la dernière réplique de la jeune femme, il la regarda s'avancer peu à peu, admirant malgré lui les formes agréables de la brigande... Son esprit tournait et retourner les possibilités qui s'offraient à lui Il se décida rapidement, ces facultés d'analyse n'étaient pas en reste depuis le début du combat et il avait pu juger de la force de son adversaire au vu de son lancé, ainsi que de sa vitesse au vu de son esquive... Il pouvait attaquer en ayant un aperçu convenable des capacités de son adversaire, et éviter ainsi les erreurs qui pourraient se révéler fatale pour lui même.
Il attendit que la distance se réduise suffisamment pour lui permettre de porter une attaque directement. Quand celle ci franchit la limite de cette distance, un sourire de carnassier apparut sur les lèvres du lieutenant, et il fit un bond en avant, portant un coup de bas en haut à la sulfureuse rousse, tentant ainsi de l'éventrer... _______________________________________________________________________ XANDRYA Xandrya contre Amras Entendant le rire du beau brun en face d'elle, Xandrya l'interpreta comme un "oui" à son invitation à "jouer", lentement, en continuant de jouer avec ses lames, elle s'approcha du soldat, doucement, guettant ses réactions. Il la detaillait des pieds à la tête, ayant l'air de cogiter à s'en faire péter un neurone, son regard s'attardait pourtant sur les formes avantageuses de la flamboyante ce qui ne devait pas vraiment l'aider à se concentrer.
Le déhanchement de sa démarche accentuée, Xandrya continua sa progression confiante, quand à quelques mètres du mignon soldat, il lanca une attaque vers son ventre, un sourire presque animal au visage. Xandrya dans un reflexe de survie, arquebouta son dos en se penchant en avant, lancant ses bras en avant pour garder l'equilibre devenue precaire par ses pieds en pointe pour accentuer la courbure de son dos.
Pas assez arqué pour autant, la lame du soldat découpa le lacage du bustier de cuir de bas en haut, dévoilant le bandage de sa poitrine que Seamus avait fait lors du court arrêt dans la clairière. Estomaquée, Xandrya recula de quelques pas, ses dagues pointées vers son adversaire, prete à aller se planter dans sa chair si il bougeait un cil...
Rapidement elle baissa le regard pour voir l'étendue des dégats, cette fois c'était sur elle ne pourrait pas le refermer tout les lacages étaient HS, entre l'attaque d'Halley et celle de l'homme en face d'elle pas de survivant à ce niveau là ! Plus bas, sur la partie de son ventre non bandé, une coulure de sang, légère coupure au dessus du nombril, le temps de réaction avait été trop lent pour l'eviter.
Son regard furibond se redirige vers le beau gosse, prête à lui sauter à la gorge quand un sourire point sur ses lèvres, et ses yeux se mettent à briller de satisfaction. Amusée, ravie, moqueuse au possible, elle toise le soldat malgré son buste bandé dévoilé, sourire en coin, un sourcil haussé.
Bah alors mon mignon... Fallait dire que tu voulais qu'on se caline avant !!! Pas la peine de couper mes vetements, demandé gentiment je les aurais peut-etre enlevés tu sais !!!
Bon trêve de plaisanteries, tu as touché, soit en heureux, ça ne se reproduira pas, tu es plus doué que je pensais, enfin peut-etre !!! Rapide c'est sur, mais pas autant que moi !!! Regarde toi un peu !!!
D'un mouvement de tête, la belle rousse lui indique du menton son poitrail, afin qu'il se rende compte qu'il n'est pas le seul à avoir fait mouche, que ses effets en ont pris un sacré coup aussi quand les dagues acérées de Xandrya ont fendues l'air pour récuperer un équilibre devenu précaire. Sourire en coin et ton moqueur, elle regarde le soldat d'un air faussement désolé, prenant un ton aussi narquois qu'il se veut faussement peunaud.
Et le pire c'est que je l'ai même pas fait exprès... Hi Hi !!!
Observant un peu mieux l'etat du vetement, l'impetueuse rousse aperçoit de coupures sanguinolantes dans les lascerations, elle jubile en plus du vetement elle a taillé les chairs de ce chien de l'Ost.
Oops, mais tu saignes en plus... Oh comme c'est bête ça !!! Je suis vraiment désolée mon mignon, je voulais pas te blesser, c'était vraiment involontaire tu sais !!! lance t-elle avec un ton ressemblant à celui d'un enfant qui s'excuse d'une bétise, alors que ses yeux petillent de satisfaction et que son sourire argue le contraire.
Mouvement d'attaque rapide, Xandrya se jete sur le jeune soldat.
Pas comme maintenant où je vais faire couler ton sang à flots en te crevant !!!!!!
La flamboyante s'élance de tout son corps et tout son poids sur le jeune soldat pour le faire tomber au sol ou le plaquer contre l'arbre derrière lui selon la resistance de celui qui prend de plein fouet la rousse en furie...._______________________________________________________________________ FAUSTE Mortangeliness contre Fauste Fauste regarda le sang couler sur le bras de son advsersaire ... Le visage de celle-ci s'assombri en un instant ... Ses traits se tirèrent, ses yeux se remplirent de hargne ... Le combat allait enfin commencer ...
Fauste regarda autour d'elle .. tout se passait bien pour les combats d'esa et de son lieutenant .... " Concentre-toi sur ton combat" ...
Soudain Fauste se retourna vers la femme en face d'elle ... Trop tard, celle-ci, avait profité de l'inatention de la soldate pour se précipiter sur elle.. Fauste décocha des flêches, encore et encore afin de ralentir son adversaire ou de la blesser d'avantage .. En vain ....
La jeune femme se trouva en face de la soldate de l'OST ... Un coup de pied lui fit lâcher son arc de la main ... Il fut suivi d'un revers, qui empecha le moindre riposte de la part de Fauste ... Celui-ci la fit basculer à terre... Elle se releva doucement et tituba ...
Fauste était furieuse, jamais un ennemi n'avait eu l'audace de la mettre a terre ... Les deux femmes avaient maintenant, la même hargne, voulaient toutes deux gagner à tout prix ce combat ...
Elle senti tout à coup le visage de son adversaire s'approcher du sien, elle sera les poings, prête à riposter ... elle entendi un murmure ... De rage, elle poussa violement la femme ... Elle fondit sur elle en la regardant dans les yeux... Puis s'arrêta net devant son joli minoi, elle eut un leger rictus et lui envoya une coup de poing d'une violence inouie sur la joue droite ... Celle-ci s'éffondra sous le choc ... Fauste ne pu s'empecher de rire en la voyant là, gisant a terre, tel un animal ... Ensuite, elle prit son pied et lui lança sur le ventre afin qu'elle se tourne sur le dos ...
Fauste rit de nouveau et sorti sa dague... Elle approcha doucement son visage de celui de la bête étendue sur le sol et lui murmura
Tu me fais rire ... tendeances paranoïaques ... mais viens petit vermisseau ..je t'attend
_______________________________________________________________________ AMRAS Xandrya contre Amras Amras jeta un coup d'oeil à la coupure qu'il avait infligé à la rouquine, il pencha légèrement la tête, un petit sourire accroché aux lèvres. Le lieutenant plongea son regard dans celui de la femme en face de lui.
"Alors comme ça tu me fais des cachotteries?? Ainsi tu es blessé? Il faut croire que finalement tu n'es pas si habile que ça..."
Il porta la main gauche à sa poitrine, le tissu de sa chemise s'imbibait de sang et une douleur lancinante lui parcourait le torse.
"Oui... sans le faire exprès... et c'est pour ça que tu m'as eu d'ailleurs... ne rêve pas, malgré tout les attraits que tu as, tu ne m'auras pas aussi facilement"
Il marque une pause et jeta un coup d'oeil à la guerrière qui révélée maintenant en plus d'une blessure, une poitrine ravissante.
"Quoique... maintenant..."
Son sourire s'effaça quelque peu lorsque la jeune femme lui sautât dessus, il n'avait pas le temps de redresser sa lame ou de porter un coup pour arrêter le mouvement de la belle.
"Me***"
Il lâcha sa dague qui s’enfonça dans le sol avec un petit bruit mat, et, reculant son pied droit en arrière, soulevant le tapis de feuilles mortes, pour amortir un peu le choc, reçu avec violence la brigande contre lui...
Il se retrouva plaqué contre l'arbre légèrement derrière, la rouquine contre lui. Il ne laissa pas la flamboyante se ressaisir que déjà, il lui tordait violemment les poignets pour lui faire lâcher ses dagues... du moins ne pourrait elle pas porter de coup au lieutenant. _______________________________________________________________________ MORTANGELINESS Mortangeliness contre Fauste Une fois qu'elle fut avertie par les murmures de Mort, la rouquine lui assena un violent coup de poing au visage, l’envoyant valser au sol sans douceur, et sans sommation. Mortangeliness encaissa le coup . La soldate en profite que Mort soit à terre, pour lui lancer un coup de pied dans le ventre. Elle grimaça de douleur , se tint le ventre et mit quelques minutes à reprendre ses esprits. La rouquine sortit sa dague, l'approchant du visage de Mort et la provoqua. C’en était trop pour elle.
D' un geste vif, elle sortit une dague de sa ceinture, et dans un dernier sursaut d'énergie, lui taillada la main menaçante. Plus de surprise que de douleur, la rouquine lacha son arme. Mort se releva en serrant son bras blessé, d’où s’échappait quelques traînées de sang frais, glissant entre ses doigts. Elle titubait. Elle essuya ses mains maculées de boue et frotta sa pommette droite de sa main. Mortangeliness lui jeta un regard plein de haine explosive en disant "
Tu vas me le payer sale chienne !!!
dit elle en agitant sa dague sous le nez de la soldate. Mort voulut le combat loyal et rangea sa dague dans sa ceinture. Les deux filles entamèrent un combat sans merci....Nombreux sont les coups qu'échangèrent les deux femmes. Elles frappèrent leur flanc, faisant résonner puissamment leur poitrine. La dureté d'un coup de poing de Mortangeliness fit craquer la mâchoire de la rouquine. Celle-ci recula, surprise sous la violence du choc...._______________________________________________________________________ XANDRYA Xandrya contre Amras Le soldat semblait ravi de voir que Xandrya était blessée, la narguant par des réflexions stupides, mais la belle n'en avait cure, la chemise de son adversaire parlait pour elle et son habileté, se maculant petit à petit du liquide rougeatre qui s'écoulait de ses entailles. Il observa son oeuvre, cette petite coupure, d'un air tout aussi satisfait lorguant sur la poitrine de la flamboyante dont le bandage traversé par la pluie abondante, dévoilait les rondeurs provoquantes.
L'attaque de la belle rousse n'en fut que plus surprenante pour le jeune homme hypnotisé, sourire gourmand aux lèvres, par les courbes avantageuses du poitrail de la donzelle. Un juron s'echappa vaguement de sa bouche et sa dague tomba au sol sous le choc de l'assaut de Xandrya, il était plaqué à l'arbre comme elle l'esperait, pris entre l'ecorce rugueuse et le buste qu'il admirait quelques secondes plus tôt.
Sourire sadique et mutin aux lèvres, Xandrya s'appretait à faire glisser une dague sous sa gorge et l'autre dans ses entrailles quand elle sentit une pression sur ses avants bras suivi d'un torsion du poignet puissante, violente. La belle rousse grimaça de douleur lorsqu'il appuya sur le bras droit en lui tordant le poignet, malgré le brassard de cuir et le bandage d'Illaura, son entaille était douloureuse et elle n'eut d'autre choix que de lacher sa dague, réussissant à garder celle de la main gauche.
Xandrya ouvrit les yeux quand, satisfait, le soldat relacha quelque peu la pression sur le poignet droit, contrairement au poignet gauche, et l'observa un bref instant le dévisageant. Son regard bleuté changea d'expression, passant de furibonde à taquine, voire malicieuse, presque vicieuse... Doucement elle lacha la lame de sa main gauche, alors que l'homme, pressé contre elle, ne lachait toujours pas ses mains, Xandrya tira les bras vers l'arrière pour les enrouler autour de sa taille, et susurra sourire aux lèvres sans détacher les aigues marines des prunelles marrons de son adversaire.
Ok, t'as gagné... Je me rend... Alors profitons-en...
Sans dire un mot de plus, et ne lui laissant pas le temps de la réponse, Xandrya colla ses lèvres à celles de celui qui maintenait toujours ses poignets captifs, l'entrainant dans un baiser sulfureux, pressant un peu plus son corps contre le sien, mais d'une façon beaucoup plus sensuelle. Langues entremelées, corps rapprochés, la rousse sournoise attend en profitant du moment..._______________________________________________________________________ FAUSTE Mortangeliness contre Fauste Son advseraire avait sorti sa dague et lui entailla la main droite ... La soldate lacha son arme et s'écria
Argh, espèce d'ordure ... tu vas voir ....
Fauste ne sentait plus sa main tellement la douleur était insoutenable ... Le sang coulait a flot, elle décida alors de déchirer en vitesse un bout de sa robe et dela nouer autour de sa main remplie de sang... Son adversaire se relevant péniblement, Fauste, dans un éclair de rage fit un bond vers la brigande, enfonçant sans pitié son poing dans le ventre de la femme. Celle ci, écarquillant les yeux sous le chocs cracha quelques gouttes de sang... Fauste eut juste le temps d'esquiver le sang...
Elle entendi son ennemie lui dire qu'elle allait lui payer cet affront .... elle répondit
Mais viens seuleument, je t'attend, mais sache que tu giseras avant moi par terre ...
Soudain, elle senti la dague de son adversaire proche de son visage ... Elle frissona... Mais la femme décida manifestemet d'un combat loyal et lanca sa dague. Elle se ruèrent de coups les uns aussi violent que les autres ... Tout a coup, Fauste reçu un coup sur sa machoire, celle-ci émit une craquement sourd...
De rage, fauste empoigna le bras blessé de son adversaire et le fit craquer ...
Oh, ton bras n'a plus l'air très droit Lui dit-elle en ricanant
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
Nombre de messages : 716 Localisation : Là où on ne m'attend pas...Ma dague bien cachée... Etat d'esprit : Désabusée... Désirs : Comprendre... Date d'inscription : 20/02/2007
| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Jeu 9 Aoû - 18:40 | |
| AMRAS Xandrya contre Amras Amras fut pris totalement au dépourvu par le baiser de la rousse, passant de la douleur et de la rage du combat, à la sensation agréable et chaude du contact entre les deux êtres. Il resserra malgré tout son étreinte sur le poignet de la femme mais la libéra malgré lui de la torsion qu’il exerçait jusque là sur les avant bras de cette diablesse de femme. Il gardait ainsi la main gauche de son ennemie immobile, mais ne rajoutait pas à la douleur de la pression celle de la torsion.
Le soldat, se demanda un instant quelle étrange chimère pouvait être cette femme, conscient du danger, et paradoxalement réchauffé par le contact si proche de celle-ci. Il la laissa agir pendant quelques secondes, dans un état second ou son esprit s’interrogeait sur ce qui lui arrivé en cet instant incompréhensible et probablement dénué de sens.
Le jeune lieutenant revint soudain à la réalité, et, laissa poindre un sourire tandis que la rousse continuait de plaquer ses lèvres contre les siennes.
Il décida de jouer le jeu brutal de la femme et tenant toujours fermement les mains de la brigande, il les déplaça d’une manière caressante, glissant sur les hanches de la femme et remontant vers le bandage, qu’il caressa en douceur, examinant du bout des doigts, les creux que formaient certain endroit tandis qu’il retenait ceux de la belle femme. Une ombre triomphante passa dans le regard du soldat, et tandis qu’il détachait ses lèvres de celle pulpeuse de la flamboyante, il enfonça brutalement sa main sur les bandages qui retenait les côtes blessées de la rousse...
_______________________________________________________________________ FLYN DARK Flyn Dark contre Escaflow Flyn scrutait les buissons environnants sans perdre de son champ de vision le loup qui restait la immobile. Quand une voix se fit entendre.
Le voyage s’arrête là !
Un sourire narquois aux lèvres, il croisa les bras, sans lâcher son épée et jaugea l’homme qui venait d’apparaître de derrière un arbre. Il le détailla des pieds à la tête. Un sourire en coin. D’un ton désinvolte, il lui répondit.
Ha oui !!! Et c’est toi la demi portion avec ton toutou qui va m’empêcher de continuer peu être ?!?
Calmement, sans le quitter du regard, il marcha vers l’homme, le miséricorde en main. Une lame double Affûté, efficace, conçue pour transpercer les cotes de maille. Il s’approcha de lui, un sourire en coin. De sa main libre empoigna la lame qui était a sa ceinture.
Flyn s’arrêta à quelques pas du soldat, faisant tournoyer la dague, la rattrapant par la lame. Tu es tout seul ? Où sont tes petits copains? Ce n’est pas prudent de s’éloigner de ses amis, tu sais. Tu pourrais….
La fin de sa phrase c’était perdu dans un bruit d’explosion assourdissant, il sentit la terre trembler sous ses pieds alors qu’une pluie de débris enflammer tombait autour d’eux. Les deux hommes restèrent un moment stupéfaient se retournant vers la colonne de fumée qui montait non loin d’où ils s’étaient trouvés quelques minutes plus tôt. Il espérait que personne du clan ne se trouvait à proximité surtout une….
Reportant son attention sur le soldat, il profita de la diversion et lança avec force et précision la dague qui siffla en direction de l’homme….
_______________________________________________________________________ MORTANGELINESS Mortangeliness contre Fauste Mort sentit un craquement dans son bras meurtri, par reflexe elle le bougea. Ayant le muscles chaud, elle ne savait pas, si c'était juste qu'un craquement, une félure ou cassé. Elle ne se posa plus la question. Elle enchaina des coups et ne s'arrèta pas !!! défendant ses arrières, restant en permanence sur ses gardes, elle lui defonçait la tronche a coups de poings. Cette fois, ce n’etait plus du défoulement, c’etait de la haine. Au lieu de continuer de frapper, elle se mît face à son adversaire. Agrippa sa main gauche, le dos de sa main face à Mortangeliness, plaçant ses deux pouces sur le dos de celle ci : le bout de son pouce gauche était sur la jointure de son petit doigt, puis le bout de son pouce droit sur la jointure de son index.
Une fois sa main bien agrippée, elle ne força point pour la maitriser. Elle prit sa main, l' entraina vers la droite, gardant la main et le bras de son ennemi très près d'elle, la fît Descendre vers le bas, la mit à terre comme une chienne et d’une violente torsion lui cassa le poignet. La rouquine hurla de douleur . Mort sentait en elle bouillonner la haine qui la maintenait en vie. S'en était fini de jouer. Elle reprit sa dague en main, fouettant l’air. Elle s'arréta à quelques centimètres de la tête de son ennemie. Elle la regarda froidement. Sa dague toujours en main, elle élança son bras valide et planta sa dague dans le bras de la soldate. Le sang gicla. Un cri de douleur sortit de la bouche de son adversaire, Mort profita de ce moment de faiblesse, pour pivoter sur elle même et d'un mouvement brusque, leva la jambe et abattit son talon droit sur la rotule qui émit un craquement en pliant vers l arrière. La rouquinette tomba à terre en se tenant la jambe. ne pouvant plus bouger, elle resta immobilisée. Regardant son adversaire, droit dans les yeux, sans sourciller, elle lui dit :
"Alors petite raclure ! on veut toujours se battre ?" Tu as de la chance ! je n' achève pas lâchement pas un adversaire lorsqu’il est à terre... Prie Aristote, qu'un de mes collègues n'abrège pas tes souffrances. Vu ton état tu ne peux aller bien loin, même en rampant petit vers."
Au même moment une forte onde de choc se fît ressentir. Un fin brouillard de matière dégageant une forte chaleur de combustion arriva vers elles. Mort se mit à courir du plus vite qu'elle put, vers son cheval. Elle le détacha et galopa vers le point de rencontre que le clan s'était fixé.
_______________________________________________________________________ ESCAFLOW Flyn Dark contre Escaflown Esca était debout face à l'homme. Celui-ci tenait une miséricorde et une lame, armes dont il connaissait les impactes. L'homme jouait avec sa lame, tout en lui paraissait désinvolture, voilà quelque chose qui pourrait bien le perdre. Le sourire qu'il adressa à Esca le laissa de marbre tout comme ses sarcasmes, juste une pointe d'un rictus à l'angle de sa bouche.
Il répondit alors d'une voie glaciale:
Oui je pourrais..... te tuer, joli joujou, fait gaffe à tes doigts....
Leurs paroles furent emporter par le souffle violent d'une explosion sur sa droite, probablement depuis le chemin. Que pouvait-il s'y être passé? Esca était inquiet, et il y avait de quoi, les seules fois qu'il avait entendu des déflagrations était à bord du navire de l'Ost ou au sujet du fameux Klauss... Esca chassa toute préoccupation de son esprit, il devait d'abord régler le sort de l'homme face à lui qui d'ailleurs commençait à esquisser un mouvement.
Etrange, le souffle avait été si puissant que maintenant Esca se rendait compte qu'il avait perdu de sa finesse auditive. Il n'avait pas entendu l'homme se préparer à lui lancer la lame. La surdité serait sûrement temporaire, mais gênante à coup sûr.
Alors qu'il reportait son regard sur son adversaire, Esca n'eut que le temps d'amorcer un écart pour se sortir de la trajectoire de la lame. Le lanceur était bon, et surtout très près, trop....
Esca plongea du côté droit, laissant le bouclier lui protéger le côté gauche, endroit où la lame se dirigeait. Il avait plongé mais trop tard. La lame vint glisser sur le haut du bouclier, ricochant sur celui-ci, lui entaillant la joue gauche depuis la base de la mâchoire, jusqu'au coin de l'oeil.
Voilà une bonne entrée en matière, au moins, il n'avait plus sa lame...
Esca un peu assourdit, mais implacable, s'avança avec la rapidité tant travailler avec son loup en direction de son adversaire. La rage, la colère, des sentiments alliés à son calme naturel qui le rendait dangereux. C'est un loup qui s'avançait, avec qu'une envie tuer, les yeux en dise beaucoup....
La désinvolture de son adversaire, et sa rapidité de réaction après avoir reçue la lame, firent qu'Esca arriva de plein fouet contre son adversaire sans que celui-ci ne puisse réagir. Esca plaqua son bouclier pour se protéger de la miséricorde et poussa violemment. L'effet fut immédiat, l'homme tomba à terre....
_______________________________________________________________________ FLYN DARK Flyn Dark contre Escaflow
Il l’avait raté de peu, la lame se fracassa sur le bouclier, mais elle toucha quand même suffisamment le soldat lui dessinant une belle balafre sanglante. Il n’eut pas le temps de réagir quand l’autre chargea bouclier devant, flyn se retrouva l’arme coincée entre sa poitrine et le bouclier. La froideur de son regard se planta dans le regard colérique du soldat. Il recula sous l’impact, ses pieds se prirent dans une racine et la force de la poussée fit le reste. Il se sentit partir vers l’arrière, sans lâcher son arme il chuta tombant sur le dos émettant un cri étouffé.
À peine avait-il touché le sol, qu’il se cambrait. D’un mouvement puissant du bassin, il releva ses pieds joints et les projeta de toutes ses forces, percutant le bouclier de plein fouet. Le soldat surpris tomba à son tour. Flyn se releva rapidement. La pluie semblait ne jamais vouloir s’arrêter, le sol des sous-bois devenait glissant, rendant le combat plus ardu..
Dérapant dans la boue flyn fonça sur lui, miséricorde relevé, il frappa de toutes ses forces. Au premier assaut la lame percuta le bouclier. Le soldat toujours au sol répliqua, aussitôt. Les fers se croisèrent et se recroisèrent, parant un coup pour aussitôt s’élancer à nouveau. Les épées s’entrechoquaient émettant ce bruit enivrant de fer qui s’entrechoque et fait monter l’adrénaline…. _______________________________________________________________________ ESCAFLOW Flyn Dark contre Escaflown
Alors qu’il avait réussit à mettre à terre son adversaire, Esca n’eut pas le temps de lever son épée que la riposte arriva. L’homme le repoussa avec force sur son bouclier, Esca se retrouva en déséquilibre jusqu’à tomber à terre sur le parterre glissant.
Alors qu’il était au sol, son ennemi fondit sur lui avec violence, abatant sur lui son arme terrible. Il réussit à parer le premier coup avec son bouclier. Le choc fut d’une telle violence entre les aciers, que même ses os semblèrent trembler sous l’impact. Son audition était toujours altérer, mais sa détermination nullement détériorée. Il ne pouvait pas se relever tant que l’autre était au-dessus de lui. Il du parer du mieux qu’il put les coups terribles de celui-ci, cherchant rapidement une issue pour reprendre appui debout.
Son bras était devenu aussi dur que la pierre, il ferraillait tout en glissant doucement sur le dos. Il déviait comme il pouvait les coups miséricordes, n’hésitant pas à rendre son pareil en visant les jambes. Il ne prit pas le temps de s’assurer que ses coups portaient tant qu’il était à terre trop absorbé par l’arme de son adversaire qu’il ne quittait pas des yeux.
Ouch !!
Ca y est un arbre, il continua à pousser un peu avec ses pieds pour glisser un peu plus et s’adosser à l’arbre. Un coup encor contre son bouclier et cette fois, il prit appuis sur l’arbre pour pousser un peu son adversaire vers l’arrière. Pas de beaucoup, mais cela lui permis de se relever…. Il chargea avec un coup de lame de côté à l’horizontale, obligeant son adversaire à parer. Tout en avançant, il vint plaquer son bouclier entre son adversaire et lui, leur lames entrecroisées. Leurs regards étaient rivés l’un sur l’autre. Front contre front, tendu pour ne pas rompre, ne pas laisser de terrain.
Soudain Esca leva brusquement son bouclier tout en reculant vivement sa tête. Le bouclier heurta violemment la mâchoire de son adversaire, le faisant reculer.
Esca reprit alors un peu de lui, son passage au sol, lui avait demandé plus d’effort que son adversaire et se remettre face à lui aussi. Il resta debout, face à son adversaire, l’observant, dans ses gestes, pour trouver quelques chose à exploiter. L’autre reprit vite sur lui, il aurait du taper plus fort. Le face à face, le regard froid d’Esca. Il avança pour engager de nouveau le combat….
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Jeu 9 Aoû - 18:45 | |
| XANDRYA Xandrya contre Amras Le baiser eu vraisemblablement l'effet escompté, ainsi que le pressement des deux corps, l'enivrer pour lui faire relacher la pression sur ses poignets, le soldat s'enhardit même à commencer à caresser ses flancs du bout des doigts après avoir relaché la pression sur ses poignets sans les lacher pour autant. Probablement conscient de la faiblesse du poignet droit, il ne maintint que le gauche fermement ancré dans sa main, tandis que l'appel du poitrail de Xandrya lui fit lacher la droite.
Continuant à jouer subtilement avec la langue du beau brun, la flamboyante ramena lentement sa main dans son dos pour se saisir d'une dague soigneusement dissimulée au creux de ses reins, faisant attention qu'il ne remarque pas la manoeuvre. Alors que Xandrya venait d'enrouler ses doigts juste au dessus de la garde de sa lame, le beau brun décolla ses lèvres des siennes et appuya violemment sur son bandage juste au niveau des os brisés de ses cotes.
La belle rousse crispa ses doigts sur le pommeau de son arme, l'extirpant de son pantalon de peau et lacha un cri de douleur intense en reculant essayant de se défaire de cette main qui s'acharnait à presser son abdomen meurtri, sa main gauche toujours retenue. Dans un mouvement de rage et de douleur mélés, Xandrya ramena sa main armée vers le jeune homme, sans avoir préalablement visé, et planta la lame à double tranchant sur le côté droit de la cuisse du soldat.
De toutes les forces que lui permettait son bras blessé, elle enfonça la dague afin de blesser le plus possible son assaillant, qui, sous l'attaque relacha son poignet gauche avec lequel elle s'empressa d'attraper la lame crochée à la cuisse la plus proche. Plantant la seconde lame de la même façon que la première, elle pris soin de tourner simultanément les tranchants à l'intérieur de la chair des jambes de l'homme devant elle, et tira d'un coup sec pour les faire ressortir, se redressant pour se retrouver dans une position de croix presque religieuse.
L'homme blessé, les jambes meurtries laissant couler de longs filets de sang abondants, glissa le long de l'arbre. Xandrya essouflée, éreintée par ce combat, se recula de quelques pas avant de plier son torse en y portant sa main encore armée de la lame ensanglantée et regarda le spectacle que lui offrait son adversaire à terre.
Pas un sourire, ni même d'attaque supplémentaire, Xandrya était à bout de forces, tout juste eut-elle l'énergie de lancer une phrase à l'homme qui gisait contre l'arbre.
Se fut... un plaisir... A celui... De ne pas... Recroiser... Ton chemin... dit-elle dans un souffle coupé par les halletements persistants de l'assaut qui venait d'avoir lieu.
S'éloignant après avoir rangé ses dagues, oubliant totalement celles tombées au pied de l'arbre, elle se dirigea en se tenant le ventre vers l'endroit où son cheval était attaché, prenant garde de ne pas tomber sur un autre combattant. Après lui avoir remis les rennes sur l'encolure et enfiler une cape qu'elle avait trouvé dans la besace du chef des mercenaires, Xandrya plaça son pied gauche dans l'étrier, enfourcha son étalon et tirant sur les rennes pour le faire pivoter, coupa à travers bois, afin d'éviter tout nouvel affrontement, sachant pertinament que sans repos elle y laisserait sa vie, et se dirigea vers le prochain point de ralliement du Clan._______________________________________________________________________ GEORGIO Anschaire contre Georgio L'homme dévie l'attaque et se recule. Une révérence respectueuse. Georgio apprécie le geste et lui rend son salut d'un signe discret de la tête. Il se met rapidement en garde toutefois. Fleuret et dague. Les armes ne seront donc pas égales, mais qu'importe.
Georgio attaque de front. La lame de l'épée fend l'air, visant la poitrine sans armure de son adversaire. Quelques pas précis et souples pour s'approcher d'Anschaire. Georgio fait de grands moulinets afin d'obliger son adversaire à combattre.
Les lames vont-elles s'entrechoquer avant que la sienne ne touche son torse?_______________________________________________________________________ AMRAS Xandrya contre Amras Amras ne pu retenir un petit gémissement quand la dague de la rousse s’enfonça dans sa jambe. Il glissa le long du tronc en se tenant la blessure. La belle quand à elle s’était éloigné de lui, se tenant douloureusement les côtes. Elle lança une dernière boutade à laquelle Amras ne pu que répondre par un sourire ainsi qu’un regard marqué par la douleur…
La brigande prit la fuite, le lieutenant se savait dans l’incapacité de la poursuivre, les deux jambes blessées empéchaient le soldat de se mouvoir dans l’immédiat. D’autre part, une chose plus important lui torturait l’esprit. Qu’était il advenu de Fauste… Qu’était il advenu de ses compagnons ?
Il déchira un pan de sa cape trempée et souillé, mais cela conviendrait bien un temps. Il serra ce bandage sommaire en poussant un grognement et en serrant les dents autour de ses jambes meurtries. Le tissus sombre ne tarda pas à s’assombrir encore en s’imbibant en plus de sang. Le jeune soldat attrapa la dague abandonnée par son adversaire, par prudence et tenta de se relever. _______________________________________________________________________ FAUSTE Quand la brigande entendit le craquement que fit son bras, sa colère en fut décuplée ... Elle ruait de coups la jeune soldate qui esseyait de les parer tant bien que mal ...
La jeune femme s'attaqua ensuite au visage de Fauste... Celle-ci, à bout de souffle, ne ripostait plus, ne bougeait plus... Les coups s'arrêtèrent un instant... La soldate porta sa main à sa figure et senti du sang couler de ses lèvres ainsi que de son nez, son oeil gauche était tellement gonflé qu'elle ne savait plus l'ouvrir... Son adversaire l'avait bien amochée...
Furieuse, elle voulu porter un coup de poing sur le joli minoi de la brigande, mais celle-ci attrapa la main de fautse et la mise de telle façon que grâce à une pression, le poignet se cassa... Fauste tomba à genoux et hurla...
Elle senti, par après, la dague de sno adversaire devant son visage...Elle se releva avec peine tout en fixant la jeune femme. Soudain, celle-ci rit et lui enfonça sa dague dans le bras.... De nouveau, Fauste s'éffondra en hurlant de douleur .... Le sang giclait aussi bie de sang bras que de sa main droite .... Celui la faisait terriblement souffrir... La brigande n'en avait cependant pas fini avec la soldate, tout à coup, elle lui asseignit un violent coup sur la rotule... Fauste se plaqua a terre, tenant de sa main encore valide sa rotule ... Tout son corps la tiraillait de douleur...
Son adversaire se placa a côté d'elle, la regardant gémir, gisant sur le sol... elle lui parla, mais fauste ne perçu que quelques sons... Elle peut seulement voir que la brigande s'enfuait sur son cheval.... Elle allait la laisser là... mourir a petit feu .... La soldate tourna la tête en poussant une profond soupir et elle vu une mare de sang a cîté d'elle, son bras droit se vidait de son sang ... La blessure devait etre fort profonde...
Fauste aperçu un arbre tout près, elle voulu s'y trainer afin de s'y adoser.. mais plus aucun de ses menbres ne lui répondaient ... ses deux mainsrefusait de bouger, l'une étant cassé, l'autre étant en sang, sa jambe ne bougeait plus avec le coup qu'elle avait reçu sur la rotule...
La soldate gémissait et laissait s'échapper de nombreuses larmes ... Elle voulait que tout s'arrête, qu'elle n'ait plus mal... Elle souffrait tant... Elle entendit un cheval galoper derrière elle, puis le silence revient... Elle pensa à Amras et à ses compagnons qui ne devait pas être très loin d'elle... Elle réunit ses dernières forces et s'écria
Venez m'aider .... s'il vous plait.... quelqu'un... s'il... vous... plait... Amras.... mon .... amour... viens ....
Son souffle était court, elle ferma les yeux et entendit ..._______________________________________________________________________ ANSCHAIRE Anschaire contre Georgio Campé sur mes deux jambes, j’attends la damoiselle, elle fonce son arme fendant l’air. Elle vise la poitrine, ma dague s’apprête à parer le coup mortel.
Le contact est violent, le bruit des deux lames qui se rencontrent se répercute autour de nous. La dague dévie la longue lame de l’épée, mais le choc est plus brutal que je ne le pensais. Mon fleuret siffle vers elle, mais sous l’effet du recul ne brasse que de l’air. Une sensation de chaleur sur la fraîcheur de ma chemise, une estafilade sur la poitrine laisse couler mon sang qui va se confondre avec la couleur de ma liquette.
Je passe ma langue sur mes lèvres, mon sourire s’étend, mes yeux s’illuminent et je passe à l’attaque. Pas chassé sur la gauche, feinte d’attaque du fleuret sur sa jambe gauche et la dague plonge sur son épaule droite._______________________________________________________________________ GEORGIO Anschaire contre Georgio Réaction rapide. Forcément. Cela plait plutôt à Georgio d'ailleurs. Il aurait été dommage que le combat se termine si vite...
Lame contre lame. Mais l'épée est plus lourde et la pointe vient entailler la poitrine de son adversaire d'un jour. Touché.
Il feinte, recule, attaque à nouveau. Mais de biais, vers sa jambe gauche. Le fleuret fait mine de vouloir la toucher et Georgio va pour parer... mais une lueur attire son regard au dernier moment: la dague!
Georgio a tout juste le temps de faire un pas vers l'arrière et tente de relever son épée à temps pour choquer la lame de la dague. Trop tard. Douleur violente dans l'épaule. Froid de la lame qui s'enfonce. Chaleur du sang qui se répand. Elle retient un cri en se mordant la lèvre inférieure jusqu'au sang. Pas question de flancher!
Encore un pas vers l'arrière. Elle projette de toutes ses forces son épée pour tenter de toucher Anschaire au bras. Pas forcément envie de le sectionner tout de suite... mais au moins de lui rendre la même incapacité qu'elle.
Un bras contre une épaule. Echange équitable?_______________________________________________________________________ ANSCHAIRE Anschaire contre Georgio Pas de cri de joie ! D’une part parce que je ne peux pas et d'autre part, car cela n’est dans ma nature. Je ne montre aucune satisfaction et pour cause, je n’en éprouve pas. Je donnerais cher pour qu’elle soit un homme, là je pourrais me réjouir. Mais, une femme, je ne peux pas ! Attention, surtout ne pas croire que je les sous-estime ou que je les considère comme inférieures. Non, jamais de la vie, c’est juste que je les respecte plus que toutes autres choses. Je déteste frapper une femme, mais je ne me laisserais pas occire pour autant, ne serait-ce que pour celle qui a fait revivre mon cœur.
Celle-ci est fière, pas de cri, elle fait à peine montre de sa douleur et elle se bat mieux que certains hommes. Dire que dans d’autres circonstances nous aurions pu échanger des idées autour d’un pichet de vin.
À peine touchée, elle repasse à l’attaque. Un assaut rapide, violent et brutal, j’ai à peine eu le temps de me remettre en défense. Seul le fleuret pourrait se placer sur le trajet mortel de la lame déjà lavée de mon sang par la pluie. Avec l’énergie du désespoir je tente d’intercepter et de dévier la lourde épée, je réussis ma manœuvre sauvant mon bras droit. Mais, le métal mord durement les chairs de mon avant-bras gauche, touchant l’os sans le briser. La souffrance me fait lâcher la dague, qui va s’enfoncer dans la boue. Le sang s’écoule, se mélangeant à la pluie, il s’en va nourrir la terre. La douleur lancinante et persistante me fait serrer les dents, impossible de crier, ma frustration est grande.
La main inutilisable pend mollement à mon côté. Le mouvement nous a presque amenés joue contre joue. Je perçois ses traits un peu mieux, jolie damoiselle. Je la repousse violemment de mon bras valide, le fleuret est trop long, impossible de faire une attaque d’estoc. Dans le même temps, je recule d’un bond, avant de repasser à l’attaque. Le fleuret est moins lourd, il me faut feinter. Au dernier moment, je pars en glissade, la boue est une aubaine, un pied relevé pour lui percuter un genou, le fleuret fermement tenu pour parer le prochain coup… s’il vient…_______________________________________________________________________ FLYN DARK Flyn Dark contre Escaflow
Les combats autour semblaient s’être calmés ou c’était cette détonation qui l’avait partiellement assourdi, mais Flyn ne percevait que des bruits lointains. Une femme appelait au secours. Mais il était presque sûr qu’elle n’était pas des leurs. Le soldat était rapide malgré sa position il réussit parer les coups et prenant appuis sur un arbre il se releva. Flyn était épuisé par le voyage et le manque de sommeil. Il sentait ses forces baisser, mais il n’abandonnerait pas. Il serait fier jusqu’au bout. Il pouvait sentir le souffle du soldat sur son visage tellement il était proche l’un de l’autre rendant les attaques difficiles les mouvements limités. Contre toute attente dans un regain d’énergie un sursaut de volonté le soldat dégagea son bouclier et frappa...
Flyn recula sous l’impact, échappant un cri de douleur. Un instant sonnée, sa vue se brouilla légèrement. Il secoua la tête le temps de reprendre ses esprits. Un mince filet de sang coulait de ses narines longea sa joue se délayant sous la pluie qui tombait dru. Un sourire dément se dessina sur ses lèvres.
Tu n’aurais pas dû te mettre en travers de ma route…
Enragé il fonça sur son adversaire, ne lui laissant pas le temps de réagir. Il battait l’air de ses lames, sa dague percuta le bouclier avec une telle force que le coup lui raisonna dans jusque dans l’épaule. Dans un même temps, le miséricorde plongeait vers l’épaule du soldat. La vue brouillée aveuglée par la pluie et la rage il ne sue ou il l’avait touché, mais le gémissement et le liquide chaud qui coulait le long de sa lame ne laissaient aucun doute, il l’avait atteint. Il se recula secouant à nouveau la tête tentant de recouvrer une vue plus claire….
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Jeu 9 Aoû - 18:49 | |
| GEORGIO Anschaire contre Georgio Elle est violemment repoussée, mais son but a été atteint: à armes égales désormais. Fleuret contre épée. Plus de dague en contre balancier.
Au loin, d'autres combats semblent se jouer dans les cris et la violence. Son adversaire ne parait pas s'en préoccuper plus qu'elle. Solitaire lui aussi? Du moins pour ce combat là...
Georgio a tout juste le temps de penser qu'elle pense trop, et déjà elle le voit qui attaque de front, pied relevé, fleuret en main prêt à parer. La boue! Alliée d'un jour... oui, mais pour lequel?
Georgio s'abaisse, épée en parade devant son visage, et attrape une poignée de cette terre humide et gluante que la pluie a détrempée. Geste précis et rapide: la boue se voit projeter vers le visage d'Anschaire._______________________________________________________________________ ESCAFLOW Flyn Dark contre Escaflown
Esca était face à son adversaire, reprenant son souffle, il avait réussit à reprendre pied alors qu’il était dans une situation assez défavorable pour lui. Il remarqua que le coup de bouclier avait amoché quelque peu son adversaire, celui là saignait au niveau du visage.
Sa tête était affreuse, on aurait dit un fou, un fou perdant toute raison si ce n’est celle du sang et de la mort. Esca savait que dans quelques minutes tous serait terminé, son instinct et son expérience le lui affirmaient. Il était arriver au point culminant d’un combat aussi intense entre de volonté aussi forte de meurtre…
Alors qu’il soufflait, l’autre lui lança une de ses répliques inutiles, l’aspects de son adversaire parlait beaucoup mieux à Esca que ses paroles.
L’homme arrivait, Il eut à peine le temps de se protéger de son bouclier que la dague le heurta avec violence, mais surtout la miséricorde s’approchait, et cette fois il ne pouvait pas l’arrêter. Comme un arrêt dans le temps Esca voyait l’arme s’approcher de son épaule, sans pouvoir rien faire, il tenta de lever son épée, mais ce serait trop tard. Au pire il porterai lui aussi un coup à son adversaire, il n’avait plus que cette alternative.
Il tenta juste de se redresser pour faire passer l’arme sous son bras….
Une douleur intense le tenailla sur son côté droit et l’intérieur de son bras. Tout était allé si vite, il avait réussit à se lever suffisamment, l’autre étant aveugler par la rage et le coup de bouclier, avait enfoncé son arme en pensant toucher l’épaule mais l’avait manqué de peu juste en dessous, lui arrachant au passage de la peau.
Esca grogna plus qu’il ne gémit, une rage froide l’envahissant, l’arme de son ennemi coincé sous son bras, la sienne plaqué au côté de l’homme, son bouclier entre eux, encor une fois.
Le souffle de l’homme était chaud, mais son regard bien que trouble était froid, sûrement autant que le sien. Une chose est sûr au vu de leur position, lorsqu’ils se retireraient, l’un d’eux voir les deux, ne se relèverai pas….._______________________________________________________________________ FLYN DARK Flyn Dark contre Escaflow
Sa respiration était courte et saccadés, encore une fois ils se retrouvaient l’un contre l’autre, les yeux dans les yeux. Un spectateur éloigné aurait pu croire qu’ils s’enlaçaient. Ils se retenaient l’un l’autre tentant d’entraver toute nouvelle attaque…Flyn fixa le regard du soldat qui semblait tout aussi déterminé que lui. Il sentait au plus profond de son être que ce combat ne se terminerait pas sans qu’il y ait mort d’homme, voire de deux. Ils étaient dans une impasse, une lute sauvage à finir dans laquelle les deux combattants animés d’une rage féroce, était déterminer a avoir la peau de l’autre. L’eau ruisselait sur leurs deux visages venant se mêler au sang et a la boue qui les maculait.
Le vent soufflait de plus en plus fort, la pluie redoubla d’intensité alors que le tonnerre vint accompagner la fureur des deux hommes. D’un mouvement aussi brusque que rapide le coude de flyn s’abattit sur l’épée du soldat, l’écartant de son coté et retira vivement le miséricorde prenant appuie sur le poitrail de l’homme, il le repoussa violement, le plaquant contre l’arbre et se dégageant de quelque pas.
Flyn était a bout de souffle, exténué, mais, encouragé par les éléments qui se déchaînaient autour d’eux, il chargea a nouveau. Fonçant sans peur sur le malheureux qui c’était mis en travers de sa route. Le bras relever arme au point il poussa un ultime cri rageur alors qu’il fonçait sur le soldat déterminer a en finir une fois pour toutes. Son épée s'abattit à grand bruit, se heurtant à celle de son adversaire, créant un nuage d'étincelle et de chaleur. Flyn en avait mal aux bras, une douleur aïgue parcourait ses bras vibrant encore de l'impact reçu. Une petite larme de douleur se forma au coin de ses yeux tandis qu'il titubait pour reprendre son équilibre devenu précaire…
_______________________________________________________________________ ANSCHAIRE Anschaire contre Georgio La glissade me rapproche, mais la sournoise saisit de la boue et me la jette au visage. La boue me macule les yeux, m'aveuglant. Mes pieds toujours relevés vers elles, je parviens à essuyer mes yeux. Juste le temps de me rendre compte que sa lame plonge vers moi et que mes pieds ne l'ont pas touchée. Je parviens à glisser sur le côté gauche, n'offrant plus que mon épaule droite, dans le même temps le fleuret fonce vers son abdomen. Si je la loupe, c'en est fini de moi...
Une violente douleur me vrille l'épaule, le métal froid pénètre profondément, m'arrachant un gémissement et m'obligeant a lâcher mon épée. Une chose est certaine, mon fleuret pénètre mon adversaire dans le même temps. Je ne sais où, mais, j'en suis sûr.
Je roule sur moi-même, surtout m'éloigner le plus vite possible. Je bascule sur mon épaule, un cri étouffé surgit de ma gorge. M'aidant de ma main gauche douloureuse, je parviens à me relever. Les yeux me brûlent, mon bras droit ne veut plus répondre, l'épaule est salement touchée. Me reste le gauche, qui me fait souffrir le martyr, mais répond un peu plus. Je distingue mon cheval, sans un regard vers elle, je m'y élance. Enfin, je le vois ainsi, mais un spectateur dirait que j'y vais en zigzaguant, manquant tomber à maintes reprises._______________________________________________________________________ GEORGIO Anschaire contre Georgio Alliée coriace que la boue. Aveuglé, Anschaire ne peut éviter le coup d'épée vers son épaule. La lame s'y enfonce plus profondément que dans son bras précédemment.
Mais Georgio ne peut toutefois éviter le fleuret qui file vers elle. Juste le temps d'un coup de hanches vers la droite pour que la lame ne la perce pas au travers de l'abdomen. Ce sont les côtes qui accusent le coup. Sous sa chemise de lin foncé, Georgio sent alors le froid de la pluie se mélanger à son sang chaud et gluant.
Un cri de rage et de douleur s'échappe de sa gorge alors qu'elle tombe à genoux. Un regard tout de même vers son adversaire pour s'assurer qu'il n'en profite pas pour lui assêner un coup par derrière la tête.
Mais il s'éloigne aussi rapidement que son état ne le lui permet.
Georgio respire par saccades avant de siffler son alezan. Trois coups brefs que seul lui semble comprendre. Petit trot por rejoindre sa cavalière. Georgio se hisse en se soutenant à l'étrier et plonge la main dans une des sacoches pour en sortir des bandages. Elle retire sa chemise, non sans grimacer. Les chairs sont à vif sur les côtes. Il faudra qu'elle trouve au plus vite à les cautériser. Avec précision, la jeune femme enroule fermement le bandage autour de ses côtes, protégeant ainsi la plaie du mieux qu'elle le peut.
Elle se souvient alors de cris de détresse non loin. Les combats devaient être durs par là-bas aussi. Pas son genre d'aller porter secours... d'habitude du moins.
Sans trop savoir pourquoi, Georgio remit sa chemise détrempée et tâchée de sang, se hissa sur son étalon et prit la direction vers là où elle avait entendu les cris.
Bientôt elle distingua une forme humaine, mais dans un sale état, près d'un arbre. Elle reconnut la jeune soldate qui faisait partie de l'équipée. Mettant rapidement pied à terre, Georgio s'approcha d'elle.
Etait-elle encore en vie...?_______________________________________________________________________ AMRASAmras s'était relevé douloureusement, laissant son sang se mêler à la boue. Il passa une main tremblante de douleur et de rage sur son visage trempé et repoussa quelques mèches qui lui couvraient la vue. S'appuyant en grimaçant sur l'arbre le plus proche, il se jeta en avant, se forçant à avancer malgré la douleur lancinante. Chaque pas voyait une nouvelle giclée de sang passer travers du tissu trempé nouer autour des plaies et il faillit tomber en avant quand il se pencha pour récupérer son arc.
Il fouilla des yeux l'ombre de la forêt à la recherche de ses compagnons et particulièrement de Fauste, il lui avait semblé l'entendre crié à travers la pluie, et inquiété par cette idée, il s'avança plus vite qu'il ne l'aurai fallu, ignorant la sourde douleur qui lui arrachait des grimaces douloureuses.
Il finit par la trouver, elle n'était pas seul, Georgio était à ses côtés, semblant vérifier qu'elle était toujours en vie. Inquiété, il s'avança le regard grave et découvrit la douce soldate dans un sale état. Il se laissa tomber à genoux à ses côtés, et posa sa main ruisselante de pluie sur le front de la jeune femme, elle était transit de froid, mais ne risquait pas d'hypothermie pour le moment. Il fallait la ramener au plus vite à Mestia, elle s'occuperai de ses blessures et laverai ses plaies... il le savait
Son air se fit plus sombre encore, si cela était possible. Devait il l'a ramener sur le champ? Abandonner Esca, Zacharia, Quirin, Ben et Enduril sans même savoir ou ils en étaient? Sans savoir si ils étaient encore en vie?
Il redressa la tête et porta son regard sur Georgio, à côté de lui. Il s'adressa a elle d'une voie douce et calme malgré le flot d'émotion qui combattaient en lui, rage, inquiétude, colère, peur et douleur...
"Qu'as tu vu? As tu des nouvelles de Zacharia et des autres?"
_______________________________________________________________________ ESCAFLOW Flyn Dark contre Escaflown
Esca regardait son ennemi droit dans les yeux lorsque celui-ci dévia son épée avec son coude. Le sentant tenter de retirer son arme en prenant appui sur son bouclier, Esca sentit qu’il ne pouvait l’empêcher de s’écarter, la douleur à son côté le brûlait malgré la pluie.
Il porta la quasi-totalité de son attention à faire en sorte que l’arme de son ennemi se retire sans lui trancher plus le bras afin de pouvoir se battre encor, il en allait de sa survie, sinon s’en était fini pour lui.
Alors qu’il pensait avoir protéger son bras, il se trouva plaqué contre l’arbre, qui lui avait sauvé la mise quelques minutes plutôt. Le souffle presque coupé, il vit l’autre charger de nouveau. Sa détermination était au moins admirable, mais Esca était encor là debout en état de combattre, prêt à vendre cher sa peau. Il prit une grande respiration alors que la miséricorde s’abattait sur lui. Il y opposa son épée, le choc fut violent, des étincelles plurent sur Esca, le bruit strident fit s’hérisser les poils d’Esca, à moins que ce ne soit la combinaison de la pluie et du vent semblait redoubler, les conditions traduisant les tensions du combat opposant ses deux hommes.
Alors qu’il réussit à parer le coup puissant de son adversaire, Esca fut étonner une demi seconde de voir que son adversaire semblait perturber par son coup. L’appui qu’il avait contre l’arbre et son bouclier, lui avait permit d’absorber une grande partie du choc et des vibrations. Ce n’était pas le cas de son adversaire, il semblait un peu abasourdi, et déséquilibré. Esca n’attendit pas, alors que seulement quelques secondes avaient passé depuis le coup rageur et puissant de son adversaire, il sauta prenant appuis sur l’arbre. Cela lui donna un élan suffisant pour s’abattre rapidement sur son adversaire, malgré la fatigue et la douleur. Rien ne transperçait sur son visage. La rage avait fait place à la froideur, épée droit devant bouclier en protection, il plongea vers son ennemi.
L’épée transperça la chère, tranchant muscle, perçant poumons. Il enfonça son épée jusqu'à être nez à nez avec son ennemi, les yeux dans les yeux.
Je suis au milieu de ton chemin, et celui-ci s’arrête ici pour toi !!!
D’une voie de glaçon il avait jeté cette phrase avant de retirer son épée du corps inerte qui tombait à terre.
Esca resta là à le regarder pendant ce qui lui sembla être une éternité, mais alors qu’il revenait à lui, seulement quelques secondes avait passé. Tout était terminé pour ce combat. Il laissa là le corps sans un autre regard, puis observa autour de lui pour reprendre conscience de ce qui l’entourait.
Où en était les autres, voilà une question qui l’assaillit. A cette question il devait vite trouver une réponse…… Œil de Nuit voilà qu’il était à ses côtés…..
_______________________________________________________________________ FLYN DARKLe choc s’était répercuté dans tout ses membres, étourdit aveuglé par la pluie flyn du mettre quelques secondes de trop avant de reprendre ses esprits. Seconde qui allait conduire a sa perte. Tout sembla se passer au ralenti. Flyn leva son regard étourdi sur le soldat. Il ne vit que sa lame qui fendait l’air, les goûte de pluie glissait sur son destin, qu’il ne put déjouer cette fois si..
Une douleur sans nom lui transperça les entrailles, son regard surpris se figea sur celui du soldat. Les quelques secondes de son agonie semblèrent duré une éternité. Une plainte rauque s’échappa de la bouche entre ouverte du jeune homme. Alors que le sang jaillissait entre ses lèvres. Il parvint à articuler une dernière phrase presque inaudible :
On …se…re..Verrat..en …en…fe.r….
Quand le soldat retira son épée, flyn porta les mains a la plaie béante, le sang giclait entre ses doigts qui se crispèrent. Flyn tomba à genoux devant l’homme d’armes, le regard vide, fixe, il s’effondra face contre terre. Son sang termina de se répandre, se mêlant à la boue rendue visqueuse. Un dernier soubresaut, il expirait son dernier souffle….
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Jeu 9 Aoû - 18:51 | |
| "SUR LA ROUTE DU PUY"(ACTION PARALLELLE AUX AUTRES SITES DE COMBATS) SAMAËL Revenant du Rohan, Samaël s'en retournait dans ses peinates rejoindre ses congénères à l'abri du Manoir, passant par Puy, il passa son chemin apercevant moultes agitations suite à un feu apparement mal maitrisé. Chemin faisant, il découvrit une scène macabre, terrain de combat jonché de corps mourrant, agonisant ou déjà passé dans l'autre monde, un des visages lui parut familier. Delaissant sa monture un instant, il s'approcha d'une des hommes à terre, c'etait bien celui à qui il pensait, à peine aperçu mais reconnu, s'agenouillant, il recupera son épée ainsi que le gant noir qui habillait sa main.
Fermant les paupières du jeune homme sur ce monde, Samaël repartit en direction de sa monture, s'arretant un bref instant pour ranger le gant avec précaution en disant.
M'est avis que sa soeur pourrait vouloir le récuperer....
Les balises posées autour de la scène du massacre démontraient que des soldats étaient passés par là et sans doute à la poursuite de ceux qui avaient perpetués l'attaque. Reprenant place sur son etalon, épée arrimée dans le dos, et celle du défunt au pommeau de la selle, Samaël repartit en direction de Mende.
Méfions-nous y se pourrait bien qu'on rencontre du monde... ajouta t-il en gantant sa main de noir._______________________________________________________________________ SIR HUGO Sir_hugo et tous ses compagnons était donc partit a toute vitesse vers Mende, sans lacher les ennemis. L'image du champ de bataille qu'il avait vu lui restait encore en tête. Mais il s'éfforcait de l'oublier. Ils avaient donc marchés de longues heures, de longs jours, en se reposant un minimum pour ne pas perdre la trace de la troupe. Ils marchaient plutôt en rang serré, malgrès leur petit nombre. Sir_hugo, lui fermait la marche, comme a son habitude. Sa peur augmentait a chaque pas, mais il savait se contrôler et rester lucide. Ils avançaient encore et encore..
Ben s'arrêtta et demanda a Arthos ce qu'on devaient faire. Les chiens devenaient de plus en plus nerveux, quelque chose se préparait. Hugo, sans vraiment savoir ce qu'il faisait, sortit son épée et tena plus fermement son bouclier. Il regarda ses compagnons, ils étaient tout aussi tendus... Il prit a son tour la parole :
- Ca sent mauvais les gars, rester sur vos gardes et faites attention a vous! Restons unis, l'union fait la force !
_______________________________________________________________________ BENTICHAvançant, toujours dans cette foret sombre, la troupe du Puy chien en tête approchait de la ville de mende, il ne restait si les calculs de Ben etaient juste a peu pres 5 lieux.
Les traces de chevaux et du chariot facilitaient bien, le chemin etait tout tracé. Ben passa avec un geste de reflexe la main sur son arbalette, et sur sa ceinture ou se trouvait son carcan rempli de carreaux.
Les chiens commençaient devenir nerveux, ils sentaient quelque chose,
Ben s'arreta et se tourna vers Arthos
On fait quoi la, d'apres se que je vois des chiens, il doit y avoir quelques choses, mais quoi et ou impossible a savoir.
Sans attendre la reponse, Ben prepara son arbalette, mit un carreaux et arma son arme, mit la surete, pour eviter les accidents et se tint pret a lacher les chiens et a tirer _______________________________________________________________________ ARTHOSLes chiens, ses compagnons... Lui aussi quand même... Une certaine nervosité plane dans le groupe. Hugo n'a pas l'air d'avoir envie d'être seul, et Ben ne sait pas vraiment quoi faire... Niwel de son côté reste silencieuse, sans doute en raison de sa plus grande exprérience militaire... Que faire... Arthos ne comprend pas vraiment la question, ils sont à la poursuite de brigands, donc on poursuit les birgands, que pourraient-ils faire d'autre... Un barbecue peut-être...
Bah, on approche des brigands sans doute... Donc aucune raison de s'arrêter, ils sont sans doute pas trop loin devant nous, mais si on s'arrête on risque de les perdre... Or il y a un incendie, meurtre et un massacre qui attendent qu'on règle le compte de ces salauts.
En avant!!
Et sans même attendre une réponse, il repart vers Mende avec la ferme intention d'en découdre... Il espère interieurement que les gardes de l'ost veront arriver le convoi et qu'ils pourront aider son petit groupe à le défaire, car à quatre ils sont bien en infériorité numérique...
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
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| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Sam 15 Sep - 23:51 | |
| SAMAËL Samaël poursuivant sa route, entendit au loin des jappements de chiens qui semblaient nerveux, les traces de sabots et de rouages au sol, lui permettait de suivre aisément les personnes qui le precedaient. Accélérant l'allure, l'ange déchu aperçut se dessiner au loin un groupement de quelques personnes, quatre ou cinq peut-etre plus avec deux énormes molosses, mais point de loup.
Hum... Pas eux... Ou les loups du Clan auraient bien changés... songea t-il en se glissant sournoisement dans les fourets.
S'approchant discrétement par le côté, il pu détailler le groupe qui s'était freiné pour discuter sur quoi faire, à priori ils étaient aprés les siens.
Trois hommes, une femme, deux chiens... Pas grand chose en fait mais trop pour moi seul... Arc, arbalette, épée.... Bien armé cela étant... repertoria t-il dans son esprit.
Samaël se demanda un instant que faire, et décida de les suivre discretement jusqu'à ce qu'ils aient rejoint la prochaine ville, ou ceux qu'ils suivaient.
_______________________________________________________________________ FLYN DARK La route c’était assé bien passée depuis qu’il avait surpris le mercenaire a soulager ses besoins primaires. Le vieux devait encore se demander ce qui avait bien pu se passer. Ils avaient fait route depuis le Puy sans voir l’ombre d’un soldat ou d’un poursuivant. À mesure qu’ils s’éloignaient il virent se dissiper au loin les colonnes de fumée qui montaient du Puy, Souvenir laissé aux habitants qui devaient être occupé a éteindre les flammes. Aucun signe de poursuite… du moins pas encore. Flyn comme plusieurs avait entendu les aboiements, mais avec l’écho et la pluie qui s’était mis a leur tomber dessus, difficile de savoir si ça provenait de l’avant ou de l’arrière.
Le jeune homme fermait la marche, non loin derrière Anya. Les mains croisées sur le pommeau de la selle il admirait la croupe de la jeune femme qui se dandinait au rythme de sa monture, un sourire aux lèvres. Il l’aurait bien invité a le rejoindre pour une chevauchée endiablée. Mais l’heure n’était pas à l’amusement et aurait fait d’eux une cible de choix.
La cheftaine était au bord de l’hystérie se qui le fit sourire. Il échangea un regard amusé avec Bohort quand elle hurla presque de dételé les chevaux, les deux hommes n’eurent pas besoin de plus, si va pouvait la calmer… Sans perdre une seconde, d’un coup de lames rapides, les chevaux étaient libérés, le chariot abandonné, et le convoi reparti.
Ils approchaient de Mende quand tout le monde s’immobilisa, un mouvement vers l’avant… certain ce mettait a couvert, arme en main. Enfin, on allait avoir de l’action. Pas trop tôt! Se dit-il. Il commençait a s’ennuyer ferme.
S’immobilisant son miséricorde en main. Flyn tendit l’oreille il en était maintenant certain si les autres avaient repéré un mouvement vers l’avant, lui avait la certitude qu’on venait aussi de l’arrière. _______________________________________________________________________ WILLOW Retournant chez elles par les routes du Languedoc, deux jeunes femmes avaient fait une découverte macabre sur la route menant jusqu'à Mende, accélerant l'allure, elles avaient bien vite passés le spectacle mortuaire.
On reste pas là, on files sur Mende et vite !!!!
La plus clair de cheveux des deux intima à sa compagne de voyage de presser l'allure, la dénommée Willow eperonna son cheval afin qu'il augmente la cadence pour atteindre la ville proche au plus tôt. Tambour battant et cheveux au vent, elle galopait à tout rompre quand une intersection se presenta aux deux cavalières.
Droite ? Gauche ? On va part où ?
Regardant au sol, les yeux plissés ne formant plus qu'une fente brillante, Willow vit qu'un des chemins avait été plus emprunté que l'autre et décida de suivre celui-ci qui, à priori, était beaucoup plus fréquenté.
Par là... dit-elle à son accolyte au cheveux d'ébène en lui faisant un clin d'oeil accompagné d'un sourire que sa compagne connaissait bien.
_______________________________________________________________________ IVY Arrivée sur les routes du Languedoc, Ivy accompagnée de Willow s'étaient retrouvées parmis des cadavres qui parsemaient la routes. Elles avaient rapidement quittés les lieux, chevauchant plus férocement afin déviter rapidement ce cimetière.
Elle reconnut bien son amie à ses directives, on va par là ... et le ton qu'elle employait était dépêche toi ! Elle la suivi donc sans rien dire un moment et lorsqu'elles empruntèrent un sentier plus battus, elle avait eu l'intention de rompre le silence mais ce ravisa. Willow avait raison valait mieux rejoindre Mende et vite
_______________________________________________________________________ SAMAËL Samaël suivait toujours le groupe de soldats, cachés par la foret, les sens en éveil il observait le moindre mouvement près à bondir à la première alerte sachant que ses compagnons ne devaient pas être bien loin étant donné la rigidité cadavérique de Barabas.
Son attention fut attirée par des bruits de sabots arrivant derrière lui sur le chemin, stoppant sa progression, il fit pivoter sa monture pour voir de quoi il s'agissait. Ouvrant grand les yeux, il aperçut deux jeunes cavalières, fort jolies, qui arrivaient droit sur les représentants de l'OST.
Mais qu'est-ce que... Qu'est-ce qu'elles viennent faire là celles là...
Tapis dans les fourrés, Samaël se fit silencieux attendant de voir ce qui allait se passer, restant à l'affut, l'épée sortit du fourreau, rivée dans sa main.
_______________________________________________________________________ BENTICH Malgrès la pluie battante, la petite troupe avancait toujours assez rapidement, les sens en eveil, la main prete a empoigne, qui son épée, son arc, son arbalette, les chiens aboyaient, leur nervosites se transformait en hargne et besoin de se defoule sur quelque chose ou quelqu'un.
Tout d'un coup Ben entendit une cavalcade ses compagnons aussi furent assez surpris par le bruit, ils se retournerent, mais du au fait de la pluie, de l'obscurite des sous bois et du chemin partant en courbe quelques izaines de metre en arriere, personnes n'apperçut quoique ce soit, apre quelques secondes ils appercurent eux chevaux monte par ce qui semblaient etre des jeunes filles.
Les secondes s'ecoulaient, le cerveau des soldats etaient en ebullition, mais tous surent qu'il fallait les arreter, de deux choses l'une, elle faisaient parties des brigands, et cela permettraient de diminuer les forces ennemies, a quatre plus deux chiens cela ne posereaint pas de problems, ou alors elles n'ont rien a voir et sont d'innocente personnes, et ils fallaient alors les sauver et lee empecher de se jeter dans la geule du Loup.
Des qu' elles furent a quelques metres d'eux, ben cria un ordre a l'intention des deux cavalières
Arretez vous mesdemoiselles, ou je lache les chiens !!!!! _______________________________________________________________________ WILLOW Au galop sur leurs chevaux, Ivy et Willow avancaient bon train sur la route entre Puy et Mende, Willow fit un signe à sa compagne de route apercevant au loin un groupe de voyageurs. On étaient jamais trop prudente, elle prit ses rennes à une main et posa la seconde sur le pommeau de sa selle, fixant le groupe devant elle.
Soldat à priori... murmura t-elle à sa comparse en glissant Spyke sous son mantel Mefiance quand même... Les deux cavalières, en goguette, se rapprochèrent des inconnus en maintenant l'allure, à proximité des soldats, un homme en armure avec deux chiens hurla de s'arreter.
Willow tira sur les brides de son étalon, qui peina à s'arreter sous la force et la surprise, glissant quelques centimetres dans la boue.
Ca va pas bien de hurler comme ça !!! répondit Willow agacée d'avoir failli être désarconnée par un cri bestial.
_______________________________________________________________________ SIR HUGO Sir_hugo marchait toujours dans l'attende d'un évènement, qui sans doute, pour lui, ne saurez tarder... Ils marchaient toujours, sous une pluie plutôt forte. Le bruit de la tempète et de la pluie qui tombe sur le sol, empèchait hugo d'entendre ce qui ce passait a proximité. Il entendit néanmoin, un bruit de sabots qui venait de derrière son groupe. Ils se retournèrent donc et virent deux jolies jeunes femmes arriver au galop. Ben leurs dit de s'arrêtter et trouva çela judicieux. Les deux femmes eurent du mal a s'arrêtter, en raison de la route et du crie de Ben. Sir_hugo toisa les demoiselles du regard, et ensuite, il surveilla les alentours. Il lui semblait en éffet, que depuis un certain temps, ils étaient suivis. Il en avait la quasi-certitude...
En effet, les ennemis devait être bien organiser et fin stratège, ils auraient donc mis une ou deux personnes en fin de convois pour surveiller leur arrières... Il ne vit personne, n'entendit rien... Peut-être se trompait-il, mais il restait tout de même sur ses gardes. Il était venu ici pour combattre, et depuis un certaine temps déjà, il avait sortis son épée. Il se retourna vers les deux jolie demoiselles :
-Bonjour, je suis Sir_hugo, soldat du Puy, et j'aimerais connaître votre identidé, et la raison pour laquelle vous vous dirigez a mende.
_______________________________________________________________________ IVY Après un court moment, les deux demoiselles virent qui avaient empruntés cette route. Une troupe à pied... peu nombreux parcontre pour laisser autant de traces.
Ivy regarda Willow d'un oeil interrogateur, cette dernière lui mumura. Des soldats... Hum.. surement pas là pour rien. Elle la vit camouffler Spyke tout en gardant le rythme de leurs chevauchées, la pluie fine ne ralentissant même pas l'allure.
A peine à quelques mètres d'eux, l'un se disperca du groupe, leur faisant face et criant, les sommant de s'arrêter sinon il lachait des chiens. Instatanément elle fit comme sa compagne et tira sur les rênes de sa pauvre monture qui malheureusement n'apprécia pas et se cambra légèrement avant de se calmer au son de la voix de son hôte.
Calme toi mon beau, le messieurs crie très fort apparemment ...
Elle regarda ensuite sa mystérieuse compagne qui déjà s'énervait. Ivy sourit avant de diriger son regard bleu percant sur l'homme qui leur barrait le chemin à porter de leur domicile.
Un autre plus charmant arriva, elle lui sourit. La courtoisie existe encore ...
Plus calmement qu'à son habitude se surprennant elle-même, elle pris une voix joviale et pleine de charme avant de s'addresser aux deux hommes.
Excusez nous messires mais quel est le problème ? Ne pouvons pas seulement continuer notre route ? Pardonnez l'effronterie de ma tendre amie, elle est .. heu.. disons seulement qu'elle n'apprécie pas trop les brusqueries..
Elle sourit à Willow se gardant bien de rajouter qu'elle en apprécierait surement d'autres, mais cette dernière savait le ton moqueur de Ivy donc elle aurait surement compris.
Son regard se rediriga sur le groupe gentilement.
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| | | Xandrya Spadassin noir - Archiviste
Nombre de messages : 716 Localisation : Là où on ne m'attend pas...Ma dague bien cachée... Etat d'esprit : Désabusée... Désirs : Comprendre... Date d'inscription : 20/02/2007
| Sujet: Re: 5 >>>>> Mende Aller/Retour Sam 15 Sep - 23:55 | |
| SIR HUGO Une des deux jeunes femmes lui répondit. Tout ceci semblait étrange, elle n'avait pas répondu a sa question, et le ton de sa voix parraissait changé, anormale... Il ne connaissait pas ces personnes, mais elles lui semblait étrange... Il reposa donc sa question :
-Madame, avec tout le respect que je vous dois, veuillez répondre a ma question, nous ne somme pas ici pour rigoler! Il c'est passé d'horribles choses, et il serait préférable que vous déclineriez votre identité et la raison pour laquel vous êtes ici si vous ne voulez pas agraver les choses. De plus vous nous faite perdre notre temps, nous somme a la poursuite d'homme et de femme très dengeureux ! Je vous conseille d'aileur de faire attention a vous. Donc, mesdames, répondez a mes questions, si vous ne voulez pas avoir d'ennuie avec la justice.
Sir_hugo attendit la réponse des deux jeunes femmes, en trouvant toujours ceci très louche. Il scruta les alentours pour voir si rien n'était étrange... Mais rien, décidément, tout semblait étrange ici..._______________________________________________________________________ WILLOW Un nouveau soldat vint à leur tourner autour, Willow n'aimait pas le ton qu'ils employaient, en quoi leur destination et leurs noms les concernaient. Ses yeux plissés, telles deux fentes de serpent détaillait le plsu petit mouvement des hommes, le criard resté stoïque prêt à lacher ses petits chiens sur elle et l'autre qui la jaugeait ainsi qu'Ivy comme du bétail ou pire.
Willow esquissa un sourire sournois aux mots de sa compagne de route, tant par les mots que par le ton employé nul besoin de rajouter davantage... La main crispée sur son pommeau de selle où se trouvait croché son carquois et son arc, la jeune femme tentait de maintenir son cheval qui pinaillait nerveusement avec ces molosses proches... son mantel s'agitant également frenetiquement.
Willow ecouta attentivement les mots du soldat qui parlait à Ivy, son regard se mit à pétiller, le sourire habituel s'accentuant.
Des hommes et des femmes très dangereux... Bah voyons... songea t-elle en riant intérieurement.
Si je puis me permettre en quoi notre identité et notre destination vous aiderait-il à attraper ses personnes si "nefastes" ? Nous ne faisons que suivre une route dont vous nous barrez le passage... Ni plus, ni moins !!! Otez vous du chemin et le problème sera réglé, à nous de gérer la suite comme bon nous semble... Et oui nous avons vu le cimetière plus haut pas besoin de nous le signaler nous ne sommes pas encore aveugles puisque nous vous voyons... répondit Willow sur un ton sec et hautain, teinté d'agacement et d'énervement.
Machinalement, Willow referma son mantel pour éviter de laisser Spyke s'échapper en regardant Ivy qui semblait vouloir utiliser la diplomatie avec ces soldats qui à priori ne devait pas savoir ce que signifiait ce mot pour s'adresser de la sorte à elles. Willow commencait à sérieusement s'enerver et commença à attraper son arc à pleines mains, discretement, fort discretement mais surement
_______________________________________________________________________ IVY Ivy regarde celui qu'elle avait pris pour un charmant jeune homme, comme quoi on se trompe facilement sur les gens. Elle allait s'énervée contre lui mais son amie la précèda. Elle avait pas l'air contente mais c'était comprennable. Pour qui se prennaient ils ? Elles n'avaient offusquées personnes, c'est eux qui leurs sautaient dessus ! Et le spectacle macarbre n'avait pas été fait de leurs mains. Ils le savaient d'ailleurs puisque ils semblaient pourchasser les assassins à l'entendre parler de dangereuses personnes. Les seules personnes, qui risquaient d'être un quelquonque danger, que les filles avaient croisées c'étaient eux !
Elle ne manqua rien des '' va te faire voir '' de la langue de vipère à l'homme qui se prennait pour le maître des routes. Ivy souria, tout ca l'amusait beaucoup finalement. Elle trouvait pas du tout que c'était une perte de temps, elle avait tout son temps de toute facon.
Elle resta sagement assis à regarder tout le monde le sourire aux lèvres attendant la suite avec impatience. Nul besoin de parler son visage en disait déjà bien assez. _______________________________________________________________________ ARTHOSAlors que les ponots continuent de s'approcher de Mende, et des brigands espèrent-ils surgissent à cheval derrière eux deux jeunes femmes. Sans attendre, Ben réagit, un peu violement peut-être, mais il n'a après tout pas pour travail d'être la nounou des voyageurs... Hugo y va avec plus de diplomatie...
Mais rien n'y fait, il y a toujours une grande gueule se croit au dessus des autres et regarde tout le monde d'un air hautain...
Mesdemoiselles, dit le sergent intérimaire d'un ton sec et autoritaire mais sans énervement ou agacement, si vous avez vu le carnage vous devez bien comprendre que nous ne pouvons pas vous laisser continuer dans la direction où sont les responsables! Aussi je vous prierai, sinon de faire demi-tour, de rester ici en attendant que l'armée se soit occupée de cette affaire. Il en va de votre sécurité, comme de la notre d'ailleurs! Quant à votre identité, ce n'est qu'une formalité à laquelle vous êtes contrainte d'obéir je le crains, même si cela ne vous fait pas plaisir.
Il a parlé clairement il lui semble, mais il est quand même ennuyé de perdre du temps à cause d'un telle futilité. Il espère bien que ces damoiselles, et surtout la désagréable hautaine, vont maintenant se conformer aux consignes militaires sans faire d'histoire, que les soldats puissent enfin s'occuper de leur cible qu'ils poursuivent tout de même en espérant bien pouvoir en découdre avec..._______________________________________________________________________ WILLOW Un soldat supplémentaire s'approcha et n'usant ni de diplomatie, ni de cris, mais d'un ton ferme et sec reitera pour la énieme fois la meme question formulée autrement. S'en était trop, il se permettait de surcroit de leur demander d'obéir, le mot à ne surtout pas utiliser avec elle qui n'avait jamais travailler que pour elle. Haussement de sourcil, sourire en coin, regard vers Ivy, Willow arrete les simagrés et redevient elle même pleine et entière... L'énigmatique relache la pression sur son mantel et laisse sortir Spyke qui vient s'enrouler autour de son cou, pas besoin d'un regard de plus à Ivy, le compagnon de Will est de sorti ça veut tout dire.
Une main tenant bride et arc, l'autre caressant la tête de l'animal autour de son cou, un regard perfide, brillant de méchanceté revient sur le visage de la jeune femme, le sourire narquois et mauvais l'accompagnant sublimement. Le mystère redescend sa main, sort une fleche, sans l'arquer.
Bon soyons clair... Nous n'avons nullement l'intention de vous donner notre nom... Et comptons bien poursuivre notre route... avec ou sans votre accord.... A vous de voir !!!
Sourire mauvais, regard en fente laissant briller deux prunelles émeraudes, Willow attend ne souhaitant pas faire usage de son arc, mais n'hesitant pas une seconde si besoin est. | |
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